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Gerardmer 2006


Cyril

Messages recommandés

Une bonne salade océane au grizzly c trop snob aussi????

 

Ouais, l'année dernière on voulait y bouffer mais y'avait trop de monde, les serveurs se foutait de notre groupe et ça puait le fromage chaud alors on s'est cassé.

Faudrait se faire une rencontre Mad-Zonebis cette année, ce qu'on a pas vraiment pu faire l'année dernière!

 

L'année dernière ZoneBis n'avais pas de forum, on été sous le giron DevilDead (remarque y a bien Manolito qui vas à Gérardmer cette année, vous pouvez toujours aller manger un morceau avec lui) mais pour ma part j'avais fait rapide connaissance avec vous tous.

 

De toute façon plisken me connais bien donc pas de problèmes pour ce faire rencontrer les deux groupes et aller manger un bout ensemble (enfin je dis ça comme ça, je sais pas ce qu'en pense les autres)

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De toute façon plisken me connais bien donc pas de problèmes pour ce faire rencontrer les deux groupes et aller manger un bout ensemble (enfin je dis ça comme ça, je sais pas ce qu'en pense les autres)

 

Sauf que moi c'est PLISSKEN le bordelais et non Plisken le suisse.

 

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Et j’apprends que la liste de film est dans le dernier Mad Movies !!

Quelqu'un a ça dans les pattes ?

 

Bon je poste la pré liste des films que je connais déjà

 

Donc en plus de :

 

Sheitan

Hostel

Dumpling

 

Il y aura

 

Reeker

Mortuary de Tobe Hooper (sous réserve)

Isolation

Wolf Creek

une nuit Masters of Horror

Fragile de Balaguero

 

Et la liste n’est pas complete.

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Bon j'ai pécho d’autres infos par un pote

 

Boogeyman

Red shoes

Fog(le remake)

Bed and breakfast

Mosquito man (Vidéo sûrement)

Shutter

Satan little helper

Vous aimez Hitchcock (vidéo sûrement)

The saddest music in the world

 

C'est donc confirmé pour Shutter, je savais qu'on allait se taper cette petite merde.

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The saddest music in the world

 

Chouette, un Maddin (qui sort le 22/02 chez nous, d'ailleurs).

 

par contre

 

Boogeyman

 

je sais au moins que j'éviterai une séance.

*Y'a plus qu'à espérer que le phénomène de ces 4 dernières années ne se répète pas.

Chaque année, je loupe un film.

Chaque année, c'est celui que j'ai loupé qui a gagné

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Aller hop le communique de presse

 

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 2

 

VENDREDI 13 JANVIER 2006

 

 

LE THÈME DU FESTIVAL

 

Pour sa treizième édition, le Festival du Film Fantastique de Gérardmer n’a pas eu besoin de chercher loin l’originalité de son thème. Après avoir abordé : le diable est de retour en 2000, l’extra-ordinaire ou les mondes parallèles en 2001, l’apocalypse en 2002, la peur au cinéma en 2003, le bestiaire fantastique en 2004 et les états d’âme en 2005, le festival a évidemment décliné le nombre 13 et sa loi, devenue le chiffre 13 par commodité, et la superstition sa déclinaison naturelle. Mieux que cela, 13, arcane de la découverte de soi, invite par l’emprunt d’une voix lumineuse, à suivre le treizième sentier dont le guide pourrait être ce festival.

 

LA RÉTROSPECTIVE « SUPERSTITION »

 

 

LES FRONTIÈRES DE LA SUPERSTITION AU CINÉMA

 

LE YÉZID ET LE JEDI

Le Larousse définit ainsi la superstition : « Déviation du sentiment religieux fondé sur la crainte ou l’ignorance et qui prête un caractère sacré à certaines pratiques et obligations » ; et d’ajouter : « Croyance à divers présages tirés d’événements fortuits (comme d’une salière renversée, du nombre 13, etc.) ». Nul n’ignore, en effet, que le vendredi 13 est le jour idéal pour acheter, par exemple, un billet de loto et la chance fait signe si, chemin faisant, se présentent ces porte-bonheur que sont le pompon d’un béret de marin ou le dos d’un bossu : « Tâtez ma bosse, messeigneurs » conseillait ironiquement Jean Marais incarnant (dans le célèbre film d’André Hunebelle, 1959) un Lagardère grimé en vieillard contrefait. Mais gare à celui qui, ce même jour, passe sous une échelle ou, soudain, perçoit dans le regard d’un chat noir l’annonce du malheur. À partir de l’univers filmique où les superstitions s’insinuent, interrogeons-nous sur un phénomène toujours présent car non gommé par le scientisme et la modernité.

Certains ethnologues voient dans les pratiques superstitieuses la part résiduelle d’un ancien savoir tandis que, selon l’occultisme, elles procèderaient d’une logique autre que celle cimentant le socle de la science. Mot d’origine polynésienne annexé par Freud à son vocabulaire, tabou désigne une obligation - équilibrant contraintes et compensations - s’inscrivant dans une perception magique de la vie. Ainsi, Rencontre avec des hommes remarquables (de Peter Brook, 1978) nous apprend que des facultés particulières seraient cultivées par une secte caucasienne, les Yésids. Mais on réduirait ces derniers à l’impuissance dès qu’un cercle est tracé autour d’eux. Dans le film, aux dires d’un médecin, le comportement des Yésids relèverait de l’hystérie. On peut aussi, sur un plan sociologique, considérer que superstitions et tabous résulteraient d’une forme d’aliénation entretenue par une caste dominante. Tenter de briser cette astreinte supposée magique nécessiterait de s’échapper du territoire où elle s’exerce, comme le montre un classique précisément intitulé Tabou (1931) que signent Murnau et Flaherty. Transposé dans un futur angoissant, ce thème inspire L’Âge de cristal (de Michael Anderson, 1976) ainsi que THX 1138 (premier film de Georges Lucas, 1971).

Si, comme on le dit, la superstition est la fille amnésique d’une sapience oubliée, chamans et représentants du sacerdoce connaissaient jadis les fondements de ces contraintes. Le comportement supposé superstitieux prenait alors place au sein d’une codification de l’existence où le fait de s’interdire diverses choses avait pour finalité de permettre l’émergence d’énergies subtiles. Par sa signification, le mot sanscrit yoga résume les techniques « jugulant » les turbulences du corps et du mental. On ne se priverait d’un possible plaisir que pour éveiller des capacités en latences. Dans Star Wars, l’éclosion des pouvoirs d’un chevalier Jedi nécessite une rigoureuse ascèse. Sans doute le commun des mortels (hormis les individus pétris de matérialisme qu’incarne Wattoo) éprouve-t-il à l’égard de l’Ordre Jedi une certaine crainte superstitieuse. Car, dans la galaxie de Georges Lucas comme sur notre planète, un cycle involutif a éloigné l’humanité du prodigieux savoir originel – d’essence divine - qui, s’il faut en croire certaines traditions, faisait corps avec les êtres de l’Âge d’Or. Durant les temps qui vinrent après, ce savoir sombra progressivement dans l’oubli ou, fossilisé, dressa la muraille des interdits. Risquer son franchissement fut l’apanage d’audacieux épris d’indépendance ou décidés à découvrir les mystères qu’elle occultait. Le cinéma s’en fait l’écho, nous rappelant ainsi que le désir de liberté a souvent des racines métaphysiques.

