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Le Baltringue - Cyril Sebas - 2010


Yatta-Man

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Msn.toutelatele.com a dit :

 

Un point de non retour donc pour l’ancien G.O. qui confie vouloir explorer d’autres horizons : « J’ai davantage envie de tendre vers la comédie et le cinéma. » Des aspirations auxquelles TF1 auraient d’ailleurs largement participé pour décrocher cette dernière collaboration : « Je voulais qu’ils me donnent un coup de main pour la promotion de mon premier film, Le Baltringue, qui sort le 27 janvier prochain. C’est un échange de bons procédés. »

 

Faut croire que le deal a pas été signé avec TF1. J'ai bien l'impression qu'il y a eu zéro promo sur ce film.

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  • 6 months later...

Perso j'ai tenu jusque au bout et c'était supra chiant.

Et pourtant j'ai aucune antipathie pour Lagaf, pire, même si il ne me fait pas rire j'avoue avoir une franche sympathie pour lui.

 

Mais la non c'est juste pas possible, fly dira encore qu'on est de mauvaise fois et sera bien le seul à le penser. J'ai fait l'effort de le voir, avec un apriori certes, mais qui c'est avéré être vrai malheureusement ...

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c'est vrai que c'est bien nul. En fait c'est juste que le film part dans le n'importe quoi. Histoire nulle, pas de gag, Lagaf qui fait du Lagaf, l'autre acteur c'est impossible à croire qu'il est agent secret, la fin de la cité est complément nulle. Faut finir par une scène d'action sans action. c'est quand même fascinant à voir 1h19 au compteur quand même ...

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bon ben je m'attendait exactement à ca, et c'est lamentable !

 

lagaf est juste insupportable, tout est faisandé tout à 20 ans de retard, c'est juste incroyable que ce film ait pu naitre de nos jours et sortir au ciné....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

.... et rien que pour ca, je ne peux que l'aimer

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Donc vu avec 3 autres potes, victimes.

 

Bon, bah...

 

heu...

 

C'est INSUPPORTABLE!!!!

 

l'histoire met 20 plombes a commencé, parce qu'elle part en vrille a chaque plan.

 

les gags sont nuls, sinistres.

 

Lagaf ne joue pas.

 

Le pire c'est la rea et le montage. Le film fait 1h20 mais on voit tres bien qu'il y a eu un enorme probleme au tournage/montage. Faut voir le nombre de plans de remplissage completement surrealistes (lagaf dans son bureau qui reflechit, les bad boys dans la limo qui se passent sans arret une bouteille de pif sans raison, LES PLANS SOUSMARINS MARITIMES pour que l'on comprenne que lagaf nage en apnée dans un LAC!).

sans compter que la pluspart des scènes a multiples persos sont clairement filmées à plusieurs cam, en peu de prises (1?), vu que sur beaucoup de plans on ne voit que les persos de dos, ou l'arriere du cou (et c'est pas le meme plan que celui du cou du bad guy dans MIAMI VICE hein!!)

 

Du coup, on a bien aimé Serbian film qu'on a maté juste aprés (+drole). Merci Lagaf

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  • 3 months later...

source : excessif

 

Nous pensions le genre de la comédie nanardesque en France éteint depuis la triste disparition de Jean Lefèbvre, Alice Sapritch, Paul Préboist et consorts... C'était sans compter l'arrivée impromptue de Vincent Lagaf', célèbre animateur de télévision, dans le monde du Septième Art. Ce qui étonne n'est pas tant son désir de faire du cinéma mais le fait que cela ait lieu aujourd'hui. Il ne faut pas oublier qu'au début des années 90, Lagaf' était un humoriste reconnu, dont le triomphe sur scène fut particulièrement retentissant, que ce soit au Théâtre d'Edgar, au Gymnase ou bien encore au Théâtre de Paris. En 1995, il confirma d'ailleurs un véritable potentiel en tant que comédien grâce à une pièce intitulée Le Surbook dans laquelle il tenait alors le rôle principal. Puis, contre toute attente, Lagaf' se laissa séduire par les sirènes du PAF et s'y enferma petit à petit, laissant s'envoler ses rêves cinématographiques.

Quinze ans plus tard, l'acteur apparaît finalement en tête d'affiche du film Le Baltringue, d'après une idée de lui-même, sous la direction de Cyril Sebas. L'or à l'appel ?

 

 

 

La première question que l'on se pose après avoir vu Le Baltringue est : POURQUOI ? Construire un film autour de la personnalité de Lagaf' apparaît à ce jour comme un pari extrêmement fou. Ceci étant, il n'est pas le premier animateur à franchir le cap, pensant trouver sa place aux côtés des plus grandes stars. En 1997, on se souvient de Nagui, alors en pleine gloire, donnant la réplique à Cristiana Reali dans un film mis en scène par Ariel Zeitoun, Une Femme très très très amoureuse. Echec sans appel. Il en sera de même pour Maïté avec Le Fabuleux destin de Madame Petlet, sorti dans l'indifférence la plus totale deux ans plus tôt. Mais cela n'est rien à la vue de certains confrères qui se sont improvisés metteurs en scène le temps d'un tournage. Parmi eux, Jacques Martin (Na !, en 1972), Guy Lux (Drôles de zèbres, en 1977), et plus récemment encore, Patrick Sébastien (T'aime, en 1999). Finalement, seul Pierre Tchernia s'en sortira avec les honneurs, avec des oeuvres tels que Le Viager, La Gueule de l'autre ou bien encore Les Gaspards, véritables classiques à part entière. En ce sens, la prise de risques pour Lagaf' se montre ici amoindrie. L'homme n'a aucun compte à rendre, et surtout, peu de gens l'attendent.

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