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127 Hours - Danny Boyle - 2010


Jeremie

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Le nouveau film de Boyle portera sur les aventures (véridiques) de Aron Ralston, un alpiniste qui perdit son bras dans une virée dans un canyon...mais pas son envie de continuer !

Putain la scène dans la grotte dans le trailer

 

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  • 4 months later...
  • 5 weeks later...
vu, tres tres bon, comm dhab

 

voilà c'est exactement ça, c'est du Boyle tout craché, difficile de faire la fine bouche tant le résultat est beau, honnête et carré. Perso j'adore Franco, donc j'étais content d'en avoir à l'écran pour 90 minutes.

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  • 3 weeks later...

Bon bah pas mieux. Ca commence avec du split screen, des couleurs saturés et de la brit pop, et on se dit qu'on est bien, comme à la maison, merci Danny.

 

Après, y a l'histoire et ce putain de caillou, et il se dégonfle pas, il va pas trop dans les flash-backs pour faire passer le temps (y en a mais c'est pas lourd), il multiplie les prises de vue pour qu'on s'ennuie pas, et c'est gagné. Franco est très bon, Clémence Poésy est chouquette de la mort.

 

Bref, un bon film, super bien fait. Bon après, le sujet étant ce qu'il est (en gros un truc niveau yahoo actualité, quand même), on a beau se dire que le film entre en connexion avec l'oeuvre de Danny (on pense aux scènes d'hallucination de Trainspotting, mais aussi à la réflexion sur la communauté de la Plage, et il y a les couleurs et l'énergie de Slumdog Millionaire), bah peut-être que demain j'aurai oublié le film.

 

Mais au moins j'ai passé un bon moment au cinéma, et rien que pour ça, c'est cool.

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Mouais, pas vraiment convaincu pour ma part... C'est joli, bien filmé, bien emballé, bien joué, mais j'en avais un peu rien à foutre de ce qui se passait du début à la fin... Que ça soit Boyle aux commandes ou non, ça reste quand même un mec avec une main coincée par un caillou pendant quasiment 1h30, et j'ai eu bien du mal à trouver un quelconque intérêt à tout ça... surtout que

contrairement à un truc comme "Buried" par exemple, on sait tous que le mec s'en est tiré, du coup, on frissonne jamais plus que ça sur ce qui pourrait lui arriver

. Alors oui, pt être que Boyle a tiré le max de son sujet, y a des belles idées de mise en scène, des plans magnifiques, mais je pense surtout que cette histoire n'a qu'un intérêt très limité pour le cinéma, du moins à mes yeux, et le film reste totalement anecdotique...

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  • 3 weeks later...

Ça rattrape Slumdog mais c'est quand même un peu chiant.

Le début et juste mortel, le passage avec le rocher un brin pénible et la fin superbe rattrape le tout.

 

Content de revoir Boyle en tout cas, dommage pour le passage un peu longuet au milieu.

 

Vivement ces prochains films.

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  • 1 year later...

Franchement c'est bien foutu. Je me demandais comment le film allait faire pour durer 90 minutes sans être casse burne, sachant qu'au contraire de "Buried", le personnage n'a pas de téléphone et qu'il est tout seul à causer avec son caillou. Le résultat n'est pas vraiment surprenant, mais c'est tellement bien mis en scène que ça passe comme une lettre à la poste. Et Franco s'en sort vraiment bien...

Un film qu'il est beau.

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J'avais découvert le film seulement une quinzaine de jours après avoir fini de lire le bouquin

 

Verdict : un vrai bon travail d’adaptation

 

On retrouve tout ce qui faisait le sel du livre (ça reste fidèle à l’histoire et au personnage) avec des aménagements pertinents.

 

Ce n’est pas respectueux du moindre détail (tant mieux quelque part …), mais l’esprit du bouquin est conservé.

 

Le changement majeur, ce sont les « à-côtés ».