 

LE FATIDIQUE 13 ET L’OMBRE DES PENDUS

La plus connue des superstitions concerne le 13. Comme chacun le sait, malheur à la table qui rassemble un tel nombre de convives. A l’origine, il y aurait ce jour où, pour la dernière fois, Jésus réunissant ses apôtres, le nom de Juda fut désormais synonyme de trahison. En réalité ce n’est pas le nombre 13 qui est maléfique mais le fait que l’harmonie cosmique - le soleil au centre des douze signes du zodiaque, ce qu’incarnent le Christ et les disciples - soit rompue par une défection. Tous les films consacrés à la vie du Galiléen représentent ce moment solennel et dramatique, de Golgotha (vu par Julien Duvivier, 1935) à Jésus de Nazareth (que réalise Franco Zefirelli, 1976) sans oublier L’Évangile selon Matthieu (de Pier Paolo Pasolini, 1964) saisissant de vérité par la seule force du texte. Retenons la version de Nicolas Ray, intitulée Le Rois des rois (1961 ; même titre que l’opus de Cécil B. De Mille, 1927), où une géométrisation de la Cène - basée sur le ternaire (par la forme en Y aux angles égaux de la table) et, ainsi, allusive à la Trinité - révèle de façon flagrante la lézarde qui, avec le départ de Juda, s’ouvre dans l’architecture humaine souhaitée par Jésus. Cette incomplétude sera interprétée plus tard comme procédant du démoniaque et, associée au chiffre 13, le vendredi s’inscrira dans le registre des zones existentielles néfastes. C’est principalement ce que le cinéma d’épouvante a retenu puisque pareille date influe sur les pulsions pathologiques de certains individus comme l’illustre la série des Vendredi 13 (le premier, en 1980, de Sean S.Cunningham) où de macabres événements surnaturels marquent l’irruption des ténèbres ce jour-là.

Mais, funeste aux yeux des uns ne considérant que la tragédie christique, le 13, on l’a dit, se fait bénéfique pour d’autres dès lors qu’ils y voient un nombre placé sous le signe de la totalité sidérale. Chez certains peuples, du reste, une faveur divine accompagne le 13. Se préparant à une expédition fort périlleuse, des Vikings vont chercher celui qui doit compléter l’équipe combattante : Le Treizième guerrier (film de John Mac Tiernan, 1999). Il faut savoir que, pour les anciens Germains, la treizième lettre de leur écriture désignait l’arbre symbolisant l’Axe du monde. Par auto-pendaison chamanique à cet Axe, le dieu Odinn, désormais maître des pendus, reçoit le savoir suprême. La signification initiatique d’un tel acte se résume à ceci : celui que l’on pend meurt verticalement – d’une façon axiale, donc – entre ciel et terre. Sur cette image païenne se greffe une donnée chrétienne car on sait que, désespéré par sa trahison, Juda s’est pendu : sentence rendue par la justice immanente –d’essence divine, donc éminemment bénéfique - diront d’une même voix le bon peuple et les docteurs de l’Église. Doit-on s’étonner, alors, si de la confluence de ces deux traditions résulte le fait que la corde d’un pendu a des vertus de porte-bonheur ? Divers films s’en font l’écho et, dans Le Bon, la Brute et le Truand (1966), la plus baroque production de Sergio Leone, l’ombre d’Odinn semble chevaucher avec Jo tandis que celle de Juda colle à Tuco, son complice en simulacres de pendaisons.

Une autre croyance germe à l’ombre des potences et sort de terre sous l’aspect de la mandragore. Sa ressemblance avec le corps humain - inquiétante singularité – provient, affirment les grimoires, de ce qu’elle naîtrait de la semence d’un pendu. Une apparence anthropomorphe nécessitant que l’on traite avec égard ce végétal dénommé par les Grecs « la plante à Circé ». Éros et sorcellerie, dit-on, s’instillent dans sa sève et, croquée par une coquine damoiselle sous un gibet copieusement garni, ses effets se feront sentir par La Chair et le Sang (opus de Paul Verhoeven, 1985) à l’aube de ce XVIème siècle où s’entremêlent superstitions et prémices d’un esprit scientifique. D’une troublante beauté, Alraune, La Mandragore, sera d’abord incarnée par Brigitte Helm (version de Henrik Galeen, 1927, reprise en 1930 avec le parlant sous la caméra de Richard Oswald) puis par une Hildegarde Kneff à l’inoubliable regard de Lorelei (version de Arthur-Maria Rabenalt, 1952). Née d’une prostituée et de l’ondée d’un pendu, pareille créature ne pouvait qu’aviver les pulsions destructrices et meurtrières qui travaillent souterrainement des êtres tourmentés. Le nom de mandragore est en fait dérivé de « main de gloire », formule allusive au symbolisme du corps subtil (le « Double »). Mais, pour un certain Roland Brissot (Pierre Fresnay), la gloire – dans le domaine pictural - que cette main lui procure est cernée de maléfices car il s’agit de La Main du Diable (film de Maurice Tourneur, 1942).

 

CHATS NOIRS, MIROIRS, HIBOUX ET FLEURS D’AIL

Déjà mentionné, le chat noir occupe un place princière dans les signes fatidiques. On le suppose porteur d’une poisse qui rime avec angoisse ou, pire encore, messager funèbre de grand malheur. Mais attention, la signification de cet animal en ténébreuse livrée peut se révéler tout autre. Il conviendrait de le considérer comme l’avertisseur qu’une force indicible risque de modifier – brutalement, certes – notre parcours existentiel. Soyons-lui reconnaissant de jouer un tel rôle et comprenons qu’au verso de la superstition surgit ce que, par la voix de Carlos Castaneda, les indiens Yaquis nommeraient un «signe-pouvoir ». Dans Matrix I (d’Andy et Larry Wachowski, 1999), c’est très exactement le sens que revêt l’apparition dupliquée d’un chat noir perçue comme un possible bug dans le système verrouillant le décor virtuel. Un bug annonciateur de péril imminent.

En s’inspirant très librement de la nouvelle d’Edgar Poe, The Black Cat, Edgar Georges Ulmer (en 1934) nous entraîne dans un château des Carpates où le fuligineux félin semble, par sa seule présence, préparer d’infortunés visiteurs à découvrir qu’en ces lieux on immobilise la vie par hypnose et que, de façon littérale, quelqu’un y laissera sa peau. Dans la version de Lucio Fulci (Il Gatto Nero, 1981), l’animal, véritable détonateur de catastrophes, finira par vouloir la mort de son propre maître. Rappelons au passage que certains chats n’ont nul besoin d’apparaître en vêture de nuit pour qu’on les pressente vicaires de l’épouvante, que ce soit dans Rendez-vous avec la peur (de Jacques Tourneur, 1957) quand l’un d’eux bondit subitement sur un personnage ou, dans Inferno (signé Dario Argento, 1979), lorsqu’un autre accompagne une fascinante personne aux yeux de vénéneuse émeraude.

