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romain

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Tout ce qui a été posté par romain

  1. Une excelente nouvelle et un trés beau travail.
  2. http://www.noshamefilms.com/catalogue/dvd_01.asp?pdno=18 Il sort en Z1 avec STA en anglais...je l'attend beaucoup.
  3. Trouvé hier à un prix défiant toute concurence et aussitot regardé. C'est en effet un trés bon western. Il m'a beaucoup fait penser à un autre film de Questi "la mort a pondu un oeuf", tant dans son montage, que sa musique, que les personnages. Ou plutot l'utilisation scenaristique faite avec eux. Il a un coté decalé, comme par exemple l'utilisation du flashback, et surtout les elements fantastiques. Je pense qu'il merite même plusieurs visions pour l'apprecier totalement, et en italien parceque les changements de version perpetuels c'est lourd et que la version italienne semble différente.
  4. un des meilleurs western jamais vu, un film à découvrir.
  5. romain

    Don't look now le remake

    franchement cela pue un peu. voir plus qu'un peu, le coté "plus narratif, moins atmosphérique" fait peur. et puis ce n'est pas l'unique film de ce theme, rien que "chi l'a vista morire"
  6. Argggg vous êtes dur. pas vu mais vous me faites hésiter, du coup si je le vois je vais le regarder en me demandant qui a raison......
  7. alain delon et jcvd je trouve que cela a du potentiel, vraiment. poulevorde en asterix? vraiment je ne sais pas, depardieu je ne peux plus.....(sauf les vieux). et en effet, le boulet c'etait un beau navet, j'ai eu beaucoup de mal à tenir le peu que j'ai vu
  8. je n'ai pas d'apriori sur les putes albanaises si elle ressemblaient à ca le oui serait passé je suis plus que confiant sur ce film
  9. romain

    Torino Film Festival

    turin c'est la ville du "dernier amour" (rosi) "stendhal syndrome" et sans doute beaucoup d'autres turin c'est vraiment facile d'acsé et au nord de l'italie....
  10. je me demande si je ne l'ai pas vu en double feature à la fnac des halles pour 10 euros??? j'essayerai d'y passer pour confirmer
  11. romain

    Bio Annette Funicello

    je ne sais pas poster des photos!!! mais voici des liens : http://www.mousestars.com/steve/annette/afmouse1.htm http://www.briansdriveintheater.com/ann ... cello.html http://www.calfund.org/8/giving_funicello.php http://www.calfund.org/8/giving_funicello.php romain
  12. romain

