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jpl

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Messages posté(e)s par jpl

  1. ...Sans compter un très drôle "Dictionnaire des idées reçues de la critique" sur le modèle de Flaubert, extrait :

     

    Hauteur d'homme

    (filmer à)

    Se dit du cinéma de Howard Hawks. Formulé à propos d'un autre cinéaste, force l'admiration. Avoir la politesse de ne pas demander pourquoi.

     

    + Un très bon dossier "L'Emeutier en personnage de Cinéma"

    + un excellent article sur Hostel de Eli Roth (qui me ferait presque aimer le film ! ).

    Un peu cher (8 Euros) mais la maquette est top classe.

  2. Je viens de lire "Le Dahlia Noir" : roman extraordinaire, et je piaffe d'impatience, ayant appris que De Palma sort une adaptation à l'automne... en effet le livre contient la quasi-totalité de ses obsessions !!!

    Un teaser, vite !

    Brian, fait chauffer le scope !

  3. Au début j'ai eu très peur. Et puis j'ai rigolé pendant les 45 minutes sympa durant lesquelles on se demande si le roi va niquer la reine. Et à mi-film il la nique.

    Et là l'histoire est terminée, il ne se passe plus rien jusqu'à la fin. Sauf qu'il reste une heure de métrage.

    Ou trois, j'avoue que j'ai un peu perdu la notion du temps à ce moment-là.

    Autre fou-rire quand même : le cavalier Ferson sur un champ de bataille, cabrant son cheval sur fond de tirs d'obus.

    Le film terminera sa carrière comme bonus-cadeau d'un magazine pour adolescentes, qui s'ennuient dans leurs banlieues middle-class.

  4. C 'est en effet son seule rôle a la Debra qui fait tant chavirer tes sens telle une planche a voile au mileiu des flots déchainées. Au même titre que la plupart des acteurs du film.

     

    MAis il reste Anthony Crenna.. le bleu de ses yeux, la touffe alerte et la barbe piquante... Rien que ca en fait deja un délice et on en oublie tt le Z du film... 100% bis, 100% fun, 100% nawak, inferieur au 1 certes mais tjs un régal!!

     

    Draven-POWER

    Commentaire dé-fi-ni-tif

    excellent !!!

  5. Ce film est une vraie tuerie ! La bêtise des dialogues n'a sans doute d'équivalent que chez Bruno Mattei, dont le [b]Virus Cannibale [/b]a marqué plus d'un Zédophage. Le plan d'ouverture avec les deux pêcheurs bredouilles et le surgissement du croco, le titre qui apparaît en grand... Sans oublier ces abrutis d'écolos qui, malgré l'appétit de leur copain mutant (3 déjeuners humains au compteur, dont une de leurs amies), refusent de lui donner la chasse sous prétexte qu'il constitue une espèce rare en voie de disparition ! Ce genre de film étant foncièrement (et ici jouissivement) réac', il ne faudra pas trop attendre pour que l'écolo en chef retrouve ses instincts de chasseur, sous la houlette d'un crocodile dundee bien paternaliste. [img]http://www.scifi-universe.com/upload/galeries/images_film/killer_crocodile/killer_crocodile_img1.jpg[/img] Superbe croco furibard, dopé aux déchets nucléaires, et de surcroît photogénique. Ce qui ne gâche rien.
  6. Pour ceux qui veulent poster ici les plus beaux textes de chansons d'amour... je propose un topic très "fleur bleue"...

    Je commence avec Leonard Cohen : I'm your man, sorti en 1988.

    La version live (sur l'album Cohen Live, 1994) est renversante.