Sept années de malheur pour un miroir brisé, tel est le verdict ! Mais pourquoi ? Avançons une explication : dans le miroir notre reflet symbolise le « Double », autrement dit l’âme qui, selon des traditions d’Orient et d’Occident, présente sept centres subtils graduant son passage du monde terrestre au domaine céleste. Briser notre image spirituelle pénalise d’autant d’années qu’elle comporte de centres. Si, dans l’hilarant Sept ans de malheur (1921), Max Linder s’amuse de cette superstition, à l’écran, le plus souvent, l’éclatement d’un miroir annonce une tragédie. En faisant feu sur son reflet, L’Étudiant de Prague (version de Henrik Galeen, 1926) se tue, tandis qu’au tout début du film-culte de Francis Ford Coppola, Apocalypse now (1979), le capitaine Willard, saoul par dégoût de sa personne, fracasse un miroir : l’horreur de la mission qui l’attend fera écho à son image éclatée. Dans La Dame de Shangaï (autre film-culte, signé Orson Welles, 1946), le labyrinthe des glaces où, sous la fusillade, les reflets des protagonistes tombent en morceaux est métaphorique de l’illusion revêtant les êtres. Enfin, pour choisir un dernier exemple, c’est encore la dislocation de l’apparence – et l’annonce d’épreuves - que signifie le miroir fendu dans lequel Neo semble se dédoubler avant de voir son corps se muer en vif-argent et glisser vers la terrifiante réalité (Matrix I, déjà cité). Avec de telles séquences, tout cinéphile, à l’imitation des miroirs mentionnés par Cocteau (dans Orphée, 1949), ne peut que « réfléchir ».

Jadis considérée comme l’emblème d’Athéna, déesse de l’intelligence, la chouette symbolisait l’esprit qui veille immuablement dans les ténèbres de l’ignorance. Trop associée à l’ancien monde païen, cet oiseau fut considéré comme de mauvais augure et, dans les campagnes, cloué aux portes des granges. Superstition par laquelle ce rapace nocturne et sa famille ailée, hiboux et effraies, se font sur l’écran les vigies d’un mystère embrumé d’épouvante. Dans Blade runner (célébrissime opus de Ridley Scott, 1982), la fugitive image d’une chouette annonce encore un péril en latence mais, nimbée d’ambre, elle précède l’apparition de la ravissante Rachel (supposée immortelle) et, de la sorte, retrouve l’orbe du mythe hellénique.

Avec le vampire prend corps la terreur que suscite la nuit. Bien connues, car systématiquement présentes au cinéma, des pratiques superstitieuses parlent de fleurs d’ail et de crucifix. Or, en amont de ces croyances populaires, se profile une thématique de rédemption solaire : l’astre diurne réduit en cendre le vampire et l’insatiable soif de sang de ce dernier signifie que le flux vital s’envenime de maléfices dès lors qu’il subit le magnétisme d’un pôle ténébreux. Car, à travers d’innombrables traditions, on considère que le sang est non seulement le siège des passions mais aussi et surtout le grand agent magique par lequel s’opère une possible transmutation de l’être. Le vampirisme ne serait autre que le sacerdoce inversé, caricatural et démoniaque, de la lumineuse liturgie du Graal. Ainsi que le dit un pope dans Le Masque du Démon (de Mario Bava, 1960), Satan a voulu parodier la Résurrection ! Autre créature issue des affres de l’obscur, le loup-garou. Face aux miasmes d’une pleine lune exacerbant la composante animale d’un être, la superstition propose de fabriquer des armes d’argent. Ce métal des miroirs, en correspondance avec le luminaire nocturne, est aussi relié au Double, l’âme, siège d’attractions (dangereusement) totémiques et, par le septénaire évoqué, d’influences hautement spirituelles (« angéliques » diraient les théologiens). Dans le corps mué bestialement, l’argent provoquera l’attraction instantanée du Double vers ce qui, du céleste ou de l’abîme, l’aimante le plus. Procédé fatal pour l’organisme de certains individus, comme le montre, entre autres, Terence Fisher dans La Nuit du Loup-Garou (1961).

 

SUPERSTITIONS ET MALÉDICTIONS

Au milieu des coffres éventrés, un receleur aux allures de vieux sage s’exclame en contemplant une larme d’étoile : « Ce diamant-là, je le connais…il porte malheur ! ». Même dans Les Égouts du Paradis (film de José Giovanni, 1979), le pillage se heurte à la superstition. Le thème d’un objet susceptible de provoquer la mort de celui qui s’en saisit déborde largement le cadre du fantastique. En fait, cet objet – mais, parfois, il s’agit d’un lieu (une demeure par exemple) - se révèle dangereux pour, au moins, deux raisons différentes. La première est qu’une fatalité l’imprègne. Fatalité que renforce fréquemment l’emprise du démoniaque. Ce que démontre la possession du Crâne maléfique (réalisation de Freddie Francis, 1965) qu’accompagne un livre en peau humaine ; ou, semblablement, la découverte d’autres ouvrages dangereux qui, blasonnés d’un signe satanique, mèneront un libraire devant La Neuvième Porte (de Roman Polanski, 1998). De nos campagnes jusqu’aux terres du vaudou, la superstition glace les cœurs lorsqu’on découvre une figurine de cire percée d’épingles. On sait que, depuis toujours, superstitions et histoires de sorciers vont de pair ; des films comme La Sorcellerie à travers les âges (de Benjamin Christensen, 1921) et Les Sorcières de Salem (film de Raymond Rouleau, 1956) ou encore Le Village perdu (de Christian Stengel, 1947) nous le rappellent.

Seconde raison, le rattachement de l’objet (ou du lieu) à un contexte sacerdotal et sacré qui lui confère une force redoutablement protectrice. Ainsi pour l’Arche d’Alliance. Dans David et Bethsabée (de Henry King, 1951) un profane dont la main touche le saint réceptacle tombe foudroyé. Archéologue féru d’occultisme, Indiana Jones a connaissance des interdits et, au moment où, par orgueil titanique, Belloq et ses sbires commettent le sacrilège d’ouvrir L’Arche perdue (opus de Steven Spielberg, 1981), il ordonne à Marion de ne pas regarder. Ce coffre, ne l’oublions pas, contient la même puissance illuminante que le Graal.

Issus d’une géométrie tangentielle à la transcendance, les monuments d’Égypte, malgré des millénaires de silence, semblent toujours magiquement chargés. Alors malheur à ceux qui rompent le sceau d’une sépulture. Les archéologues découvreurs du tombeau de Toutankhamon l’apprirent à leurs dépends. Fréquemment réitéré, le mot de malédiction finit par secréter une crainte superstitieuse à l’égard de la terre des pharaons ; ce que le cinéma allait encore amplifier en montrant à quel point ce monde immémorial nous écrase de sa grandeur saturée de surnaturel. La raison se grippe au seuil des salles hypostyles et l’assurance du savant s’enfuit dans les sables à l’instant où la momie exhumée reprend vie et se redresse. Toutefois, devant faire face à La Malédiction des Pharaons (de Terence Fisher, 1959), Isobel, par ses yeux azurés de rémanence isiaque, a la révélation d’un mystère sacré outrepassant l’inexorabilité de la mort ; et, au Louvre, un puzzle de hiéroglyphes restitue à Belphégor (film de Jean-Paul Salomé, 2000) son sommeil coalescent à l’éternité.

