Benj

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Chaque jour, Ginger essaie sans succès de s'évader de la basse-cour. Ses espoirs reprennent vie lorsque Rocky atterrit dans la basse-cour. Ginger voit alors en lui le sauveur de toutes les poules.

Chicken Run c'est top. Ca n'a pas vieilli d'un pouce et c'est toujours un plaisir de le regarder.

Il y a apparemment une suite qui sort en décembre 2023 sur Netflix, j'avoue ne pas avoir plus envie que ça de voir ça mais bon pourquoi pas.

Par contre les rats dans le film ne me donne aucune envie de regarder Souris City, visuellement je les trouve affreux.

La première partie n'est pas top, c'est une succession de sketchs sans trop de liant entre eux. Quand ils deviennent espions c'est là que ça s'arrange et que ça devient un vrai film. Après en terme de vannes y a du bon et du moins bon, mais la parodie de pub avec Poulpe de la milice c'était top !

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Hal Larsen est le type superficiel par excellence. Pas question pour lui de sortir avec autre chose qu'un canon. Mais voici qu'une séance d'hypnose improvisée change radicalement sa vision des femmes : il voit enfin leur beauté intérieure. Hal voit alors en Rosemary, qui pèse plus de 135 kilos et travaille dans l'humanitaire, la femme la plus belle du monde. Il tombe aussitôt amoureux d'elle.

Bon moi j'aimais bien le film avant, mais à la revoyure et avec l'age ça passe un peu moins bien.

Le problème c'est qu'ils n'avaient pas besoin de faire une obèse avec le perso de Gwyneth, une meuf hors des "standard" de la mode aurait suffit finalement. Je comprend que c'était sans doute pour faire un max de gags visuels (la bombe dans la pistoche, le milkshake, etc...), mais en vrai y'en a pas tant que ça. Et le running gag de la chaise qui se casse, déjà c'est pas drôle, deux la meuf n'est pas assez grosse pour qu'un banc de diner s'éclate.

Après il reste des trucs sympa, Black est sobre, y'a Jason Alexander avec une moumoute, mais après y a pas grand chose à se mettre sous la dent.

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Suite à un casse qui a mal tourné, Antoine blessé à la jambe, débarque de force chez Elias pour se trouver une planque. Rien ne destinait le braqueur, un rien anarchiste, à croiser la route de ce prof d'histoire sans histoires. S'engage alors un étrange rapport entre les deux hommes où se mêlent emprise et complicité. Or, c'était sans compter sur Lucie, l'enquêtrice un peu spéciale, chargée de l'affaire.

Ne regardez pas ce film c'est une merde.

Je crois qu'ils ont essayé de faire un film noir avec un peu d'humour mais dans les deux cas c'est totalement foiré. Ça n'a ni queue ni tête, ça ouvre des portes mais ça ne les referme jamais, y a des persos et des intrigues qui sautent en cours de route. Les personnages sont caricaturaux au possible, du genre la fliquette qui baise violemment.

Bref c'est totalement à ieche.

A la limite y'a que Cluzet en vieux braqueur qui est sympa mais c'est mince.

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Dans le Nord de la France, Régis Demanet est commercial à Pégase, une petite société de vente à domicile. Ce chef tyrannique d'une escouade de VRP farfelus voit débarquer sous ses ordres Jérôme Le Tallec, le futur gendre du patron. Le nouvel arrivant tente de s'intégrer et devient le témoin des méthodes peu orthodoxes de ces mercenaires. Régis voit en la venue de Jérôme une occasion pour réaliser ses ambitions personnelles au sein de Pégase.

Bon bah voilà c'est quand même culte non ?

Pas tant pour la grosse queue à Benoit, mais pour le portrait assez vénèr des commerciaux vendeurs/voleurs.

Puis le cast est fort, Yvon Back en beauf est magnifique, Chicot en vendeur désabusé et Boisselier en jeune trou du cul sont parfait aussi.

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Regan, Gena et Katie sont inséparables depuis le lycée. Très cyniques, elles sont stupéfaites d'apprendre que leur amie Becky, adorable mais rondouillette, est la première d'entre elles à se marier ! Alors que Gena et Katie sont toujours célibataires, Regan harcèle Frank, avec qui elle sort depuis quatre ans, pour qu'il la demande en mariage.

C'était à chier par la pine.

