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Rollerball - Norman Jewison (1975)


superflo

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En 2018, le monde est contrôlé par des corporations économiques telle la corporation de l'énergie, basée à Houston. Ces corporations dirigent des formations sportives pratiquant le rollerball, sport violent ne permettant pas l'émergence de vedettes individuelles. Jonathan E brise ce tabou en survivant à des matches disputés sans règles, mettant ainsi à mal la philosophie même du rollerball et de cette société du futur : « Le jeu est plus grand que le joueur ».
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IL m'avait fallu beaucoup de temps pour le découvrir à l'époque, le film ne passait plus à la télé; Je l'ai découvert un soir à 22h sur TF1. Le film a un rythme typique 70's: de l'action au début et à la fin et un grand vide au milieu comme Mad max 1. Les matchs sont encore assez violents sans être gores mais filmé de façon très énergique et sans shakycam. L'esthétique futuriste a terriblement vieilli avec le look pelle à tarte et patte d'ef pour tout le monde.

L'ouverture du film est pompée sur orange mécanique avec cette fois du Bach en guise de Beethoven utilisé à contre emploi pour donner le malaise.

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Et c'est bien ?

carrément!

dans un tout autre style que death race, avec un sujet semblable. Le film est effectivment très mou et très 70's la plupart du temps, presque contemplatif, ce qui contraste avec les scènes de rollerball, qui sans effets gores ou sanguinolents sont d'une grande violence. C'est une bonne vision de la société de demain (c'est à dire d'aujourd'hui en fait!), qui n'a finalement pas évolué depuis les jeux du cirque! Cest tiré d'une nouvelle, mais c'est également une énième variation du meilleur des mondes d'Huxley, avec des gens sous contrôle total d'un "état" qui leur fournit en échange le bien être, pourvoit à tout leurs besoins et leur fournit des pilules pour pallier à chaque état.

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J'adore. Comme à peu près tout le monde, les scènes hors match sont datés, molles, kitschounes, mais alors les scènes de match, leur puissance, leur brutalité, et leur violence (pour l'époque, et même aujourd'hui). Je mentionnerai pas l'espèce d'étron qu'on a osé qualifier de remake et qui est passé totalement à côté du message de l'original.

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  • 1 year later...

Revu hier et ça tient toujours aussi bien la route.

 

Que ce soit au niveau de la thématique, de l'ambiance (rythme volontairement lent qui rend bien compte de l'espèce de somnolence dans laquelle est plongée cette société utopique), de la bestialité des matchs ou du casting (impeccable James Caan)...

 

Le dvd collector inclut les comms audio (hélas non sous-titrés) de Jewison et William Harrison (auteur de la nouvelle d'origine et du scénar) ainsi qu'un chouette doc sur l'élaboration du film où on apprend notamment qu'un magnat - fan acharné d'un film dont le message lui était quelque peu passé au-dessus de la tête, fit une offre au réalisateur afin de lui racheter les droits du jeu (tel qu'il apparaît dans le film) pour le développer aux Etats-Unis.

 

En même temps, ça aurait eu de la gueule...

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  • Benj changed the title to Rollerball - Norman Jewison (1975)

Bon je me suis fait méga chier.

Les passages hors compétition sont franchement mous, et même si le fond de la société corporatiste est intéressant, c'est surtout la mise en scène qui m'a endormie. Ca et le fait de s'intéresser au perso de Caan qui n'est finalement pas très intéressant.

Et même les séquences de Rollerball m'ont gonflé.

Tant pis.

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