L’Égypte considérait l’or comme « la chair des dieux ». Mais, sans cesse convoité, pareille substance, une fois séparée de sa synonymie solaire glorifiant Apollon ou, par l’ostensoir, le Christ lux mundi, entraîne querelles et tragédies, de Midas à Goldfinger (de Guy Hamilton, 1964) sans oublier, sous la caméra James Cruze (1936), L’Or maudit de Sutter. De fait, les maléfices de l’or – ou de toute richesse abusive - génèrent une superstition qu’illustrent des proverbes : « Bien d’une mal acquit ne profite jamais » car, ajouteraient les Vikings, « l’or est le lit du dragon » (thème que devrait traiter Peter Jackson dans un prochain opus). Pour Cervantès : « Qui veut être riche en un an, au bout de six mois est pendu », à croire qu’un nœud coulant enserre d’ombre la fortune. Qu’il s’agisse du magot convoité par Les Rapaces (chef-d’œuvre d’Erich von Stroheim, 1923), du Trésor de la Sierra Madre (signé John Huston, 1947), ou d’un autre, venu des sept collines (de Gordon Douglas, 1960), ou encore de L’Or de Mackenna (par Jack Lee Thompson, 1969), d’innombrables films montrent que le métal jaune exige le sang de ceux dont il enfièvre le cerveau avant de les abandonner. Avec L’Or (1934), Karl Hartl et Serge de Poligny nous avertissent que, privée de conscience par la science, l’alchimie convertit le plomb mais pervertit les êtres. Cependant, même si Méphisto proclame que « le veau d’or est toujours debout », survient inéluctablement un instant de pure lumière où trébuchent les ténèbres. Alors l’anneau du Niebelung retourne au Rhin et celui de Sauron se désintègre dans la roche ardente.

 

LES INNOMMABLES

Les religions parlent de noms tellement sacrés qu’on ne doit – et qu’on ne peut – les dire (ainsi dans la tradition hébraïque). Mais il en est d’autres qu’il faut se garder de prononcer, même mentalement, car ils convoquent d’effroyables présences pour les plus noirs offices où attendent Les Vierges de Satan (de Térence Fisher, 1968).

Citer certains noms – tels que « Diable », « Lucifer » ou « Bezébuth » - s’accompagne instinctivement d’un signe de croix de la part des gens superstitieux ; et, d’une façon générale, des individus considérés comme ayant le « mauvais œil » suscitent la méfiance de leur communauté. Parfois, il s’agit de personnalités dont l’évocation provoque une crainte d’autant plus superstitieuse qu’on subodore quelle sulfureuse horreur les habite. Ce qu’illustre, en ouverture du Cauchemar de Dracula (encore Térence Fisher,1958), une image à frisson : gravé sur un sépulcre, le nom du prince vampire ne surgit des ténèbres que pour ruisseler de sang. Dans la série Harry Potter, mieux vaut ne pas nommer Voldemort et, comme le découvre Conan le Barbare (de John Milius, 1981), une aura de reptilienne abjection entoure la désignation de Thulsa Doom et de ses sanctuaires. D’autres noms paraphent les pires perversions et les vices les plus infâmes. Ainsi, mentionner Moriarty ou Fantômas (vu par Louis Feuillade, 1913, Paul Fejos, 1932, Jean Sacha, 1946, et Robert Vernay, 1948) attire l’angoisse et le meurtre. Dans 813, roman de Maurice Leblanc adapté pour le petit écran, quelqu’un dit à Arsène Lupin qui l’interroge sur un sinistre et mystérieux chef de bande : « c’est le maître…le chef…personne ne le connaît (…) il tue comme d’autres volent du pain (…)Taisons-nous, il ne faut pas en parler (…) ça porte malheur! ». Depuis toujours les sociétés perçurent qu’une force démoniaque agissait à travers les grands criminels ; et ce, d’autant plus qu’ils font des émules, comme si une contagion se propageait depuis leur tombe. Pour reprendre la formule d’un dramaturge, le mal est « une hydre fertile ». Semblable fatalité contribue à densifier un climat de superstition. Ce thème, à la racine de séries comme Freddy, Halloween et, déjà cité, Vendredi 13, révèle toute son ampleur métaphysique dans Le Seigneur des Anneaux.

Peter Jackson, fidèle à l’œuvre de Tolkien, illustre de façon saisissante le sentiment de terreur superstitieuse qui pétrifie les volontés lorsque, dans leur solennité funèbre, surgissent les émissaires de « celui que l’on ne doit pas nommer » ou que se diffuse le pernicieux pouvoir de contamination inhérent à l’anneau. Même Gandalf, pourtant hors de toute superstition, fait preuve d’une extrême prudence en percevant sur le fatidique cercle d’or quel virulent désir de nuire embrase la cursive élégance de l’écriture elfique. De même, ce qui lui fait dire qu’« un palantir est une chose dangereuse » ne relève pas d’une attitude timorée en présence de ce globe lugubre mais de la certitude qu’un tel objet provoque la flamboyante irruption – sinon éruption - de l’œil corrupteur des consciences. Pour ce magicien, jamais la formule associant regard et maléfice n’aura été plus justifiée. Car, à l’évidence, l’incandescente apparition de ce qui perdure de Sauron c’est le « mauvais œil », mais paroxysmique, dilaté aux proportions d’une malédiction planétaire.

Dans le Retour du Roi (2003), reforger l’épée d’Isildur permet de rompre la fatalité – muée en superstition – qui, depuis des millénaires, pesait sur les héritiers du Gondor et c’est par cette même lame qu’Aragorn outrepasse une autre superstition : celle, tissée d’ombre et d’épouvante, gardant la voie réputée close où demeurait l’armée des spectres. Enfin, devant les portes du Mordor, la vigoureuse harangue d’Aragorn à ses combattants déchire la nasse de frayeur qu’abat sur eux le sinistre renom du lieu joint à la multitude des ennemis.

En apparence non terrifiant mais tout aussi redoutablement inquisiteur que l’unique organe de Sauron, l’œil de l’ordinateur Hal, dans 2001, l’Odyssée de l’espace (film à nul autre pareil de Stanley Kubrick, 1968), traduit techniquement l’emprise d’une superstition qui ne dit pas son nom. Il s’agit de celle émanée de la science. Car le savoir scientifique a valeur de dogme et la notion de progrès – sensée accompagner l’évolution du genre humain – est forcément taboue. Critiquer cette notion, sinon la remettre en cause, suscite la même crainte superstitieuse que le sentiment d’un sacrilège chez l’individu pratiquant une religion. En éradiquant la mémoire de Hal, summum de la technologie, David Bowman se libère de sa soumission mentale à la science. La voie vers l’astre « Jupiter et, au-delà, l’infini » (comme l’énonce le film) est désormais ouverte. Selon le mythe, Jupiter, maître de la foudre, symbolise une connaissance transfiguratrice arrachant l’individu à tout conditionnement psycho-somatique.