Prendre le partie de mettre 3 connasses en personnages principaux c'est toujours risqué. Et là ça a merdé. A aucun moment on à envie de ressentir de l'empathie pour ces 3 bouffonnes qui n'ont rien à sauver. On nous sort à un moment donné un trauma pour chacune histoire qu'on se dise qu'elles ne sont pas si merdiques humainement mais en fait leur pseudo trauma en bois n'excuse en rien leurs comportements.

Et à la fin personne n'aura changé non plus.

Ah je trouve justement qu’il est important tant il est un boulet pour Lanvin. Ok ça change pas l’issue du film mais ça crée une relation forte entre les deux. Relation qu’on a pas à expliquer. 

En vrai non, mais elle oui

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De chanteur à businessman, de ministre à prisonnier, Bernard Tapie a tout connu. À travers ses réussites comme ses échecs, la série retrace le destin romanesque d’une personnalité publique hors du commun.

Je n'ai vu que la moitié.

Même si je reconnais que ça se suit sans mal, c'est difficile de ne pas voir un peu trop de Tapiewashing face à ce qui est raconté. Genre l'épisode Wonder où il s'en sort avec les honneur dans la série alors qu'en vrai c'est plutôt le contraire. Et puis ça insiste beaucoup trop sur le fait que c'est un mec qui pense avant tout à son "milieu".

On se demande si y a pas la fille derrière la caméra, en même temps c'est écrit par le fils de Séguéla donc ça doit pas être loin.

Sinon Lafitte en Tapie pourquoi pas, mais je ne voit que Lafitte qui joue un connard. Il aurait mieux fait de faire le biopic sur Michel Leeb.

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Alice est une jeune fille qui s'oppose à la construction d'une centrale nucléaire initiée par son père, qui est député. C'est alors qu'un étrange visiteur les emmène en 2555, un futur dévasté par l'explosion de la centrale. Pour le visiteur, la mort du député est la solution la plus simple pour éviter la catastrophe. Cependant, le temps presse. Une police du futur les traque afin d'empêcher toute modification temporelle. Alice devra réussir l'impossible : sauver son père et sauver le monde.

Je suis totalement passé à coté à l'époque, apparemment selon ma jeune épouse c'était un truc regardé par pas mal de monde.

Du coup j'ai regardé ça avec un oeil vierge, et finalement j'ai pas trouvé ça dégueulasse et plutôt divertissant. Ça mange à tous les râteliers, y a des acteurs pas fous (la fille, la soldat), faut se taper la tronche de Ducret, mais même si on sent qu'il y a eu une économie de moyens, j'ai trouvé que ça passait bien.

J'ai quand même du demander qui était qui parfois, genre McFly et Carlito, etc...

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Plutôt misanthrope, Bernadette Fox a pour seuls amis sa fille Bee, brillante adolescente de 15 ans, ainsi que son mari attentionné. Tandis qu'elle tente encore de rénover sa maison délabrée et de se convaincre qu'elle aime Seattle, elle a renoncé à se faire accepter par les autres parents d'élèves du lycée huppé de sa fille. Jusqu'au jour où elle disparaît. Bee ira jusqu'au bout du monde pour la retrouver et découvrira alors son histoire.

Linklater il peut pondre des trucs sympas mais parfois il peut pondre des trucs nases ou simplement bof.

Là c'est plutôt bof, on suit Cate qui est misanthrope et donc elle est un boulet pour tout son entourage. Mais bon comme c'est une grosse geoisebour perso ses malheurs me passaient au dessus de la tête.

Et puis le message du film et son traitement finalement on a du mal à compatir.

Bon y a Kristen Wig qui vient faire un tour, mais c'est pas fou.

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Denis, un éternel angoissé, bourlingue avec son copain François, un guitariste bellâtre. De retour de Grèce, tous deux se rendent à Paris, où un ami doit les loger. Mais l'ami en question a disparu et son toit s'est envolé.

Je crois que j'aimerais toute ma vie ce film. Le duo Lanvin / Blanc fonctionne au top et les dialogue écrits par Blanc sont ciselés.

Et y a un coté populaire qui fait pas dans le misérabilisme, notamment quand ils se retrouvent dans le squatt avec la communauté africaine. Y a pas ce coté "vu d'en haut", on est encore dans un cinéma populaire dans lequel les classes moyennes peuvent se retrouver sans être caricaturées. Bon après je me doute bien que Blanc à l'époque n'habitait pas à Bondy mais on s'intéressait plus à cette classe sociale, y a qu'a voir qui sont les deux protagonistes principaux, deux paumés qui jouent de la guitare dans le métro.