    Bio Annette Funicello

    Je dois encore la modifier un peu, mais la voila. Romain Annette Funicello est à la beachploitation ce que Pam Grier est à la blaxploitation : la star du genre, l’incarnation d’un courant cinématographique, sa représentante. Sauf que contrairement à Pam Grier, Tarantino ou Carpenter n’ont pas fait appel à elle, ses photos ne sont pas utilisées pour faire des flyers pour des soirées branchées. Avant de porter des bikinis rouges Annette fut une enfant star du club mickey dés l’âge de 13 ans. Elle joua dans la série Zorro et dans des films pour Disney comme " The Shaggy Dog " (1959), " Babes in Toyland " (1961), " The Misadventures of Merlin Jones " (1964), ou " The Monkey's Uncle " (1965). Une belle réussite pour cette jeune habitante de Los Angeles remarquée tandis qu’elle prenait des cours de danse pour vaincre sa timidité ! ! Alors que Disney monte sa maison de disque, on l’a fait chanter dans le dernier épisode d’une saison. Le public suit. Annette chante mal et elle le sait. On utilise alors un bon producteur pour mélanger une musique traditionnelle avec un soupçon de rock’n’roll. Son troisième 45 tr se classera tout de même dans le top 10 de l’été 1959 pour la Californie. Trans-générationnel, qui plait aux jeunes et aux parents, tf1 prod n’a rien inventé. Mais contrairement aux produis jetables d’aujourd’hui, elle durera plus longtemps que toutes les taps, oups les chanteuses d’aujourd’hui : 10 ans intensif dans la chanson. Pourquoi ? mais coco aujourd’hui on a oublié un truc, on segmente trop le marché. Passé l’âge de 10 ans, les acheteuses potentielles grandissent et passent à autre choses. Tandis que pour Annette on multiplie les publics (aussi simple que ca). C’est comme si Lorrie sortait un disque comme Carla Bruni. En plus Annette est une actrice et elle chante dans ses films avant que les disques ne sortent, et quels films ! ! ! Des ados sur la plage, qui vont au ski, font du parachute, elle a même une histoire d’amour avec un extra-terrestre dans " pajama party ". Mais Oncle Picsou se méfie du caractère légèrement sexy de ces films, et une clause de son contrat lui interdit de montrer son nombril. Cela ne l’empêchera pas de porter des soutiens gorges transformant sa poitrine généreuse en véritable obus. Les films marchent bien. Annette chante avec les beach boys, joue le personnage de dee dee dans "Beach Party ", "Muscle Beach Party ", "Bikini Beach " et "Beach Blanket Bingo ". Dans ces films, elle incarne la petite brune californienne vivant une histoire d’amour avec Franky Avalon. Elle danse, porte des bikinis rouges qui lui couvrent le nombril, possède une coiffure incroyable, chante des petites chansons d’amour. Si elle lance parfois un regard noir de jalousie à Franky comme dans " ski party ", elle est la plupart du temps joyeuse et souriante, insouciante et jamais agressive. Pour beaucoup elle est la " all américan girl next door ". Ces histoires de cœurs ne sont pas positives que sur les écrans. Durant l’heure de gloire de la beachploitation elle se marie avec son agent Jack Gilardi dont elle aura trois enfant. Bien sûr les moeurs changent et ces films finissent par passer de mode comme le punk aura eu raison du disco. Même si elle n’est pas très vielle Annette a déjà une longue carrière derrière elle. Elle fera des apparitions dans des séries télés, comme dans " quoi de neuf docteur " par exemple. Elle co-produira avec Franky Avalon un come-back cinématographique des films de plage " Back to the Beach ", puis ils feront ensemble une tournée nostalgique. Contrairement à beaucoup d’enfant star comme les petites canailles, Arnold et willy, Drew Barrimoure, ou bien d’autres elle ne tombe pas dans la déchéance l’alcool la drogue ou la prison. Ses seuls écarts de conduite connus sont juste un divorce et un remariage. Résutat, personne n’a pensé à elle pour jouer dans un Bruno Matei. Cependant la maladie ne l’épargne pas et en 1992 elle annonce qu’elle est atteinte de " sclerosis ". Mais Annette ne se laisse pas abattre. En 1995 elle écrit son autobiographie : " A Dream Is a Wish Your Heart Makes: The Annette Funicello Story ". Surtout elle se lance dans l’ours en peluche, industrie qui lui rapportera pas mal d’argent puisqu’elle en vendra pour plus de 22 millions de dollars. Elle aura aussi sa ligne de parfum. Une partie des fonds récoltés servira à financer la recherche contre le " sclerosis " Aujourd’hui Annette va bien, biotoxée et portant une coiffure étrange, elle ne se prend pas trop au sérieux et intervient ponctuellement sur la télévision. Son sourire et ses formes appétissantes auront toujours un effet nostalgique sur nous, même si nous ne sommes pas contemporain de son époque. Elle sera toujours moins factice qu’une quelconque Mandy Moore.
  13. http://www.cinemathequefrancaise.com/ph ... GRAMME.pdf les sceances bis sont en pages 7 dardanno sacchetti sera la pour la baie sanglante et un lenzi policier Il y aura aussi du vampire erotique, des michael caine.... RHHHHAAAAAAAA LOVELY rendez vous donc sur place (c'est dans longtemps mais quelle bonne nouvelle). romain2
  14. romain

