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Benj

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Tout ce qui a été posté par Benj

  1. Wow j'ai trouvé ça incroyablement chiant. Qu'est ce qu'on en a à foutre de voir James Dean chouiner pendant 2h dans ses épaules là ! Sérieux si le culte autour de Dean c'est juste parce que c'était un écorché vif, un petit ange parti trop tôt, je rigole. J'aime pas du tout cette proposition d'acting outrancier. Puis même le sujet, la recherche de l'acceptation de son père et de sa mère pourquoi pas, mais pas comme ça avec un gars qui fait pousser des fayots en chouinant dans les buissons. Je vais essayer La Fureur de Vivre mais alors si Dean continue à jouer comme un con ça va vite me gaver.
  2. Moi j'ai également trouvé ça correct. C'est moche, mal joué, les dialogues sont à chier, les caméos sont encore plus à chier, les lois de la gravité et de la physique sont en freestyle, et y a plus aucune cohérence (si y en avait une) avec l'univers de FF (Idris et sa moto à la limite du fantastique). Pourtant j'ai pas souffert, y a une partie avec des gros samoans qui changent des carters d'huile et qui se battent avec des armes en bois et en recyclage de ferraille. Clairement la baston manque d'épique, et les impacts sont nuls donc c'est un gros gâchis, mais je me suis contenté du peu. Et comme dit plus haut, l'injonction à aimer sa famille dans celui là m'a vraiment moins gavé que celle des FF de Diesel.
  3. Benj

    Gomorra - Matteo Garrone - 2008

    Moi j'ai bien aimé, pourtant y a aucun personnage auquel s'attacher dans le film, hormis peut être le tailleur. Le reste y a que des connards vilains. Mais sinon j'ai trouvé que ça se suivait bien. Ça donne pas envie d'aller vers Naples, c'est bien. De ce que je lis sur le forum il faut regarder la série apparemment.
  4. Benj

    The Last of Us (2023)

    La saison 1 est terminée et finalement elle est comme le jeu, c'est à dire sur des rails. En vrai c'est Walking Dead de meilleur qualité, je crois qu'on est arrivé au bout des films ou JV de zombies non ? La les mecs sont des champignons c'est tout ce qui change.
  5. Je préfère cette version, plus nerveuse et moins plan plan. Moi j'aime bien que la famille de Nolte ne soit pas parfaite, ça fait quand même contrepoids au perso de Max Cady. Et ce que propose De Niro me convainc beaucoup plus que ce que proposait Mitchum. Même si à la revoyure c'est légèrement too much, avec ses tatouages et ses fringues de gogol. Par contre Scorsese abuse des travelling outranciers dans celui là, on sent une inspiration venue d'ailleurs, et c'est bien plus intéressant quand il pose sa caméra et qu'il laisse faire ses acteurs (la scène du théâtre). Petite faute de gout aussi de ne pas montrer le clebs crevé, ça aide pas à avoir de l'empathie.
  6. Moi je suis pas loin de m'être fait chier. J'imagine que c'est très personnel, et que la vision du remake il y a des années n'a pas aidé. Même la curiosité de voir les différences ne m'a pas plus titillé. Puis je trouve que Peck est pas intéressant comme acteur dans ce film. Il est inexpressif et monolithique, avec sa famille chiante là, en vrai j'étais pour que Robert il leurs en mette plein la gueule. J'ai compris que c'était pour faire contrepoids, mais vraiment la famille de papier glacé là m'a gavé. Le plus intéressant du film c'est effectivement Mitchum qui rentre le ventre et qui vient emmerder l'autre. Après c'est pas non plus la flippe totale quoi. Voilà je préfère le remake.
  7. Il est sur OCS actuellement. Bon ça se laisse regarder, y a un manque de rythme tout de même, heureusement que ça dure pas longtemps. Manque de charisme des protagonistes de l'affaire aussi. C'est pas sanglant, les scènes d'attaques parfois ça passe (la meuf dans la maison) parfois c'est nul (les gosses du début). C'est honnête, y a largement pire. Y a une "suite" qui a été chiée en 2019, ça a l'air bien cheap.
  8. Benj

