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Benj

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Messages posté(e)s par Benj

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    Toby Fleishman, un divorcé de 41 ans, s'inscrit sur des applications de rencontre. Alors qu'il doit tout concilier dans sa vie, son ex-femme, Rachel, disparaît, le laissant avec les enfants sans savoir où elle est ni si elle compte revenir.

     

    Ça enterre le film lacrymale relou là de Noah Baumbach avec Scarlett.

    Déjà parce que ça ne cause pas que du divorce, et quand bien même c'est bien plus intéressant et plus drôle voire léger quand ça veut.

    Et surtout parce que ça arrive à manipuler un peu le spectateur, car quand arrive l'épisode 7 on se prend une claque dans le bec et on se souvient que dans une histoire racontée par un personnage c'est toujours bien d'avoir la version de la personne en face.

    Et Claire Danes dont je ne suis pas plus fan que ça actuellement aurait mérité un Emmy.

    Et content de voir que les 2 personnes qui ont réalisé Amercian Splendor soient à la tête d'une pépite comme celle là !

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    Le Japon se remet à peine de la Seconde Guerre mondiale, qu'un péril gigantesque émerge au large de Tokyo. Koichi, un déserteur traumatisé par sa première confrontation avec Godzilla, voit là l'occasion de racheter sa conduite pendant la guerre.

     

    Bon alors c'est en dessous du Shin Godzilla, mais avant celui de 54 et celui de Gareth.

     

    J'ai bien aimé qu'il y ai un gros hommage aux générations précédentes, par le design du gros G déjà, sa physique, ses déplacements crispés, la musique qui reprends plusieurs thèmes iconiques de la saga, le tout mélangé avec les techniques d'aujourd'hui. C'est presque comme une synthèse de ce qu'est l'univers de Godzilla.

    Avec ses défauts aussi, comme ce mélo un peu trop présent à mon gout, et cette fin ratée et inutile. Ou des acteurs pas forcément hyper charismatiques, le perso principal par exemple dont on a un peu de mal à être avec lui, le reste du cast s'en sort mieux.

    Et puis y a un coté patriotique un peu bof.

     

    Mais quand Godzilla débarque pour foutre le zbeul c'est l'éclate, et il démonte tout de belle façon. Il est juste là, comme une force de la nature et tu peux rien faire.

    Ça change de la surenchère des films US dans lesquels c'est toujours plus, le trailer de Godzilla vs Kong au ski avant la séance fout la honte aux amerloques.

  3. C'est très très bien mais j'ai trouvé ça un poil longuet, y a des trucs qui auraient pu passer à la trappe, comme la scène dans la boite de nuit au Mexique), mais bon après on a tout ce qu'on aime, de la violence, du sexe, de l'action et des acteurs au top.

    La tronche de Bardem avec son mulet de l'enfer est magnifique et Rosie est plus vénéneuse que jamais.

  4. Je crois que j'ai préféré la saison 1, ici ça ressemble à n'importe qu'elle série avec un groupe enquêteurs. Ça fait moins fish out of the water.

    Après je trouve que le gros il casse des bouches plus facilement et on voit bien qu'il a pris son shaker de prot entre les deux saisons.

     

    Par contre, c'est peut être écrit dans les livres, mais le vagabondage de Reacher ça ne serait pas incompatible avec une hygiène de vie stable pour garder cette musculature de monstre ?

     

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    Le portrait d’un teckel et de tous ceux auxquels il apporte un bref instant de bonheur au cours de son voyage.

     

    Film à sketch typique de Solondz, sauf que là il y a le chien pour faire le lien entre les sketchs. Mais le problème c'est qu'à part le premier et un peu le deuxième, le chien ne sert à rien et est même vite effacé des "intrigues". Du coup on termine avec 2 segments pas trop nases, parce que c'est Solondz, mais qui manque un peu d’intérêt et de mordant. On l'a connu plus inspiré.

    D'ailleurs le sketch avec Danny De Vito est peut être autobiographique, et est à rapproché de celui avec Paul Giamatti dans Storytelling.

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    Quinze ans après avoir abandonné sa fille, Rebecca, pour se consacrer pleinement à sa gloire de chanteuse et à sa vie sentimentale, Becky del Paramo revient à Madrid et constate que Rebecca s'est mariée avec un de ses anciens amants. Lequel, non sans avoir eu le temps de lui faire à nouveau des avances, est bientôt retrouvé assassiné...

     

    Faudra qu'on m'explique pourquoi j'ai beaucoup entendu parler de ce film durant ma jeunesse, parce qu'honnêtement c'est quand même très chiant.

    C'est pas le polar du siècle, et ça se sent car on voit bien que ça été finalement un prétexte pour causer relation mère/fille. Quand au gimmick le juge c'est le travesti, si t'es pas con tu grilles dès son apparition que c'est le même. Et d'ailleurs pourquoi il a fallu que ça soit un juge ? Genre il a pas autre chose à faire que de se déguiser en chanteuse ou en toxico ? Y'a que Victoria qui déambule avec sa tête de poisson rouge pendant 2h qui ne voit rien.