Le film me fait penser à Viens Chez Moi, J'habite Chez Une Copine, mais j'ai plus de souvenirs de celui ci que de celui avec Giraudeau.

Chelou quand même. 

C'est pas parce que tu appuies sur un truc genre "partager" ou "share" ?

Essaie de copier le lien de la barre d'adresse et normalement ça suffit.

ou

Quand tu colles ton lien, y a pas un truc bleu qui apparait en bas qui te dis que ton lien est un lien et pas une vidéo intégrée ?

Bon 15 ans après ça passe toujours.

Le seul truc qui démange un peu c'est que les meufs nerds à la fin restent quand même bien coiffées, maquillées et bien habillées, au lieu de redevenir un peu plus naturelles.

Après c'était l'époque, aujourd'hui on aurait des femmes avec des looks un peu plus personnels.

Sinon Anna Faris n'a pas eu la carrière qu'elle méritait.

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À quarante ans, Frédéric est prêt à tout pour avoir un bébé. Cependant, sa femme Claire, une pianiste célèbre, a un avis complètement différent sur le sujet : elle ne veut absolument pas d'enfants. Frédéric décide alors de modifier les pilules contraceptives de Claire pour qu'elle tombe enceinte et fait en sorte qu'elle mène sa grossesse à terme, c'est-à-dire qu'il la prive volontairement de la possibilité d'avorter.

Très partagé sur le film.

Les bons points :

Les deux acteurs sont formidables, Cohen qui ne fait pas du Cohen ça fait du bien, Foïs en retrait est excellente. Le coté impro et acteurs non professionnels en face d'eux est une très bonne idée.

Les mauvais points :

Le problème du consentement. Alors ça fait un bon sujet de film, et ça crée des bons gags mais le fond est tout de même très problématique. Y a qu'a demander à n'importe quelle femme de son entourage si ça lui ferait plaisir que son gars la foute enceinte en scred.

Et le fait que la réalisatrice estime que le film est féministe est là aussi très discutable.

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Après la mort de sa mère dans un accident de voiture, Cassandre tourne le dos à son passé : elle laisse son père et sa sœur à Huy et devient hôtesse de l'air pour une compagnie low cost. Incapable de se projeter dans le futur, elle vit au jour le jour entre son travail, la vie commune avec le personnel en escale, les nuits en boîte, les rencontres de passage à travers les réseaux sociaux…

Voilà j'ai trouvé ça atrocement chiant, mais ça m'a permis d'aller sur mon téléphone avec un fond sonore.

Je comprend le sujet de la tristesse éprouvée par Adèle, son taff en compagnie low cost, les espoirs inatteignables, le capitalisme, etc... MAIS est ce que c'était nécessaire de remplir le film avec une scène de 3 minutes avec La Grecque qui reçoit un appel d'SFR et qui becte une crêpe sur la plage ? Est ce que c'était nécessaire de faire une scène de biture avec des acteurs avec des boutons qui racontent de la merde ? Est ce que c'était pas possible de foutre un micro cravate au daron qui bafouille au bas de la porte ?

Je lis que le film a été tourné avec très peu de moyen mais bordel moi ça me fume ces plans de paysages qui défilent.

J'ai profité d'une coupure internet pour sortir les vieux DVD et me refaire cette saga culte pour beaucoup de monde.

Je gardais peu de souvenirs du premier opus, et de bons souvenirs du second et du troisième.

Et là à la revoyure, je crois que je place le second opus un peu au dessus du premier à cause de la présence de Mini-Me. Le 1 reste quand même un film bien sympa, mais j'en garde à chaque fois peu de souvenirs.

Par contre le 3ème est beaucoup moins bien que les autres, ça sentait vraiment l'opus pour faire du pognon. Y a qu'a voir le générique avec Tom Cruise, dans l'idée c'est marrant mais le reste du film est un peu creux et répétitif (le retour de Fat Bastard, Goldmember qui sert à rien...)

Depuis des années Myers raconte qu'il aimerait bien faire une suite mais en vrai il peut rester à la maison, les temps ont changé et le dernier opus sentait vraiment le fond de tiroir.

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En 1949, à 15 ans, Brigitte Bardot, élevée strictement, rêve de devenir danseuse. Plus tard, guidée par son amour pour Roger Vadim et poussée par son désir de liberté et d'émancipation, elle se laissera happer par le cinéma.