     

    If you want a lover

    I'll do anything you ask me to

    And if you want another kind of love

    I'll wear a mask for you

    If you want a partner

    Take my hand

    Or if you want to strike me down in anger

    Here I stand

    I'm your man

     

    If you want a boxer

    I will step into the ring for you

    And if you want a doctor

    I'll examine every inch of you

    If you want a driver

    Climb inside

    Or if you want to take me for a ride

    You know you can

    I'm your man

     

    Ah, the moon's too bright

    The chain's too tight

    The beast won't go to sleep

    I've been running through these promises to you

    That I made and I could not keep

    Ah but a man never got a woman back

    Not by begging on his knees

    Or I'd crawl to you baby

    And I'd fall at your feet

    And I'd howl at your beauty

    Like a dog in heat

    And I'd claw at your heart

    And I'd tear at your sheet

    I'd say please, please

    I'm your man

     

    And if you've got to sleep

    A moment on the road

    I will steer for you

    And if you want to work the street alone

    I'll disappear for you

    If you want a father for your child

    Or only want to walk with me a while

    Across the sand

    I'm your man

  7. L'explosion des corps au ralenti compte parmi les plus beaux plans gore du cinéma bis ! - à vrai dire la seule raison de regarder ce film et de s'en souvenir...

     

    T'es fou il y a plein d'autres raisons...

     

    "Huuum tout nous porte à croire que ce ne sont pas des organismes terrestres.."

    "Ainsi... vous voulez dire... qu'ils viennent d'une autre planete ?"

     

    "Regardez ceux-là. On dirait qu'il sont plus mures que les autres. Probablement à cause de la chaleur des tuyaux..."

    "Huuuummm... ouiiiiiii..... Comme dans une murisserie."

     

     

    De même, je m'incline...

  8. Très bonne émission de [u]Mauvais Genre[/u], samedi dernier : [url]http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/mauvais_genres/index.php?emission_id=81[/url] On y parle entre autres des sorties DVD de [b]Martin[/b] et de [b]Land of the Dead[/b]. La confrontation de points de vue différents est appréciable. Enfin un critique pour dire que le sous-texte politique de [b]Land of the Dead[/b] est un peu simpliste. J-B Thoret contre attaque en fustigeant les journaleux de Libération (entre autres, mais rappelez-vous la Une du quotidien) à qui Romero a dit ce qu'ils voulaient entendre pour faire sa promo. Beaucoup de choses sur [b]Martin[/b] aussi. A mon sens la phrase-clé du film ("There is no magic") appelle d'autres interprétations, surtout quand on voit [b]Knightriders[/b] : je pense que Romero conjugue fureur et mélancolie, mais n'a rien d'un révolutionnaire (pas politiquement, en tout cas).
  9. le coup du producteur me fera toujours marrer. Je pense que les mecs se disent qu'en 1.33 ca marchera jamais alors que le 16/9 explose. Donc ils préferent le 1.77 et voilà ...

     

    De 1895 aux années 50, il reste donc un demi-siècle de films à recadrer en 16/9.

    Des têtes coupées en perspective ! Vive la révolution technologique !

  10. Ce qui entraine une petite remarque : le communiqué annonce un format 1.77 : 1. Or, le film fut tourné en 16mm et projeté en salles à l'époque dans un format 1.37 :1, ceci en raison d'un budget limité. L'éditeur Wild Side a récupéré un nouveau master HD 1.77. Notons par ailleurs que l'éditeur américain Anchor Bay a ressorti le film dans un format 1.85:1 en zone 1. Il faut savoir cependant qu'au pays de l'oncle Sam, le réalisateur a été consulté et a donné son accord pour « moderniser » son film en ajoutant des caches noirs (on dit que le film a été « matté ») pour créér une image plus conforme aux habitudes de vision actuelles. Le nouveau master est donc, comme indiqué sur la jaquette, supervisé par Romero lui-même et l'on suppose que ce travail a été effectué avec soin.

    Oyésse mon Romero préféré

    J’ai dû me rabattre à l’époque sur l’édition espagnole puisque celle d’Anchor Bay fut très vite out of stock.

    Par contre je ne savais pas qu’il avait été tourné en 16 mm ça explique bien des choses.

    Le DVD Espagnol est donc aujourd’hui ce qui ce fait de plus proche du bon format il est en 1.33 hélas la seule piste son est celle espagnole en mono et l’image est horrible (rosie par le temps, rayures, sautes, etc.).

