riton

Ah non, DB n'a pas tout suivi. M. Zene a transmuté vers l'europe, et le thread est ensuite revenu dans le no man's land si j'ai bien saisi l'action.

Kerozene a tranché. EDIT : y'a du mouvement !

Pas le cas de 2LDK.

Ben c'est justement ça qui a été repris sur la jaquette, et que je trouve un chouille dommage. Quand j'ai vu 2LDK, je n'en savais pas autant , je ne savais pas jusqu'ou çelà allait aller, et c'était tant mieux. Je pense que si j'avais su, j'aurais peut-être passé un moins bon moment, mais bon...

Ils annoncent 25 euros quand même. Bon, je vais probablement le prendre parce que c'est le genre d'initative trop rare pour faire la fine gueule, mais c'est pas donné.

Disons que School n'est pas gore (enfin dans mes souvenirs), mais comme dans d'autres Lam, la violence est traitée de façon sérieuse et dramatique donc possède un sérieux impact.

ELVIS TSUI FOREVER !!!!

Et en général, Ringo Lam c'est pas nawak du tout ! Full contact est un peu exceptionnel par son approche exploit-fun dans la filmo du réal.

School on fire, c'est pas facile étant donné qu'il n'en existe pas d'édition correcte. Mais il a très bonne réputation, et même sur le vcd tout rougnousse je l'avais fort apprécié. Si je ne m'abuse, il n'existerait pas de version uncut du film.

Le dernier DVD HK sorti par City Connection est uncut, mais hélas recadré en plein écran, sous titres anglais/chinois incrustés à l'ancienne et copie médiocre. Le DVD US Tai Seng est aussi uncut je crois, et paraît-il de bonne qualité.

Ce sont des baguettes il me semble.

Non, non c'est bien ça NickLezob. Ceci dit, le cat III prison le plus goûteux niveau exploit, ça reste probablement Story of Ricky.

Mouahahaha ! Si on rajoute là dessus deux projets de remakes de A Better Tomorrow, on peut s'attendre à beaucoup de rires et de larmes. Le père To ferait mieux de s'appliquer sur son Election 2 histoire de retrouver son meilleur niveau.

Pourquoi c'est dans reste du monde ? La Turquie est à cheval sur l'Europe et l'Asie. Faut choisir !!!

Je me souviens d'une petite déception aussi à l'époque, mais probablement due au fait que j'attendais un film d'exploit excessif alors qu'en réalité il s'agit d'un drame en prison traité sur un mode sérieux. D'ailleurs à la vue des autres films de Ringo Lam, ça paraît assez logique en fait. Mais le cerveau associe généralement classement catIII avec la perspective d'une bonne dose barbaque et de pépées dévètues. Or c'est un raccourci parfois inexact.

Oui, ben je partage pas du tout ce point de vue non plus alors. De toutes façons, c'est pas une question DU meilleur film de ci ou ça, ce que je voulais signifier c'est que la tripotée de louanges que j'ai pu lire ici ou là n'a pas grand chose à voir avec ce que j'ai ressenti.

Si movierev le permet, je le rejoindrai dans le clan des décus. La différence que j'ai pas vu Creep, et que je suis encore plus négatif que lui sur ce Descent. Pour être honnête, je n'ai pas vu le film en salles mais en vidéo. Mais je me suis bien fait chier là-devant. D'abord je ne suis pas du tout client d'un certain nombre de procédés qui sont censés opérer sur le mode du suspens mais qui me laissent froid. Va-telle rester coincée ? Va-t-elle tomber ? Oui, non, oui, non, et merde tu fais chier passe à la suite... enfin ça c'est perso, je sais que d'autres sont friands de ça. Ensuite les personnages : là encore, pas de frisson ni d'émotion pour moi. Pas convaincu du tout par les scènes de baston, mais alors pas du tout. Bon je vais pas continuer à égrener tous les différents cotés du film qui m'ont laissé de marbre. Peut-être que si tout le monde n'avait pas crié partout au film génial de l'année j'aurais déterré ici ou là des petit morceaux d'intérêt, mais au vu des attentes la déception fut plutôt énorme.

LE truc qui me tape dans l'oeil : Tribute to Ryuichi Hiroki I Am an S+M Writer (Japan), Regie: Ryûichi Hiroki : http://www.sanchodoesasia.com/article.php3?id_article=693&var_recherche=Ryuichi+Hiroki It's Only Talk (Japan), Regie: Ryûichi Hiroki : http://www.midnighteye.com/reviews/its-only-talk.shtml L'amant (Japan), Regie: Ryûichi Hiroki : http://www.phillyfests.com/pff/templates/film_details.cfm?id=3908 Vibrator (Japan), Regie: Ryûichi Hiroki : http://www.sanchodoesasia.com/article.php3?id_article=693&var_recherche=Ryuichi+Hiroki

Y'en a 3 : - wicked city - demon city shinjuku - cyber city oedo 808 Pas de bonus, justes quelques BA's des trucs de Dybex.

Revu dans la version DVD du coffret Dybex. Ca reste globalement excellent, mais le disque quoique très correct n'est pas parfait. Je n'ai pas eu trop de soucis sur mon petit écran, mais ceux qui sont très bien équipés ne manqueront pas de remarquer un fourmillement significatif.

Vu les six premières minutes dispos grâce au lien au-dessus, et bon si c'est deux heures d'esbrouffe hype dans la même veine, les spectateurs qui ont tenu le film en entier méritent une médaille. Ceci dit, je suppose que la vidéo est recadrée.

C'est un peu vaste comme définition. Les araignées qui sont dans mes toilettes sont aussi de la vie dans la cité. Sans se lancer dans un débat de définition, on n'en finirait pas (et en plus j'ai pas les compétences pour) je pense que certaines oeuvres abordent des questions humaines hors politique. Après il y a la question du contexte. Effectivement par ce biais on peut toujours aborder les questions historiques et politiques. Je suis d'accord avec tout, à l'exception d'une petite réserve sur le mot "politique".

Ca veut dire des choix, une expression subjective, mais de là à franchir le pas jusqu'à politique... ou alors faut se mettre d'accord sur ce qu'on met derrière ce mot. sexuel, oui bien évidemment. Si tu le vois pas c'est que t'as pas bien regardé.

Sans vouloir dénigrer ta position, celle-ci témoigne d'un choix, d'une décision de la façon dont tu abordes ou lis un oeuvre. Je suis persuadé aussi que quelque chose est contenu dans chaque oeuvre, mais il ne s'agira pas de la même chose. Aucune lecture n'est invalide à priori. Là ou je suis moins d'accord, c'est ici : Apprécier tous les aspect visuels d'un film n'est certainement pas se limiter au bout de son nez.

Rappelons à l'occasion de ce thread que le stupéfiant manga de Suehiro Maruo à l'origine du film discuté ici est disponible aux éditions IMHO. Et qu'un autre livre de Maruo, Yume no Q-Saku, pas moins excellent mais encore plus réservé aux adultes est sorti chez le Lezard Noir. Le papier, des fois c'est bien aussi.