Brigitte Bardot j'en ai rien à foutre normalement, pour moi c'est une vieille figure d'un cinéma qui ne m'intéresse pas, doublé d'une facho retranchée dans le sud avec ses clebs.

Mais on a quand même regardé puisque ça allait forcément résumer sa vie et sa carrière et que ça ne dure que 6 épisodes.

Alors ça va, c'est pas non plus la folie pour ceux qui ne s’intéressent pas à la Bardot et au ciné des 60's en France. L'épisode 2 centré sur sa relation avec Trintignant est juste chiant et interminable. Le reste ça passe, ça permet d'apprendre 2-3 trucs, mais en vrai sa vie on s'en bat les couilles, autant qu'elle apparemment.

En fait j'ai envie de dire que pour les nostalgiques de la France d'alors, le cinéma de cette époque, les yéyés, Delon, etc, ça doit être plus sympa.

Sinon l'actrice est chouquette, y a le petit fils de Bebel en Roger Vadim, mais comme la série s'arrête avant les 70s donc on aura pas la chance de voir cette poivrasse de Gainsbourg lui toucher le cul.

Bon je me suis fait méga chier.

Les passages hors compétition sont franchement mous, et même si le fond de la société corporatiste est intéressant, c'est surtout la mise en scène qui m'a endormie. Ca et le fait de s'intéresser au perso de Caan qui n'est finalement pas très intéressant.

Et même les séquences de Rollerball m'ont gonflé.

Tant pis.

Y a quand même De Kervern qui se doigte le cul.

Et faut ajouter aussi que la fin sans être ultra gore montre quand même du lourd niveau blessure.

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François Sentinelle mène une double vie. Le jour, il est le flic le plus médiatique de l’Île de la Réunion, connu pour ses méthodes musclées et ses chemises à fleur, poursuivant les criminels à bord de son célèbre defender jaune. Mais hors des heures de service (et bien souvent pendant), Sentinelle a un autre métier : chanteur de charme. Tous les réunionnais ont dansé sur "Le Kiki", son tube de jeunesse aujourd'hui un peu embarrassant. Depuis quinze ans, il essaye de renouer avec le succès en préparant un nouvel album… sans succès. Mais entre la police et la musique, Sentinelle ne veut pas choisir. Alors qu’il reste affairé à ses concerts et la sortie de son album, une vague de crimes violents secoue l’île. Une figure de l’élite locale est kidnappée, une autre assassinée. Pour n’importe quel flic, ce serait l’affaire d’une vie. Mais Sentinelle, tout à sa musique, n’a pas vraiment la tête à enquêter.

Bon j'ai ri à pas mal de vannes, voilà.

Le problème c'est qu'à la longue on va être saoulé par Jonathan Cohen, parce que là c'est son personnage de La Flamme mais en flic. Donc niveau renouvellement c'est pas ça.

Le film n'est pas forcément mal foutu mais y a des aspects téléfilm sur les bords, en même temps c'est un direct VOD donc ça se tient.

C'était mortel !

Le film est efficace et possède un rythme bien nerveux.

Le cast est parfait, Jon Voight est dégueulasse et Eric en taulard tubé tient son meilleur rôle.

Bien mieux qu'Unstoppable avec Denzel et son œil qui dit merde à l'autre.

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Richard Poulenc est SDF. Pour éviter la prison et ne pas avoir à rembourser des années de RMI, il doit retrouver Catherine, sa femme devenue milliardaire, dont il est séparé depuis de nombreuses années, afin de lui faire signer les papiers du divorce.

Maintenant je regarde des films français.

Honnêtement j'ai trouvé ça sympa pour ce que c'est.

Elsa est parfaite en pute désabusée et Jean Yann en patron d’hôtel violent c'est très bien aussi. Bon Gamblin en clodo gauchiste ça fait le job mais c'est presque un peu trop. D'ailleurs y a une scène de diner où ça s'écharpe politiquement et c'est pas écrit finement.

Alors que le reste des dialogues est plutôt sympa.

Et ben en fait c'est bien, y a encore cette patine de la fin des 90's.

C'est un peu Training Day avant l'heure, sauf qu'on a Jim Belushi et son goitre à la place de Denzel.

Franchement l'histoire m'a intrigué, les acteurs sont corrects, Jim est vraiment bon en ripoux, Toupac sans plus mais il s'en sort bien.