    Bloody Mama (Roger Corman, 1970)

    ce film que je n'ai jamais vu a une réputation excelente, il est même cité comme un bon film noir dans le livre de François Guérif. En plus il y a shirley winters.....
  15. quel beau compliment monsieur médusa si je me lance dans un dossier beachploitation il faudra songer à faire un autre ultime médusa sinon il faut que je réedite un peu cette chronique
  16. Beach blanket bingo De la plage une serviette et " bingo ", (le jeu que l’on appelle plus communément loto dans les maisons de retraite). Le jeu consiste donc à s’asseoir sur ta serviette sur la plage, à attendre qu’une jolie californienne en bikini s’assoie sur ta serviette et d’essayer de flirter avec elle. Sur une plage de Californie, Franky Avalon accompagné par sa copine Annette Fumicino et leurs amis font du surf, et flirtent sur leurs serviettes. Arrive du ciel une starlette chanteuse, en effet elle fait du " free fall " (parachute). Annette va vouloir en faire. Une bande de motards (les rats), vont vouloir s’emparer de la chanteuse, tandis que son imprésario va vouloir assurer sa promo. À cela s’ajoute une romance entre " bonehead " et une sirène, permettant de fors moment d’un romantisme idéal pour essayer de se pencher sur sa partenaire de drive-in. Sans oublier une dispute entre Franky et Annette, au sujet de la prof de parachute qui essaye de flirter avec Franky… L’idée de base est relativement faible pour ce beachploitation de la première heure. Ce n’est que plus tard Franky et ses amis iront à la neige (sky party), se mesureront avec les " muscle boy " (muscle beach party). Il manque aussi un moment fort de ces films : la vraie chanson. En effet contrairement à " ski party " où James Brown alors très jeune vient réaliser un tour de chant très impressionnant, rien de tel dans ce beachploitation. A la place de la gentille surf musique pas désagréable mais n’ayant rien d’extraordinaire. Par contre une vieille star est récupérée dans ce film, élément classique du film d’exploitation et du film de beachploitation. Là il s’agit de Buster Keaton. Il n’est plus que l’ombre de lui-même, contrairement à Peter Lorre qui n’a jamais été un mauvais acteur la présence de Buster keaton est plus que décevante. On préférera repenser à son époque glorieuse, à celle de " campus ", vu à la cinémathèque de Grenoble et l’un de mes premiers souvenirs de cinéphile. Il ne faut pas bouder son plaisir, ce film est l’un des plus réussi de la série. Le comique visuel ou de répétition marche parfois, une chanson " follow your leader " est particulièrement drôle. C’est parfois sur jouer, Franky Avalon n’est pas Frank Sinatra, mais le film fonctionne. L’humour de ce film est-il involontaire ? On s’interroge parfois tant les personnages semblent sortir de l’imagination débridée d’un John Waters. Pour preuve ce méchant " slim south Dakota ", joueur de billard placide et impatient, devenant sadique et cruel gratuitement. On est loin d’un vide absolu, pas de sensation de vertige ici, ce film ne peut pas être comparé avec des œuvres telles que " mon curé chez les nudistes ", " la pension des sous-doués " ou même encore " l’émir préfère les blondes ". Cinéma d’exploitation parmi les cinémas d’exploitation, la beachploitation est un genre à par entière avec ses codes, ses acteurs, son mode narratif, ses incontournables. J’ajouterais même que la beachploitation offre une vision du cinéma très novatrice, sans message politique apparent, sans prétention visuelle ou artistique. La beachploitation c’est le film qui se suffit à lui-même en tant que produit, qui n’existe que pour lui, pour remplir sa fonction de figurer sur une toile d’un drive-in, de remplir celui-ci et de rapporter suffisamment d’argent pour financer le prochain film. Un élément de production dans une chaine économique, un bien meuble voilà ce qu’est un beachploitation. Pourtant la beachploitation n’est elle pas si vide ? ne possède elle un message politique et un sens caché derrière une comédie d’apparence innocente ? Un trait commun lie tous les beachploitation entre eux : l’optimisme. Jamais rien de grave n’arrive dans un beachploitation, la maladie n’existe pas, de même que les difficultés existentielles ou économiques, les tensions sexuelles, le mauvais temps le travail, non rien de désagréable n’existe. Les petits soucis se résolvent, les couples se reforment ou se forment, rien de