À l’instar d’Aragorn ou de David Bowman, les êtres capables de franchir le cercle des superstitions aliénantes auront accès à ce qu’elles masquaient et prohibaient : la source vive d’un savoir conférant cette félicité qui fleurit sur les lèvres de l’archange de Reims, de la Joconde ou, par le burin d’Albrecht Dürer, de ce chevalier que n’arrêtent ni la Mort ni le Diable.

Paul-Georges Sansonetti

 

Dans le cadre du thème du festival, seront projetés :

 

LE CHAT NOIR (The Black Cat) de Edgar G. Ulmer (Etats-Unis) (1934)

VAUDOU (I Walked With A Zombie) de Jacques Tourneur (Etats-Unis) (1943)

RENDEZ-VOUS AVEC LA PEUR (Night With A Demon) de Jacques Tourneur (Grande-Bretagne)(1957)

SIMETIERRE (Pet Sematary) de Mary Lambert (Etats-Unis) (1989)

LA MOMIE (The Mummy) de Stephen Sommers (Etats-Unis) (1999)

BELPHEGOR, LE FANTOME DU LOUVRE de Jean-Paul Salomé (2001)

 

 

 

 

 

HOMMAGE à HIDEO NAKATA

 

Né le 19 juillet 1961 dans la préfecture d’Okayama, Hideo Nakata étudie à l’université de Tokyo pour devenir ingénieur ou journaliste. Mais, ayant effectué plusieurs petits boulots sur des plateaux de tournage, le virus du septième art le contamine. Décidant de changer de carrière pour épouser sa nouvelle passion, il s’inscrit en marge de son cursus scolaire dans une célèbre école de cinéma à caractère non didactique.

Nakata devient assistant-réalisateur, apprenant son métier en compagnie de son mentor, Konoma Masaru, un vieux metteur en scène possédant un amour incommensurable pour le septième art.

Suivant le parcours classique du metteur en scène nippon, Hideo Nakata tisse ses premières bandes à la télévision (God's Hand en 1992 et trois courts métrages pour la série de docu-fiction “Véritables Histoires d’Horreur”), où il rencontre son frère d’arme, le scénariste Hiroshi Takahashi.

Enfin, en 1996, le producteur Takenori Sento lui donne sa chance et Hideo Nakata réalise « L'Actrice Fantôme » qui contient déjà les germes de « Ring ».

Takenori Sento décide par la suite de confier à Hideo Nakata la réalisation de « Ring ». Le scénario prévoit, contrairement au livre, un personnage féminin central et un mixage culturel entre vieux films d'horreurs occidentaux et japonais. Nakata revient avec ce film à de vrais notions de découpage, proches de la mise en images des meilleurs mangas. Directeur d'acteurs exigeant, il parvient également à obtenir une formidable intensité dans le jeu de ses comédiens.

Variation sur la fascination de l'image filmée comme dernier clin d'oeil d'un cinéaste aux oeuvres qu'il admire, « Ring » fait d'Hideo Nakata l'un des chantres de la nouvelle vague nippone qui, de Kiyoshi Kurosawa à Shinji Aoyama en passant par Takashi Miike ou Shinya Tsukamoto, redonne vie depuis le début des années 90 à une cinématographie dévastée par la crise des grands studios.

Le triomphe de « Ring » et de sa séquelle offre donc à Hideo Nakata une grande notoriété. Cette dernière lui permet de renouer avec ses amours premières. Certes, il ne s'émancipe pas tout de suite du genre fantastique, comme en atteste « Le Cerveau de Verre ». Mais il enchaîne bientôt sur « Chaos », un film très romantique prétexte à rendre hommage au cinéma d'Hitchcock et à la littérature d'Egdar Allan Poe. Un remake de « Chaos » est en cours de production aux Etats-Unis.

Ensuite, Nakata met en scène « Sleeping Bride », l'adaptation d'un manga d'Osamu Tezuka, adaptation libre sur le thème de la Belle au Bois Dormant.

Puis, il s'attaque conjointement au panégyrique et au documentaire SM dans « Sadistic and Masochistic », oeuvre rendant hommage à son mentor, Konoma Masaru. Enfin, il signe ses trois derniers films, « Last Scene », un long métrage tourné en vidéo racontant l'histoire d'un acteur de cinéma muet qui joue pour la télévision, et « Dark Water », l’adaptation d'une nouvelle de Koji Suzuki qui a fait l’objet d’un remake américain réalisé par Walter Salles avec Jennifer Connelly.

 

Ainsi, de manière presque anonyme, Hideo Nakata est, en ce début de XXIème siècle, sur le point de devenir un des cinéastes asiatiques le plus plagié par Hollywood, ce qui est la marque d'un talent incontestable.

 

 

Dans le cadre de son hommage seront présentés les films suivants :

RING (1998)

RING 2 (1999)

DARK WATER (2002) - Grand Prix du Festival de Gérardmer 2003

LE CERCLE - THE RING 2 (2005)

 

 

LE JURY LONGS MÉTRAGES

HIDEO NAKATA PRÉSIDENT

Réalisateur

 

Filmographie

1996 L'ACTRICE FANTÔME

1997 ASSASSIN'S TOWN

1998 RING

JOSEPH LOSEY, THE MAN WITH FOUR NAMES

1999 RING II

LE CERVEAU DE VERRE

2000 CHAOS

SLEEPING BRIDE

2001 SADISTIC AND MASOCHISTIC

LAST SCENE

2002 DARK WATER - Grand Prix du Festival de Gérardmer 2003

2005 LE CERCLE – THE RING 2

 

 

MAXIME CHATTAM - écrivain

 

Bibliographie

2003 CINQUIÈME RÈGNE

(Prix Littéraire Fantastique du Festival de Gérardmer 2003, publié sous le nom de Maxime Williams)

L’ÂME DU MAL

IN TENEBRIS

2004 MALÉFICES

2005 LE SANG DU TEMPS

 

 

 

LOU DOILLON – comédienne

 

Filmographie

1997 TROP PEU D’AMOUR de Jacques Doillon

1998 MAUVAISES FREQUENTATIONS de Jean-Pierre Améris

1999 MAMIROLLE de Brigitte Coscas

2000 CARREMENT A L’OUEST de Jacques Doillon

2001 BLANCHE de Bernie Bonvoisin

2002 EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ de Michel Blanc

2003 SAINT ANGE de Pascal Laugier

 

 

ANTOINE DULÉRY - comédien

 

Filmographie sélective

1992 TOUT CA…POUR CA de Claude Lelouch

1999 MEILLEUR ESPOIR FEMININ de Gérard Jugnot

2000 GREGOIRE MOULIN CONTRE L’HUMANITE de Artus de Penguern

2001 SEXES TRES OPPOSES de Eric Assous

2003 MARIAGES ! de Valérie Guignabodet

MARIAGE MIXTE de Alexandre Arcady

CLARA ET MOI de Arnaud Viard

TOUTES LES FILLES SONT FOLLES de Pascale Pouzadoux

2004 LE GENRE HUMAIN 1ère PARTIE : LES PARISIENS de Claude Lelouch

BRICE DE NICE de James Huth

LE GENRE HUMAIN, LE BONHEUR C’EST MIEUX QUE LA VIE de Claude Lelouch

2005 L’ANNIVERSAIRE de Diane Kurys

 