 

Le bouquin alterne moments dans le canyon et réminiscences des autres exploits sportifs de Ralston.

 

Dans le livre, on réalise ainsi davantage que le personnage a, plus ou moins consciemment, toujours cherché l’accident (et l’a parfois frôlé de très près … évitant la noyade, la mort dans une avalanche, la chute fatale, etc.). On sent que la mésaventure du canyon est en quelque sorte l’aboutissement d’un parcours jalonné de prises de risque énormes

 

On cerne également la condition physique (excellente) de Ralston.

 

Les « digressions » du film, elles, sont moins nombreuses et relèvent plus du délire que du souvenir.

 

127 heures version Boyle fait le choix de rester davantage chevillé au personnage. On est ainsi plus proche de lui, plus conscient de son calvaire. Et puis on ressent bien la notion de durée interminable.

 

A l’arrivée, ce changement a clairement ses avantages et inconvénients.

 

Toujours est-il qu’au final on peut lire le livre d’abord et voir le film ensuite ou faire l’inverse. C’est sans importance tant les approches sont bien tranchées, le contenu différent (même si le squelette est strictement identique).

 

De toute façon, 127 heures c’est le film anti-spoiler par excellence

 

En tout cas, Danny Boyle s’avère un excellent choix.

 

Un filmage trop classique aurait clairement plombé la chose (on parle quand même d’un mec coincé contre un rocher pendant plus d’une heure trente à l’écran), ça semble évident avec le recul.

 

127 heures le film est à la fois claustro et dynamique, perpétuellement boosté par le style du réalisateur anglais.

 

C’est truffé de petites trouvailles visuelles sympathiques et Boyle a vraiment le don d’expédier un maximum d’informations de façon rapide et maline (sans en avoir l’air, le début du métrage est un modèle de mise en place).

 

Je tire aussi mon chapeau à James Franco (méconnaissable ! ). Je n’étais pas très fan de lui jusqu’alors (je le trouve plutôt fadasse dans les Spider-Man) mais là il m’a scotché. Le mec crève l’écran dans un one man show impressionnant. On s’emballe (son ivresse de l’aventure est contagieuse) puis on souffre et on délire avec lui.

 

Sinon, c’est bien cool de voir le vrai Aron Ralston. J’espérais ça et j’ai été comblé

 

Une réussite

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  • 2 years later...

j'ai été conquis du début à la fin, la photo numérique dégueux m'a un peu refroidi au départ mais finalement ca passe, c'est moche mais ca n'avait plus d'importance, toutes les trouvailles de mise en scène, sans être révolutionnaires, de montage et de rythme rendent le film hypnotisant. et puis découper sa brioche du petit dej sur la fin du film, ca n'a pas de prix

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  • 2 years later...

2ème vision et beaucoup de sympathie pour la démarche de Boyle sur ce film et pour le jeu de James Franco qui d'habitude n'arrive jamais vraiment à me convaincre. Et puis c'est con à dire mais ça donne envie de profiter de la vie, d'aller faire du vélo et de se coincer le bras quelque part et de l'arracher avec les dents pour pouvoir kiffer encore plus la life après.

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Pour moi ce film est un mystère. Un fait divers, certes incongru, mais pas bouleversant non plus que tout le monde a lu en 2 minutes et dont tout le monde connait la fin, étiré sur 90 minutes.

 

C'est comme si on avait fait un film sur les mecs qui jouaient à pokemon go et ont trouvé un cadavre en capitalisant sur l'effet "tout le monde en a entendu parler".

 

Le verre à moitié plein c'est que boyle arrive à rendre le truc pas trop chiant à force d'artifices. Le verre à moitié vide c'est que ça n'a aucun intérêt. Il ne se passe strictement rien de plus que ce qu'on en a lu sur une page de torche-cul. Je me suis rapidement mis à attendre que ça se termine.

 

J'ai rien contre les anecdotes, mais encore faut-il en faire des épopées.

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