    Revenge - Coralie Fargeat - 2017

    Quand on comprend qu’on regarde un bon gros bis bien sanglant on fait fi des absurdités du scénario. Parce que bon l'arbre cramé, le verre de la lampe torche, la cicatrisation, etc... c'est très limite en terme de réalisme mais bon on s'en fout. J'ai pas senti le temps passé moi et j'ai vraiment pris du plaisir devant ce Rape & Revenge bien vénère.
  9. Ah c’est bien The Bear ? Dans Punisher ou Walking Dead je l’avais trouvé sans plus. Même dans les films, je suis content qu’il soit là mais il ne me retourne pas la tête. Alors qu’ici j’avais envie de lui éclater sa gueule à chaque apparition (enfin c’est lui qui m’éclaterais mais tu vois t’as vu).
  10. Mini série exceptionnelle par le créateur de The Wire. Le show tient beaucoup sur les épaules de Jon Bernthal qui campe un ripoux à merveille. On le suit depuis ses débuts jusqu'à sa forme finale de gros connard macho rouleur de mécanique. Et putain Bernthal est habité par le rôle. Le reste du cast est bon aussi, on retrouve Jaime Hector qui joue un type un peu effacé, et y a même un vieux Treat Williams qui apparait. L'histoire quand a elle est intéressante, mais est surdécoupée avec des flashback et des mélanges d'années qui rend parfois le tout difficile à suivre. Je conseille vraiment pour Bernthal.
  11. Benj