 

CLAIRE KEIM - comédienne

 

Filmographie

1994 AU PETIT MARGUERY de Laurent Bénégui

1996 LA BELLE VERTE de Colline Serreau

1997 J’IRAI AU PARADIS CAR L’ENFER EST ICI de Xavier Durringer

BARRACUDA de Philippe Haim

2000 LE ROI DANSE de Gérard Corbiau

LE ROMAN DE LULU de Pierre-Olivier Scotto

LE SENS DES AFFAIRES de Guy-Philippe Bertin

2001 FEROCE de Gilles de Maistre

2003 EN TERRITOIRE INDIEN de Lionel Epp

2004 CHICKEN LITTLE de Mark Dindal (voix française)

 

GABRIELLE LAZURE - comédienne

 

Filmographie sélective

1982 BELLE CAPTIVE de Alain Robbe-Grillet

1983 LE PRIX DU DANGER de Yves Boisset

SARAH de Maurice Dugowson

LA CRIME de Philippe Labro

1984 SOUVENIRS SOUVENIRS de Ariel Zeitoun

JOSHUA THEN AND NOW de Ted Kotcheff (en compétition à Cannes)

1985 LAST SONG de Dennis Berry

1986 NOYADE INTERDITE de Pierre Granier-Deferre

2001 LA BANDE DU DRUGSTORE de François Armanet

2002 LE PHARMACIEN DE GARDE de Jean Veber

2003 LES RIVIÈRES POURPRES 2 de Olivier Dahan

AGENTS SECRETS de Frédéric Schoendoerffer

 

 

TOM NOVEMBRE – comédien

 

Filmographie sélective

1991 VILLE A VENDRE de Jean-Pierre Mocky

1994 PRET A PORTER de Robert Altman

1997 LE LOUP GAROU DE PARIS de Anthony Waller

2002 APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS de Nathalie Schmidt

2003 CASABLANCA DRIVER de Maurice Barthelemy

LE VENTRE DE JULIETTE de Martin Provost

2004 UN FIL A LA PATTE de Michel Deville

2005 MA VIE EN L’AIR de Rémi Bezançon

 

 

NATACHA REGNIER - comédienne

 

Filmographie sélective

1995 DIS-MOI OUI d’Alexandre Arcady

1996 ENCORE de Pascal Bonitzer

1998 LA VIE REVEE DES ANGES de Erick Zonca

LES AMANTS CRIMINELS de François Ozon

2000 LA FILLE DE SON PERE de Jacques Deschamps

TOUT VA BIEN, ON S’EN VA de Claude Mouriéras

2001 COMMENT J’AI TUE MON PERE de Anne Fontaine

2003 VERT PARADIS de Emmanuelle Bourdieu

DEMAIN ON DEMENAGE de Chantal Akerman

TROUBLE de Harry Cleven (Grand Prix du Festival de Gérardmer 2005)

2004 LE PONTS DES ARTS de Eugène Green

LE SILENCE de Orso Miret

 

 

JEAN-PAUL SALOMÉ – réalisateur et scénariste

 

Filmographie

1993 LES BRAQUEUSES

1998 RESTONS GROUPÉS

2000 BELPHEGOR LE FANTOME DU LOUVRE

2003 ARSENE LUPIN

 

 

STUART SAMUELS - réalisateur et producteur

 

Filmographie sélective en tant que réalisateur et producteur

1992 VISIONS OF LIGHT

2005 MIDNIGHT MOVIES : FROM THE MARGIN TO THE MAINSTREAM

 

En tant que producteur

1987 STEPS

1994 A GREAT DAY IN HARLEM

1995 HOLLYWOODISM, JEWS, MOVIES AND THE AMERICAN DREAM

1998 PEACE, LOVE AND MURDER: THE IRA EINHORN STORY

 

 

ZINEDINE SOUALEM - comédien

 

Filmographie sélective

1992 RIENS DU TOUT de Cédric Klapisch

1995 CHACUN CHERCHE SON CHAT de Cédric Klapisch

1996 TENUE CORRECTE EXIGÉE de Philippe Lioret

DIDIER de Alain Chabat

1999 PEUT-ÊTRE de Cédric Klapisch

2001 INCH ALLAH DIMANCHE de Yamina Benguigui

ASTERIX ET OBELIX : MISSION CLÉOPÂTRE d’Alain Chabat

L’ANGE DE GOUDRON de Denis Chouinard

MA CAMÉRA ET MOI de Christophe Loizillon

2002 NI POUR NI CONTRE (BIEN AU CONTRAIRE) de Cédric Klapisch

2004 LES POUPÉES RUSSES de Cédric Klapisch

EMMENEZ-MOI de Edmond Bensimon

2005 VIVE LA VIE de Yves Fajnberg

 

ERIC VALETTE – réalisateur

 

Filmographie

2002 MALEFIQUE (Prix du Jury du Festival de Gérardmer 2003)

 

 

BERNARD WERBER – écrivain

 

Filmographie

1991 FOURMI

1992 JOURS DES FOURMIS

1993 L’ENCYCLOPEDIE DU SAVOIR RELATIF ET ABSOLU

1994 THANATONAUTES

1995 LA REVOLUTION DES FOURMIS

1997 LIVRE DU VOYAGE

1998 PERE DE NOS PERES

2000 L’EMPIRE DES ANGES

2001 L’ULTIME SECRET

2003 NOS AMIS LES HUMAINS

2004 NOUS LES DIEUX

2005 LE SOUFFLE DES DIEUX

 

LA COMPÉTITION LONGS MÉTRAGES

 

Les personnalités sont attendues

Les personnalités sont pressenties

 

 

ALLEGRO Danemark

de Christoffer Boe avec Ulrich Thomsen

 

Zetterstrøm, un pianiste célèbre, revient à Copenhague, sa ville natale, à l’occasion d’un concert de gala. Il a oublié sa vie passée à Copenhague, ses souvenirs étant enfermés dans une mystérieuse «Zone», une partie de la ville fermée aux habitants qui a connu il y a quelques années une perturbation surnaturelle…

 

Le deuxième film du réalisateur danois Christoffer Boe, dont le premier film « Reconstruction » avait remporté la Caméra d’Or au Festival de Cannes 2003.

 

Distributeur : Celluloid Dreams –Tel : 01 49 70 03 70

Relations presse : Magali Montet – Tel : 01 49 70 03 70

 

 

FRAGILE Espagne

de Jaume Balaguero avec Calista Flockhart

 

Une jeune infirmière est engagée dans un hôpital pour enfants sur le point de fermer. D'étranges événements surviennent au sein du vieux bâtiment et les enfants sont peu à peu victimes d'accidents inexplicables...

 

Le troisième long métrage du réalisateur espagnol Jaume Balaguero, un habitué du festival, qui remporta notamment le Prix du Jury à Gérardmer en 2000 avec son premier film « La Secte sans nom ».