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    Le prêtre Ángel Beriartúa a décodé l'Apocalypse de Jean et est parvenu à déterminer le jour de la naissance de l'Antéchrist. Selon ce message, l'Antéchrist naîtra le 25 décembre 1995 à Madrid, où débute une vague de vandalisme et de criminalité.

    En revanche, il ignore tout du lieu où il viendra au monde. Convaincu qu'il faut arrêter cette naissance satanique, le prêtre se joint à un fan de death metal, José Maria (Santiago Segura), pour essayer, par tous les moyens, de trouver où l'événement aura lieu. Il va donc tout mettre en œuvre pour le découvrir, en cherchant à s'attirer les faveurs du Diable. Dans un Madrid survolté, il va s’efforcer d'obtenir la collaboration du "professeur Cavan", un charlatan vedette d'une émission de télévision.

     

    J'ai plutôt bien aimé même si j'ai trouvé que ça s’essoufflait un peu vers la fin.

    La partie la plus intéressante c'est celle où le prêtre est en roue libre pour commettre le plus de péchés possibles, mais même là pour chipoter je dirais que ça ne va jamais jusqu'au bout. La luxure par exemple n'est pas commise, alors qu'il va allègrement voler des cloches dans la rue.

    Quand ça débarque dans l'appart du gourou en bois c'est à partir de ce moment là que ça commence à être un peu moins attachant.

  8. La première partie chez les forains à tendance freak show est vraiment cool. C'est après que ça se gâte un peu, pas que ça soit inintéressant mais c'est un poil long.

    Et y a comme toujours chez Del Toro ce truc qui fait que je n'arrive pas à être plus bouleversé que ça par ce qui arrive aux protagonistes.

    Sinon encore une fois Toni Colette a une présence magnétique à l'écran.

  9. Si il n’y avait pas les 3/4 du film pendant lesquels Joël chouine ça irait. Mais là son deuil est long et chiant et son entraînement c’est pareil. 
    Après la baston dans la maison est cool et y a 2 ou 3 trucs sympas (le gars qui passe par le garde corps en verre) mais ouais c’est rachitique. 
    Et je n’ai rien contre Joël Kougnaman mais alors là il joue comme une gaufre. 
     

  10. J’y allais en pensant que j’allais détester vu que j’ai haï Hérédité mais finalement je n’ai pas passé un trop mauvais moment. Je trouve ça juste bof. 
    Comme la plupart, les 20 premières minutes sont chouette de malaise et d’angoisse, mais quand ils arrivent chez les pouilleux c’est là que ça retombe. Pas immédiatement mais petit à petit j’ai commencé à trouver ça long. Et c’est pas les moments « choc » qui ont réveillé mon intérêt. 
    Et puis y a beaucoup de trucs mal branlé, comme ces étudiants en anthropologie amorphes devant ce qu’il se passe devant leurs yeux, ou quand leurs potes disparaissent. Pareil pour le folklore des crapouilleux, j’ai eu l’impression que c’était juste une succession d’événements sans réel lien entre eux avec une mythologie bricolée pour créer des scènes prétextes. 
     

    J’aurais préféré un film d’1h30 sur ce couple de merde mais sans les pécors relous. 

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    Cinq tueurs à gages se retrouvent dans un train à grande vitesse voyageant entre Tokyo et Morioka et ne faisant que très peu d'arrêts. Les cinq criminels vont découvrir qu'ils sont tous liés par leur mission, se demandent qui va en sortir vivant et s'interrogent sur ce qui les attend à la gare d'arrivée.

     

    J'ai bien aimé.

    On sent que ça a été écrit avec Ryan Reynolds en tête et heureusement que Brad a décidé d'y aller à fond dans la gogolerie, parce que si Ryan avait pris le rôle, perso ça m'aurait gavé.

    Sinon on sent que c'est un peu la brochette boeuf/fromage concernant la culture nippone donc ça sent un peu du cul mais bon Michael Shannon avec un katana moi ça me va.

  12. J'ai trouvé ça nul de chez nul.

    Déjà le style de réal de Dupontel commence à dater quoi, on a compris qu'il aimait le jaune et les plans farfelus, mais à force ça commence à un peu gaver. Genre Virginie qui monte l'escalier hélicoïdal avec la caméra qui la suit c'est joli mais ça sert à rien.

    Quand à l'histoire, à aucun moment je me suis senti concerné par l'histoire de Virginie, son futur trépas ainsi que sa recherche de son mioche. Mioche qui est limite à stalker sa collègue comme un charo.

    Puis cette fin culcul avec l'ascenseur j'ai cru que c'était le dernier clou du cercueil mais heureusement qu'il reste la toute fin avec cette destinée funèbre écrite par un adolescent.

