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Malabimba - Andrea Bianchi - 1979


Jeremie

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De L'antéchrist de Martino, Andrea Bianchi ne semble n'en avoir retenue que les effluves obscènes, de la fameuse intervention du bouc en passant par les vociférations dégueulasses de la vilaine Ippolita.

Du coup, en Exorcist-like qu'il est, Malabimba préfère se vautrer dans les déviances cul que les déviances surnaturelles...

 

Après une séance de spiritisme agitée éconduite par une médium maquillée au Ripolin, l'esprit d'un fantôme salopiot investit le corps de la frêle et innocente Bimba, l'a forçant à faire un tas de cochonneries. Bon, ça tombe bien pour nous...

Insatiable et quelque peu frustrée par les avances sans réponses qu'elle ose faire à son propre père, la "malicious whore" (dixit le titre us) se calme en se masturbant frénétiquement avec ses peluches ou contre un miroir, observant également les ébats de son padre et de la trainée du coin (Patrizia Webley en mode Connasse fantastique, vaut le coup d'oeil ).

Blasphématrice, elle tentera également de réduire à néant la sainte vertue de Soeur Sofia. Ce qu'elle réussirera, par un fist vaginal

 

J'ai un peu pensé à Byleth, qui parlait aussi de possession sous un angle très cul : si le Bianchi est tout aussi chiant, il a au moins le mérite d'être plus bandulatoire et plus drôle. C'est déjà ça de gagné !

Katell Laennec, mine boudeuse et androgyne, affiche une belle vitalité lorsqu'elle se vautre dans le stupre. Elle a vraiment du chien...et on en profite, vu que ce sera son seul film.

Je crois qu'il existe plusieurs versions du film (dont une suite/remake du nom de Bimba di Satana) : celle que j'ai vu était caviardée de quelques plans X assez timides et carrément inutiles, en plus assurées visiblement par des doublures.

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