 

Distributeur : StudioCanal – Tel : 01 71 35 35 35

 

 

THE HEIRLOOM Thaïlande

de Leste Chen

 

Un jeune homme hérite de la maison de ses parents où il emménage avec sa fiancée. Il invite quelques amis pour y pendre la crémaillère, mais le lendemain, l’un d’entre eux est mystérieusement retrouvé pendu dans un hotel…

 

Pour la première fois à Gérardmer, un film fantastique qui nous vient de Thaïlande.

 

Ventes internationales : Three Dots Entertainment - Tel : + 886 2 2727 6629

 

 

HOSTEL Etats-Unis

de Eli Roth, produit par Quentin Tarantino

 

Trois américains, adeptes du tourisme sexuel et des vacances de débauche, se rendent dans une auberge de jeunesse en Slovaquie pour y faire un maximum de rencontres. Les filles sont effectivement faciles, mais bientôt, le cauchemar commence...

 

Après « Cabin Fever », présenté à Gérardmer en 2003, le deuxième film de Eli Roth, jeune cinéaste américain découvert par Quentin Tarantino qui le produit dorénavant.

 

Distributeur : Gaumont Columbia Tristar – Tel : 01 44 40 60 00

Relations presse : Anne Lara – Tel : 01 44 40 62 28

 

 

ISOLATION Grande-Bretagne/Irlande

de Billy O’Brien

 

Au milieu d’une nuit d’hiver dans la campagne irlandaise, un fermier attend que l’une de ses vaches mette bas. Le calvaire de l’animal lui pèse d’autant plus qu’il a passé un accord avec un laboratoire biologique pour sortir son exploitation des dettes et a autorisé des chercheurs à faire des expériences sur son bétail…

 

Quand « Alien » rencontre « The Thing » dans une ferme isolée d’Irlande. Le premier film qui vous fera avoir peur de la race bovine.

 

Distributeur : TFM Distribution - Tel : 01 41 41 12 34

Relations presse : Cédric Landemaine – Tel : 01 44 05 97 60

 

 

NOUVELLE CUISINE (Dumplings) Hong-Kong

de Fruit Chan

 

Une ancienne star de Hong Kong approchant la quarantaine a choisi de rajeunir afin de reconquérir son mari infidèle. Bien décidée à retrouver sa beauté d’antan, elle fait appel aux recettes culinaires d’un docteur un peu spécial…

 

Rester jeune à tout prix avec Fruit Chan, l’enfant terrible du cinéma de Hong Kong.

 

Distributeur : Wild Side Films - Tel : 01 42 25 82 00

Relations presse : Bureau de presse du festival - Céline Petit - Tel : 01 41 34 23 50

 

 

REEKER Etats-Unis

de Dave Payne avec Tina Illman

 

Cinq étudiants partent en voiture pour participer à une fête en plein désert, mais le voyage tourne court. Ils sont contraints de s’arrêter dans un vieil hôtel à l’abandon, et sont vite dérangés par une puanteur tenace. Peu à peu, ils sont témoins d’étranges apparitions de voyageurs atrocement mutilés…

 

Un film qui ne vous fera pas dire que la mort n’a pas d’odeur…

 

Distributeur : Bac Films - Tel : 01 53 53 52 52

Relations presse : Personality - Etienne Lerbret – Tel : 01 44 29 23 12

 

 

THE RED SHOES Corée du Sud

de KIM Yong-gyun

 

Une jeune mère de famille trouve une paire de chaussures rouges abandonnées dans le métro et la rapporte chez elle. Elle devient rapidement obsédée par les chaussures qui semblent avoir un pouvoir étrange sur son comportement et sur celui de sa fille…

 

Une nouvelle adaptation du conte d’Andersen « Les Chaussons rouges », par un jeune réalisateur coréen.

 

Distributeur : Pathé Distribution en association avec DesFilms - Tel : 01 40 76 91 00

 

 

WOLF CREEK Australie

de Greg McLean avec Cassandra Magrath

 

Trois jeunes randonneurs partent faire du trekking dans le désert australien. Ils en profitent pour aller admirer un cratère causé par un météorite. Cette nuit-là, leur voiture tombe en panne, et lorsque un autochtone leur propose de l'aide, ils se croient sauvés. Pourtant, le vrai cauchemar commence...

 

Une version contemporaine de « Massacre à la tronçonneuse », mais cette fois au pays des kangourous.

 

Distributeur : TFM Distribution - Tel : 01 41 41 12 34

Relations presse : Bossa Nova – Michel Burstein – Tel : 01 43 26 26 26

 

LE JURY COURTS MÉTRAGES

 

SAM KARMANN PRÉSIDENT

Comédien, scénariste et réalisateur

 

Filmographie sélective en tant que comédien

1981 LE GRAND PARDON d'Alexandre Arcady

1982 LA BALANCE de Bob Swaim

1983 LE GRAND CARNAVAL d’Alexandre Arcady

CA VA PAS ÊTRE TRISTE de Pierre Sisser

1984 RÉVEILLON CHEZ BOB de Denys Granier-Deferre

LES VOLEURS DE LA NUIT de Sam Fuller

TRAIN D'ENFER de Roger Hanin

1986 UNDER THE CHERRY MOON de Prince

1987 LA RUMBA de Roger Hanin

1989 HIVER 54, L'ABBÉ PIERRE de Denis Amar

1993 CUISINE ET DÉPENDANCES de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui

1994 LA CITÉ DE LA PEUR – LE FILM DE LES NULS d’Alain Berbérian

1998 CA RESTE ENTRE NOUS de Martin Lamotte

1999 LE CIEL, LES OISEAUX…ET TA MÈRE de Djamel Bensalah

2000 LE GOÛT DES AUTRES d’Agnès Jaoui

2002 MONSIEUR BATIGNOLE de Gérard Jugnot

2004 CASABLANCA DRIVER de Maurice Barthélémy

 

En tant que scénariste et réalisateur

1992 OMNIBUS (court métrage)

1999 KENNEDY ET MOI

d’après un roman de Jean-Pol Dubois

2003 A LA P’TITE SEMAINE

 

 

ARIÉ ELMALEH – comédien

 

Filmographie

2000 CHANGE-MOI MA VIE de Liria Begeja

2001 LES AMANTS DU NIL de Eric Heumann

2002 CHOUCHOU de Merzak Allouache

2003 TOUT LE PLAISIR EST POUR MOI de Isabelle Broue

2004 LA MAISON DE NINA de Richard Dembo

 

 

CHLOÉ LAMBERT – comédienne

 

Filmographie

2000 CHAOS de Coline Serreau

CONFESSIONS D’UN DRAGUEUR de Alain Soral

2001 24 HEURES DE LA VIE D’UNE FEMME de Laurent Bouhnik

2004 MARIAGES ! de Valérie Guignabodet

 

 

VINCENT MARTINEZ – comédien

 

Filmographie

1998 L’ECOLE DE LA CHAIR de Benoît Jacquot

1999 UN ANGE de Miguel Courtois

2000 LA CONFUSION DES GENRES de Ilan Duran Cohen

2005 CAVALCADE de Steve Suissa

LA TRAHISON de Philippe Faucon

 

 

CLÉMENCE POÉSY – comédienne

 

Filmographie

2002 BIENVENUE CHEZ LES ROZES de Francis Dalluau

2005 HARRY POTTER ET LA COUPE DE FEU de Mike Newell

 