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    La vie de David Ghantt n'a rien de compliqué. Chaque jour, c'est la même routine: au volant de son camion blindé, il transporte des millions de dollars qui ne lui appartiennent pas. Sa jolie collègue va l'attirer dans une affaire foireuse.

     

    Il a mauvaise réputation mais moi j'ai vraiment bien aimé. On sent quand même la touche Jared Hess moins présente que dans ses deux précédents films.

    Après je trouve que Galifianakis s'éclate et c'est communicatif, en plus il ressemble à Michael Douglas dans les 70's. Et il chie dans une pistoche.

    Kristen Wiig en retrait tout de même, Owen il vient prendre son chèque et Sudeikis même si il a de la présence, son perso est un peu moyen.

  14. Je l’avais beaucoup vu étant mioche et il me semblait que c’était l’un des meilleurs Disney. Mais à la revoyure c’était un peu la douche froide. 
    La faute à un scénario et une histoire qui flotte un peu. L’apprentissage d’Arthur est quand même un peu merdique, Merlin lui apprend pas grand chose finalement et on sent que c’était un prétexte pour faire de l’animation d’animaux. Une fois ça va, les poissons je veux bien même parce que y’a le brochet, mais la séquence écureuil est relou et Arthur ne semble apprendre que dalle du vieux. 
    Heureusement que Madame Mim ramène un peu de vitalité psychédélique. 
     

    Au final si Merlin n’avait pas été là ça n’aurait pas changé grand chose au destin d’Arthur (dans le film hein), vu qu’il retire l’épée comme si il allait chier. On se demande même si la présence d’Archimede n’a pas été rajouté pour que ça fasse du lien. 
     

    Bref vive Madame Mim !

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    A l'autre bout de l'univers, un savant quelque peu dérangé a donné naissance à Stitch, la créature la plus intelligente et la plus destructrice qui ait jamais existé. Conscientes de son exceptionnel potentiel dévastateur, les autorités de sa planète s'apprêtent à l'arrêter, mais le petit monstre prend la poudre d'escampette à bord de son vaisseau spatial. Stitch échoue sur Terre, en plein Pacifique, sur l'île d'Hawaii. Le petit alien est bientôt recueilli par Lilo, une fillette de six ans.

     

    Bon on connait tous le film hein, qui n'a pas eu dans son entourage une meuf ou un gars qui avait un sac à dos ou un sac à main Stitch. Mr Jack style.

    Pour moi ça reste un très bon Disney parce que ça ne chouine pas inutilement, y a pas de chansons et les persos sont cools.

    Je n'ai jamais été fan que Stitch parle car ça démystifie un peu son personnage mais bon.

    Petit crush pour la grande sœur back then.

     

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    Lorsque Marguerite, la femme de Jean de Carrouges, est violemment agressée par le meilleur ami de ce dernier, Jacques Le Gris, elle refuse de garder le silence, n'hésitant pas à dénoncer son agresseur et à s'imposer dans un acte de bravoure et de défi qui met sa vie en danger. L'épreuve de combat qui s'ensuit, un éprouvant duel à mort, place la destinée de chacun d'eux entre les mains de Dieu.

     

    Contrairement à beaucoup j'ai pas trouvé que c'était une grosse claque mais juste un film qui se tient bien.

    Tout le monde assure (même dans les prononciations des noms en françois), mais après j'ai pas trouvé ça dingue non plus. Limite au milieu du chapitre selon la blonde j'avais envie que ça passe à autre chose.

    C'est un bon film mais c'est pas la claque qu'on m'avait vendu. Après c'est peut être que Ridley a plus tendance à nous sortir des daubes dernièrement que des trucs corrects, je ne sais pas.

  17. J'ai trouvé ça complètement à chier.

    C'est cousu de fils blancs, y a zéro effort pour pondre une histoire avec des ressorts un tantinet originaux, on sait que le mioche il va s'enfiler avec la blonde, on sait que Matt il va galocher Scarlett. A la limite pourquoi pas mais leurs relations ne sont même pas assez construites, ils sont juste là donc ça va s'embrasser.

    Puis pour un film sur un zoo on ne voit quasiment pas les bêtes, l'ours on le voit 2 fois, et l'histoire avec le tigre en fin de vie a été écrite pour qu'on chiale parce que Matt a des remords, alors que c'est juste un con obstiné. Et on ne filme même pas l'euthanasie, ce qui nous aurait évité de voir Matt morver sa morve et ce qui aurait été bien plus impactant émotionnellement.

    Le pire rôle de Scarlett qui vient prendre son chèque. Et elle a fait Lucy...

     

    Honnêtement Cameron Crowe on lui a sorti les lauriers au débuts mais en réalité ce qu'il nous pond c'est le plus souvent bien foireux.

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