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riton

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Tout ce qui a été posté par riton

  1. riton

    [Wild Side]

    L'été du Démon, c'est http://www.imdb.com/title/tt0202434/ déjà sorti chez HVE en Z1. C'est un beau film, avec peut être une petite faiblesse de rythme, mais aussi des interprêtes haut de gamme et une superbe photo couleur que Wilde Side a intérêt à ne pas affadir. Ca vaut le coup. Pas vu les autres, mais l'achat du Misumi, du Kobayashi et du Fukasaku vont être difficilement évitables.
  2. riton

    Arret d'Arret sur Images

    Colombe, je l'aie entendue 2 minutes dans une émission de radio, ben c'était pas la super joie. ASI restera probablement sa meilleure période.
  3. riton

    Arret d'Arret sur Images

    Finalement, y'en a qui peuvent continuer à regarder TF1 et lire Voici. Ca leur convient très bien.
  4. Rien que de lire : Je me sens mon estomac se révolter.
  5. riton

    Arret d'Arret sur Images

    Oui, mais elle est d'une beauté classique, presque sans mérite à ce stade. Tandis que Maja...
  6. riton

    Arret d'Arret sur Images

    Tout à fait d'accord avec Prodigy. Le ton était trop prétentieux en regard du contenu, lequel n'était pas toujours top niveau non plus, faut être honnête. N'empêche qu'au final, c'est une des rares émissions télés régulières intéressantes. Et puis il savait choisir ses collaboratrices.
  7. il y a les salles IMAX (je n'y suis jamais allé), mais IMAX c'est aussi un système de prise de vue. En gros on expose du film 70mm en défilement horizontal : du cinéma en moyen format en quelque sorte. Les possibilité de l'image doivent être énormes, notemment en termes de photographie (bien qu'il soit hors de question que je mette les pieds dans une telle salle ) http://fr.wikipedia.org/wiki/IMAX
  8. riton

    HOSTEL 2 - Eli Roth, 2007

    Nan mais il a raison Joe. Ca rigole, ca rigole, mais rappelez vous comment le monde étatit triste avant les films d'Eli Roth. On peut bien lui pardoner un si petit manque de modestie.
  9. riton

    Gong Tau - Herman Yau (2007)

    Oui, bon, ça la l'air un peu cheapos. Mais il est loin le début des 90's et sa sarabande de cat III foufous.
  10. Sortie en video le 25/06 du nouveau cat III de Herman Yau. Herman Yau, putain ! Le trailer : http://www.youtube.com/watch?v=Gs4ip-bvZKA Lam Suet, des mille-pattes et des femmes nues ! Bon, en revanche il semble que les derniers films d'Herman aient étés tournés en HDV, donc il est possible que ce soit le cas pour celui-ci aussi.
  11. riton

    [Hk Video]