    Detroit - Kathryn Bigelow - 2017

    C'est pas mal mais hormis la partie du milieu dans l’hôtel j'ai trouvé le reste un peu plat. Pourtant le sujet me parle, mais il manque quelque chose que je ne saurais définir qui fait que le film ne me touche pas comme il aurait dû. Peut être la faute à un casting que j'ai trouvé insipide. Même le méchant flic je l'ai trouvé quelconque.
  12. Énorme déception. On a un couple en cavale qui ne prennent que des décisions de débiles. Ça va danser, ça sort la tête de la fenêtre de la voiture en mode yolo, ça donne son flingue à un random comme ça, etc… et le film est bourré de choix incohérents avec une cavale. Ça c’est rien encore, parce qu’on rajoute à ça des personnages secondaires (le flic du garage, le gosse…) qui eux aussi agissent n’importe comment juste parce que les auteurs avaient envie que leurs héros s’en sorte. Du coup on suit ces deux personnages sans vraiment craindre pour leurs fesses. Parce que le film ne choisi pas vraiment ce qu’il veut être, un road movie, une cavale, une romcom ou un brûlot. Et même pour ce dernier c’est très discutable. Parce qu’au lieu d’y aller franco en mode ACAB et bien on nous montre qu’il n’y a pas que des mauvais flics (gentil flic du garage). Du coup ça dénonce rien, ça s’annule. Beaucoup trop de problèmes d’écriture. Mais à côté de ça c’est difficile de détester le film. La réalisation est classe, la photo est belle, les acteurs sont top, y a une scène de zizi très belle… Mais faut avoir sa suspension d’incrédulité bien accrochée pour ne pas trouver de gros défauts au film.
  13. Très sympa ce thriller sous fond de crash aérien. Bon très vite on devine où ça va nous mener tout ça mais c'est pas mal fait. C'est quand même d'un niveau supérieur comparé à Burn Out du même réal. Niney fait son taff comme il faut.
  14. Contrairement à beaucoup c'est pas la prestation de Kingsley qui m'a épaté mais plutôt celle de Ray Winstone, parfait en gangster à la retraite avec du bide et légèrement tocard face à l'autre. Sinon ça se suit parfaitement, j'ai été surpris qu'ils aient réussi à mettre une scène de braquo après cette grande première partie. Tout est parfait (à part peut être les 2 séquences avec le lapin qui ne servent à rien). C'est pas trop clipeur, les acteurs sont bons et c'est court et c'est largement suffisant.
  15. C'est très sympa, c'est dans lignée de ce qu'ils faisaient sur le Palmashow. Et la chanson rentre bien dans la tête.
  16. Gros flop pour Nicholson, mais en même temps arriver 2 ans après Shining avec un sujet bien politique c'était risqué. Mais le père Jack s'en sort parfaitement, j'aime toujours quand un acteur choisi de jouer un mec un peu nul. Ici il est en contradiction avec Keitel qui est le flic corrompu ultime. Et donc en face y a Jack qui se démène comme il peut, avec son taff questionnable et sa femme qui dépense tout le fric. Critique sévère de la société américaine qui se goinfrent et gâche la bouffe alors qu'à deux pas d'eux il y a des mexicains qui crèvent la dalle. On peut reprocher au film de divulgâcher un peu le récit dès le début mais comme dirait l'autre c'est le voyage qui compte.
  17. Très sympa ce thriller cotonneux sur la côte ouest. La folle est horripilante à souhait mais c'est très subtile et ça passe très bien. Effectivement le coté jazzy, maisons sur la corniche et resto de crustacés font qu'il y a une bonne ambiance. Il est vrai que les longues séquences de marche sur la plage auraient pu être écourtées.
  18. J'ai tenu 30 minutes sur 2h. C'est pas un délire pour moi, trop de trucs qui s’enchevêtrent, de séquences absurdes et nawak sous fond d'hallucinations ou de gueule de bois. L'affiche française pèse, et peut être que le film est bien mais moi ça m'a vraiment pété les noix.
  19. J’aime bien, ça prend son temps, ça ne nous assène pas de séquences en CGI qui cassent la tête. Les scènes d’action/bagarre par contre sont pas top. De la bonne slow/vintage SF. A mettre à côté de Prospect (2018).
  20. Non mais je sais remettre un film dans son époque Mon film préféré cest quand même 48h avec Nick Nolte qui gueule sur sa meuf et qui sort des trucs racistes. C’est juste que là j’ai trouvé que le gars était un con et qu’on me manipulait pour que j’ai de la sympathie pour lui, et pas vraiment pour la reconnaissance du père dans les divorces. A la limite pour le bien être du mioche je veux bien même si j’ai trouvé le procédé utilisé à la fin encore une fois bien manipulateur. Après c’est bien si ça fait parler. On est là pour ça.
  21. Je me permets de répondre. Le père dans le film a des excès de colère hors tribunal. Quand il balance son mioche dans le lit c’est avant le divorce et parce que le gosse fait chier. Alors oui Dustin pousse son laïus anti système au tribunal mais pas en colère. J’ai pas tellement de problème avec le père que joue Dustin même si je trouve que c’est gros con sur les bords. J’ai un problème avec le côté manipulateur du film. J’ai compris le message sur la mère n’est pas mieux que le père, mais j’aurais dû mal à adhérer à ce que me vend Dustin. Après je ne suis pas père, je n’ai pas de leçon à donner à des pères de famille mais si je l’étais je ne pourrais pas me ranger derrière l’image que renvoi ce père là. Je pense que l’image qu’on avait de l’homme à l’époque a vieilli (ce baiser agressif de winner là).
  22. Paddington le 1 c'est bien, ça reste encore cool pour un adulte. L'ours est un peu con sur les bords et y a des gags un peu meh mais ça passe. Kidman en bad girl c'est pas mal en vrai. Paddington 2 faut mettre le niveau de sa suspension d'incrédulité très haut par contre. C'est moins bien que le 1 parce qu'ils en font toujours plus mais la fin arrive à nous faire mouiller les yeux.
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