difficile ou d’insurmontable n’existe réellement. La laideur n’existe pas, tout y est aseptisé, contrôlé. Un peu comme dans l’univers d’un certain Georges Lucas dont on sait l’importance qu’il a eu dans la lutte contre le communisme dans les années Reagan et pour que les états unis en finissent avec leur traumatisme post-Vietnam. Un des premiers film de Lucas n’etait-il pas " american graffiti " qui rendait hommage à cette Amérique insouciante ? Les beachploitations présentent aussi une image forte de l’american way of life, non seulement la jeunesse y est resplendissante et épanouie, mais en plus les couples ont une idée préconçue de leur devenir ne laissant aucune place ni aux doutes ni aux interrogations. Annette Fumicino deviendra une épouse modèle au foyer, qui fera des hamburgers et élèvera des enfants. Le rôle de Franky Avalon sera celui de gagner de l’argent. Une chanson (let’s get together) est assez éloquente et ne laisse aucune place au doute quant à l’image du couple existante dans ces films. L’unique moment de confrontation étant celui ou Annette s’essaye au vole libre en parachute, pour prouver " qu’elle aussi elle peut le faire ", timide et unique moment de féminisme. Malgré cette preuve de courage désapprouvée par l’ensemble des participants au film, elle rejoindra sa place dans les bras de Franky Avalon. Quelque quatre années plus tard, sortira " the big bounce " (1969), qui avec sa nudité et sa violence (soft) prouvera que l’image des films de beachploitation n’avait plus de liens avec la réalité. Puis " the graduate " nous donnera envie d’aller à berkley-san fransisco, de nous laisser baigner par la douceur de vitre et de tomber amoureux. C’est un autre cinéma. Il ne nous empêche pas pour autant d’apprécier la beachploitation, ses chansons idiotes et drôles, les disputes entre Franky et Annette, ses surfeurs factices, les soutient-georges qui donnent une forme d'obus à la poitrine d'annette et l'éternel soleil de la californie. Romain
  17. Ce film est à juste titre considéré comme un classique du film noir. Deux éléments suffisent à eux seul à lui donner de tels adjectifs. En premier lieux la présence au scénario de William Burnet, un des meilleurs écrivains de ce genre. Je citerai en particulier " le petit césar ", " quand la ville dort ". On les trouve facilement et ils ont fait les beaux jours de la collection " séries noires ". En deuxième lieu " Veronika Lake ", magnifique actrice hollywoodienne, parmi celles pouvant concurrencer Lorren Baccall, le visage fin, une élégance et une classe naturelles, une féminité irréprochable, une bonne actrice. Une star véritable avec un grand S. C’est donc avec des à priori plus que positif que l’amateur de cinéma noir ou de cinéma tout court posera son regard sur ce film. Et il ne sera pas déçu. Les premières images montrent un homme dans un meublé minable, un chat sauvage arrive par la fenêtre, il le nourrit. Plus tard il frappera sans hésiter la femme de ménage voulant faire du mal au chat en question. L’homme va commettre un meurtre, il croise dans l’escalier un enfant qui pourra témoigner contre lui, que fera-il ? (pas envi de spoiler c’est un bon moment du film). Des personnages secondaires magnifiques apparaissent, comme le commanditaire, homme lâche et drôle, amateur de bombons à la mente, l’homme de mains sadique au possible... On est dans l’imagerie noire absolu, la pure et dure. Celle où un homme doit luter seul, se méfier de tout le monde, ou le meurtre apparaît comme une solution, la fuite une nécessité, la lutte contre ses démons intérieurs difficile. Un peu de patriotisme dans ce film, on est alors en 1942. Mais cela passe, les personnes gardant leurs parts d’ambiguïté, et le film ne présente pas de discours pompeux. Un film à recommander donc. DVD Z1 universal, belle copie sans défaut majeur, beau noir et blanc, piste sonore anglaise uniquement, mais stf, et sous titre pour malentendant en anglais. Aucun bonus et ca c’est une honte, même pas de bande-annonce. Pas trop cher (7 euros de tête). Mais de toute façon on est dans le domaine public, donc oui ce film est gratuit, et je le recommande.
  18. romain

    Présentation

    je suis romain, attention je ne suis pâs le punk à crete mais le grenoblois qui habite paris et qui aime le BISSSSSSSSSS, surtout l'italien et pleins d'autres choses encore.
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