    Il est pas encore en magasin, à Lyon tout du moins.
  12. Je pensais à une sortie "technique" sur un tout petit nombre de copies qui circulent sur le territoire. Je voudrais vraiment voir ce que donne la photo en salles. Et bon, Hitomi est peut-être mignonne, et dans certains film il est possible qu'elle convienne parfaîtement. Mais là, à chaque fois qu'elle est sensée exprimer quelque chose, elle me rejette en dehors du film. Désolé. Bon, de toutes façons, les pros de la J-pop à l'écran j'ai souvent du mal. La dernière fois c'était dans Hold Up Down, terrible. Commercialement ce doit être rentable mais du point de vue de la performance, on voit quand même la différence entre Tsutsumi et Terajima d'un côté, et la bande de poseurs de l'autre. Mais je ne suis pas fan de J-pop non plus.
  13. aka Akumu tantei Le Nightmare Detective du titre est un jeune homme dépressif capable d'entrer dans les rêves du dormeur. La police va faire appel à lui dans le cadre d'une enquête sur une série de morts supectes. C'est un résumé excessivement court, mais la partie développement de l'action se situe au début du film, la fin étant axée sur des enjeux de sens. Mieux vaut donc ne pas trop en révéler, histoire de ne pas gâcher l'impact des scènes liminaires. A ce titre on peut d'ailleurs mettre en garde les spectateurs potentiels contre la lecture de pitchs trop détaillés. Nightmare Detective ne fait pas partie des plus grandes réussites de Tsukamoto. On y retrouve bien des thèmes caractéristiques de son cinéma : la mégapole déshumanisante, la blessure originelle, le réveil de l'être par la violence et la douleur... sont présents aussi moult aspects graphiques ou stylistiques typiques de l'auteur : caméra qui "court", image tremblée lors des scènes d'action, plans sur la ville qu'on croirait avoir déjà vus dans Tokyo Fist, utilisation de filtres froids ou très chauds... A postériori Nightmare Detective pourrait se présenter comme une synthèse de son cinéma, mais j'ai plus eu l'impression de voir un medley de ses précédents films. Et le jeu d'une partie des acteurs n'arrange pas les choses, notemment celui d'Hitomi dont le manque de finesse n'aide pas à la crédibilité de son personnage. Dommage, car à coté Ren Osugi et Masanobu Ando sont parfaits. En ce qui concerne la photo, le DVD Raro ne permet pas de se prononcer tant il est évident que l'encodage a été fait à la truelle. Le rendu trop net de certains contours et le manque de relief des matières et des couleurs sont donc peut-être à mettre sur le compte de l'éditeur. Ceci dit, Nightmare Detective est loin d'être un film calamiteux, et le montre bien lors de passages à l'évidence très réussis. Par exemple si la première scène de mort est efficace, la deuxième est remarquable. Evidemment, à coté des beaux morceaux, ceux qui sont un peu ratés ou maladroits ressortent d'autant plus. La bande originale est de Chu Ishikawa (suprenant, non ? ) et Tadashi Ishikawa, et va d'une reprise de la troisième gymnopédie à des sonorités qui evoquent le Snakepit de Cure, en plus de plages dans une tonalité plus commune chez le compositeur comparse de Tsukamoto. On notera au début du film un clin d'oeil appuyé aux film de fantômes japonais et une référence à Jacob's Ladder (ou Bacon), pratique qui me semble nouvelle de la part du réalisteur ? Des forumeurs de Hkmania annoncent que Nightmare Detective a été acheté pour la France par CTV. Une sortie en salles ? Il est quand même triste que Vital, mais surtout A Snake of June soient oubliés des distributeurs français. Nightmare Detective me paraît moins important que ceux-ci dans l'oeuvre de Shinya Tsukamoto.
  14. riton

    [Hk Video]