    C’est con que personne ne le sorte en 4/3 tout bête puisque vraisemblablement c’est le format d’origine (ça va on va pas chipoter), surtout que dans nos contrés le film passe assez régulièrement à la télé et leur master est vraiment impeccable.

    En même temps je m’en fout de tout ça, c’est une super bonne nouvelle rien qu’au vue du DD 5.1 piste anglaise, le 16/9, l’entretien avec Romero, making of du film !!!

     

    J'ai acheté le coffret Wild Side et franchement le recadrage en 1.77 est affreux ! en plus le "master HD" a complètement estompé le superbe grain du film !

    Pour les anglophones je recommande plutôt le DVD anglais :

    http://www.sendit.com/video/item/7000000082323

    La copie est superbe, en 1.37 + doc sur Romero... mais pas de sous-titres.

  11. J'ai beaucoup aimé ce film, mais je le trouve franchement maladroit. Il y a un manque de maîtrise flagrant dans la narration, le découpage, le rythme... ce qui ne l'empêche pas d'être fascinant (acteur magnétique, atmosphère lourde et poisseuse...).

    On l'a comparé à "Martin" de Romero, à juste titre, et c'est clairement à l'avantage de ce dernier.

  12. Diffusé actuellement sur la vénérable chaîne CineFX, Doppelgänger aka Journey to the Far Side of the Sun se révèle être une petite perle de la SF, malgré tous ses défauts. Toutefois je n'ai pas pu trouver beaucoup d'informations le concernant sur la toile - apparemment le film n'a pas fait date dans l'histoire du cinéma.

     

     

    **SPOILERS**

     

    Résumé :

    Il s'agit d'une production quelque peu atypique, tournée en Angleterre mais dont l'histoire se situe au Portugal, au futur Centre Européen de l'Exploration Spatiale : une sonde européenne vient de découvrir l'existence probable d'une nouvelle planète dans le système solaire, sur la même orbite que celle de la Terre, mais à l'exact opposé si bien qu'elle n'a jamais été observable, perpétuellement éclipsée par le Soleil.

    Conjointement avec les Etats-Unis, l'Europe décide d'envoyer deux cosmonautes de l'autre côté du Soleil.

    Lorsque ces derniers se posent en catastrophe sur l'astre jumeau, ils sont récupérés par une équipe de secours... terriens.

    Revenu à sa base, on reproche au commandant d'avoir rebroussé chemin au cours du voyage. Il nie avec force, et s'aperçoit bientôt que tout sur sa planète mère a été inversé : l'écriture, la conduite, les montres... exactement comme dans un miroir !

    Si le film se traîne un peu en longueur pour faire admirer ses maquettes et autres SFX (fort réussis pour l'époque), et pour dilater une intrigue qui n'en demandait pas tant (1h40...), on n'en est pas moins frappé par un vertige d'ordre métaphysique : ce qui est figuré ici, c'est une véritable traversée du miroir, qui présuppose l'existence d'un monde tout aussi réel que le nôtre, bien qu'inversé.

     

    On a commenté, ici et là, la parenté du film avec des épisodes de La Quatrième Dimension (Robert Parrish en a réalisé trois), mais la référence qui me vient à l'esprit est plutôt l'univers mental de Philippe K Dick !

    Dick, cet écrivain qui se demandait sérieusement si le miroir ne contenait pas un monde propre, et, au-delà du reflet perceptible, si quelque part au fond derrière cette porte, les mêmes objets existaient bel et bien ; et si leur vie n'était pas aussi consistante que la nôtre : qu'est-ce qui nous prouve en effet que c'est bien NOUS qui nous regardons dans la glace, et non notre reflet ?

    Brèche ouverte dans le réel, et dans le cerveau de Dick, à la paranoïa galopante, qui donnera naissance à tous les (fantasmes de ?) simulacres du monde contemporains, jusqu'à Matrix.

    Il n'en faut pas beaucoup, parfois, pour qu'un film de science-fiction nous détourne de notre orbite, et nous invite à prendre pied sur un terrain qui s'avère être un gouffre absolu ; la relative médiocrité du métrage nous indiffère alors, parce que l'essentiel réside dans la brèche qu'il a ouverte.

    Döppelganger est de ces films, objectivement ratés, mais qui requièrent juste un peu d'abandon.

  13. C'est pas dans ce film là où une fille à poil se fait empaler par des malfrats sur un lustre?

    Il me semble que c'est dans celui-là...

    Et Thomas Millan force aussi un mec à lui faire une pipe !

    Oui enfin le plus "drôle" c'est qu'il sort sa bite en même temps qu'un discours sur l'égalité des sexes, pendant que ses complices s'occupent des femmes. Mesdames Messieurs il y en aura pour tout le monde, pas de jaloux !

    Sans doute la meilleure séquence du film, et la plus insoutenable ; le personnage de Thomas Milian (sous acide) finit par mitrailler un gosse, dans un accès de fureur malsaine.

  14. Lon Chaney Jr. joue (?) une brute criminelle, "le Boucher", qui passe de la chaise électrique au billard d'un apprenti Frankenstein. Ce dernier, après avoir infligé au cadavre une décharge de 400 000 Volts, s'étonne de le voir revivre (franchement...). Sa surprise est de courte durée, car immédiatement viennent le terrasser une série de gros plans sur les yeux vengeurs du ressucité.

    Le spectateur devrait battre en retraite lui aussi, mais on éprouve souvent de la sympathie pour les monstres ayant soif de justice, c'est pourquoi on ne peut abandonner si vite les aventures du Boucher électrique (bon, lui, tout ce qu'il veut c'est récupérer 600 000 Dollars et massacrer une partie du casting).

    Je ne vous cache pas qu'indestructible ou non, il meurt à la fin, sous les effets successifs de 1) tirs de pistolets 2) tir de bazooka 3) lance-flamme... las, il finit par s'exécuter lui-même dans une super centrale électrique.

     

    Bref... tout cela reste assez divertissant, et l'on pardonnerait presque à l'éditeur Bach Films d'avoir conservé un noir de 2 minutes en plein milieu du film nous annonçant qu'il s'agit bien de "Indestructible Man", que c'est du "525 NTSC", et que le master de la deuxième partie arrive tout de suite, merci de patienter encore quelques instants, ici "Lorimar", 1985, eh oui ! - c'est un vieux master pour la sortie VHS américaine.

    Bref... tout cela pour ne pas rater la dernière séquence du film où le détective (?) et la jolie fille (danseuse) se retrouvent au drive-in, et dégustent un hamburger bien mérité.

    Eva - Il va falloir que je retourne travailler maintenant...

    Dick - Non, j'ai une grande nouvelle : j'ai parlé à ton patron et tu es virée !

    Eva - ?

    Dick - Oui, je me suis dit que tu pourrais travailler à plein temps, mais pour moi.

    Eva - ???

    Dick - En devenant ma femme !

    Eva - Oh ! Dick...

     

    Quand je pense que j'aurais pu avoir ce film gratuitement :

    http://www.publicdomaintorrents.com/nshowmovie.html?movieid=188

  15. Oui c'est une bonne comédie, malgré quelques maladresses... je reprocherais notamment l'utilisation immodérée de la musique...

    Les meilleures séquences se situent à "Louisville", où l'on retrouve un certain visage de l'Amérique moyenne, des "gens simples".

    En point d'orgue, la reprise de "Freebird" lors de la cérémonie d'adieu au père, où une maquette géante d'oiseau se précipite, en feu, sur l'assistance...

    ...et Kirsten Dunst, rayonnante.

  16. Au temps pour moi, j'ai confondu avec la bouse de Corbucci, "Super Snooper"...

    J'aimerais bien savoir comment tu as fait pour voir ce film.

    Je l'ai enregistré lors de sa diffusion sur M6 il y a 3-4 ans...

    Mais j'aimerais bien voir Super Snooper !

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