    Tu les as vus ?
  15. Oui bon, à ce prix il risque d'y avoir des décus quand même. Moi je l'aime bien cet animé, je l'aime même beaucoup, mais il est techniquement très limité quand même.
  16. @ DPG : Hum. Dénigrer les propos d'une forumeuse d'à coté alors que tu peux aisément lui causer directement... J'imagine que tu es un peu fatigué, et certain que tu es plus sympa que ça
  17. Un petit groupe d'amis, et ex-compagnons d'armes décident d'améliorer leurs conditions de vie en Chine populaire : ils vont passer la frontière Hong-Kongaise et effectuer un braquage de bijouterie. Evidemment, tout ne se passe pas aussi bien que prévu... Long Arm of the Law premier du nom a été souvent considéré comme le film originel de l'héroic bloodshed. C'est certainement au moins partiellement vrai si l'on pense aux films noirs et âpres de Ringo Lam et Kirk Wong, beaucoup moins si l'on songe aux ballets esthétiques et sanglants de John Woo. Car à défaut d'être exempt de défauts techniques, LAOTL est pour le moins sombre. Evitant soigneusement de présenter la confrontation des voleurs et des gendarmes sous l'angle moral, le film de Johnny Mak met en scène des personnages humains et décidés à émliorer leur sort, au prix d'une extrême violence si nécessaire. Pas de romantisme mélo Wooien, ni d'interrogation chevaleresque sur l'honneur, juste un cheminement dont on se doute que l'issue ne sera pas joyeuse. Pour être franc, en termes de réalisation et sous l'angle purement cinématographique, le film n'est pas un pur chef d'oeuvre tout du long. Certains passages sont lents voire poussifs, et le manque de moyens est parfois visible. Même la première scène d'action, le passage des barbelés vers HK fait un peu cheap malgré son élément dramatique. Mais le premier de meurtre, violent et excessif crée la surprise. Et LAOTL va dorénavant regorger de passages intenses, jusqu'au final apocalyptique en forme de carnage dans des ruelles étroites et lépreuses, véritable piège à rats finalement bien plus insalubre que le lieu d'origine des "héros". Car là aussi réside une force du métrage : les décors naturels, la vraie ville avec plein de monde, exhalent une sensation de réalisme cru. L'impression laissée est d'avoir vu une oeuvre imparfaîte mais déterminée et dont la brutalité vaut preuve de franchise, soulignant son propos pessimiste.
  18. Je suis un peu d'accord, c'est assez foutraque sur la fin. Mais le film baigne dans une ambiance et une poésie qui n'ont aucune chance d'être le point fort d'un remake US, lequel se chargera d'aplatir tout ça histoire que le spectateur lambda soit bien assuré que rien ne lui ait échappé. Finalement je préfère sans doute une version un peu brouillonne.
  19. Rien n'est moins sûr : mon prof de Français de 1ère ne m'a laissé que très peu de souvenirs littéraires. Mais je me souviens qu'elle tenait mordicus à l'utilisation du mot "formidable" dans sons sens de "redoutable" à l'écrit comme à l'oral. Ce qui prouve a) qu'elle était vieillie et b) qu'elle ou un des ses anciens élèves a pu faire cette traduction Donc à mon avis, ce n'est pas une faute de sens, mais de registre. Qui mérite l'indulgence du jury, soyez pas vache m'sieur... On s'en fout bien évidemment, et c'est histoire de galèjer. De toute manière c'est pas pire que de parler de foot.
  20. C'est pas totalement faux, plutôt une erreur de registre : formidable : Vieilli ou littér. Qui est à craindre ou qui inspire une grande crainte, qui est dangereux de nature ou terrifiant d'aspect. Aspect formidable; sinistre et formidable, formidable et monstrueux. Synon. effrayant, effroyable, redoutable, terrible.
  21. riton

    Kumite

    En tous cas ça a pas du faire un carton à la vente, parce qu'au Gibert de Lyon y'en a des floppées sous emballage d'origine et bradés.
  22. A noter que les bonus du disque US de la version uncut proposent des extras contenant des passages amusants - Marilyn Chambers faisant une tentant d'expliquer comment réaliser une "deep throat" mais n'arrivant pas à garder son sérieux - mais surtout une interview d'Annie Sprinkle, absolument charmante, qui évoque sa recontre avec Damiano, lequel évoque la belle Annie avec une émotion communicative. Je ne sais pas si ces bonus sont inclus dans l'édition Z2 ?
  23. J'ai trouvé le docu pas mal du tout, bien que trop court. L'angle choisi est certainement celui d'une certaine nostalgie, et donc vouloir tirer une vision globale de la société de l'époque par ce biais est illusoire, mais d'un autre coté on n'a pas de mal à constater que le porno 70's pouvait présenter des qualités absentes de la production contemporaine. Sur le plan de l'histoire juridique, je ne savais pas que DT avait subi un nombre aussi important d'attaques. Bien sûr Inside DT manque sa cible militante, à savoir d'aborder en profondeur la définition de "l'obscénité vs les bonnes moeurs", et son utilisation par divers bords. En ce qui concerne le choix de Reems pour les poursuites, je pense que le but était aussi de prendre la cible qui avait le plus de chances d'être condamnée, puisque les persécuteurs voulaient créer un précédent. Le réalisateur pouvait présenter une défense fortement axée sur la liberté d'expresion, Linda Lovelace pouvait paraître comme victime aveugle de la pornographie, et Reems était probablement le mieux habilité à endosser le costume du méchant.
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