 

BRUNO SALOMONE - comédien

 

Filmographie

2001 GAMER de Zak Fishman

2003 LES INDESTRUCTIBLES de Brad Dird

2004 LE CARTON de Charles Nemes

2004 BRICE DE NICE de James Huth

 

 

FLORENCE THOMASSIN – comédienne

 

Filmographie sélective

1994 MINA TANNENBAUM de Martine Dugowson

1995 AINSI SOIENT-ELLES de P.et L. Alessandrin

ELISA de Jean Becker

1996 DES NOUVELLES DU BON DIEU de Didier Le Pêcheur

BEAUMARCHAIS de Edouard Molinaro

1997 DOBERMANN de Jan Kounen

1998 LE PLAISIR (ET SES PETITS TRACAS) de Nicolas Boukhrief

1999 RIEN À FAIRE de Marion Vernoux

2000 UNE AFFAIRE DE GOÛT de Bernard Rapp

2003 LE COEUR DES HOMMES de Marc Esposito

2004 UN LONG DIMANCHE DE FIANÇAILLES de Jean-Pierre Jeunet

2005 L’ANNIVERSAIRE de Diane Kurys

 

 

 

 

LA COMPETITION DES COURTS MÉTRAGES FRANCOPHONES

LVT aime et soutient le cinéma fantastique et est heureux d'être partenaire officiel du Festival du Film Fantastique de Gérardmer. A cette occasion, LVT offrira le sous-titrage au court métrage primé.

 

Sont sélectionnés et seront présentés Dimanche 29 janvier à 11h30 au Casino :

ANGEL DUST de Guillaume Foresti

BOTTOM de Giovanni Sportiello

L’INNOCENCE de Arnaud Gautier

LE BAISER de Stéfan le Lay

PROTOCOLE 33 de Benoît Lestang

SOMEWHERE d’Emmanuel Murat avec Yvan Attal

YSE de Lionel Jadot

 

 

FILM D’OUVERTURE

 

 

UNDERWORLD : EVOLUTION Etats-Unis

de Len Wiseman avec Kate Beckinsale

Sélène et Michael sont passés du statut de chasseurs à celui de traqués... Lycans et Vampires se sont désormais alliés, obéissant au terrible Marcus prêt à tout pour venger sa lignée…

 

Distributeur : SND – Tel : 01 41 92 66 66

Relations presse : Personality – Etienne Lerbret – Tel : 01 44 29 23 12

 

 

 

 

FILM DE CLÔTURE

 

HAPPY TREE FRIENDS Etats-Unis

de Kenn Navarro et Rhode Montijo Film d’animation

 

Les Happy Tree Friends sont mignons, adorables, et vont périr dans d’atroces douleurs… et vous allez adorer ça !!!

 

Distributeur : Bac Films - Tel : 01 53 53 52 52

Relations presse : Personality - Etienne Lerbret – Tel : 01 44 29 23 12

 

LES SÉANCES SPÉCIALES

 

Les personnalités sont attendues

Les personnalités sont pressenties

 

BOOGEYMAN Etats-Unis

de Stephane T. Kay

 

Un jeune homme, traumatisé par le souvenir de terribles événements, retourne dans la maison de son enfance pour y affronter ses démons…

 

Un film de maison hantée produit par Sam Raimi, le réalisateur de « Evil Dead » et « Spiderman ».

 

Distributeur : TFM Distribution - Tel : 01 41 41 12 34

Relations presse : à confirmer

 

 

FINAL FANTASY VII Japon

de Nomura Tetsuya Film d’animation

 

Cloud Strife, un ancien soldat devenu mercenaire, décide de mener une vie solitaire dans une ville tranquille. Un jour, il reçoit l'appel d'un homme mystérieux qui lui demande d'assurer sa protection. Au même moment, trois frères en quête de leur mère sont persuadés que Cloud sait où la trouver…

 

Le dernier opus de la série cinématographique tirée du jeu vidéo éponyme.

 

Ventes Internationales : Sony Pictures Entertainment - Tel: + 1 310 244 400

 

 

FOG (The Fog) Etats-Unis

de Rupert Wainwright

 

Disparus il y a un siècle lors d'un naufrage au large des côtes de la baie d'Antonio, les spectres de marins disparus reviennent aujourd'hui se venger dans la ville. Transportés par un étrange brouillard maléfique, ils sèment la terreur et la mort sur leur passage…

 

Le remake du film culte de John Carpenter, au titre éponyme.

 

Distributeur : Mars Distribution - Tel : 01 71 35 11 03

 

 

MIDNIGHT MOVIES : FROM THE MARGIN TO THE MAINSTREAM

de Stuart Samuels Canada/Etats-Unis

 

“Midnight Movies: From the Margin to the Mainstream” explore le parcours méconnu de six films cultes des années soixante-dix : “El Topo”, “Night of the Living Dead” (La Nuit des morts vivants), “The Harder They Come” (Tout, tout de suite), “Pink Flamingos”, “The Rocky Horror Picture Show” et “Eraserhead”. Entre 1970 et 1977, ces six films à petit budget, montrés aux séances de minuit, ont influencé la manière de faire et voir les films. Ils ont réinventé le medium en dépassant les frontières du mauvais goût et des tabous sociaux.

 

Pour la première fois à Gérardmer, un long métrage documentaire sur six films culte des années 70.

 

Distributeur : Pretty Pictures - Tel : 01 43 14 10 00

Relations Presse : à confirmer

 

 

NANNY MCPHEE Grande-Bretagne

de Kirk Jones avec Emma Thompson et Colin Firth SEANCE ENFANTS

Depuis la disparition de son épouse, Cedric Brown a bien du mal avec ses sept enfants qui ont fait fuir toutes les gouvernantes. Une mystérieuse voix lui conseille de faire appel à Nanny McPhee, une femme aux pouvoirs magiques…

 

Un conte féerique dans la veine de « Mary Poppins » écrit par la comédienne Emma Thompson.

 

Distributeur : Mars Distribution - Tel : 01 71 35 11 03

Relations Presse : Laurence Granec & Karine Ménard – Tel : 01 47 20 36 66

 

 

SHEITAN France

de Kim Chapiron avec Vincent Cassel, Roxane Mesquida, Leila Bekhti,

Olivier Barthélemy, Nico le Phat Than et Ladj Ly

 

Trois garçons draguent deux jeunes filles en discothèque. Mais en sortant de boîte, ils font une bien mauvaise rencontre : celle de Joseph, un berger qui prépare une nuit de culte satanique...

 

Un premier film français produit et interprété par Vincent Cassel.

 

Distributeur : Mars Distribution - Tel : 01 71 35 11 03

Relations presse : Christopher Robba - Tel : 01 53 40 88 04

 

 

THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD Canada

de Guy Maddin avec Isabella Rosselini

Winnipeg, au Canada en 1933, au cœur de la Grande Dépression. Lady Port-Huntly, baronesse de la bière amputée des deux jambes, lance le concours de la musique la plus triste du monde. De misérables musiciens affluent du monde entier. Parmi eux, Chester Kent, médiocre impresario, se lance dans la compétition avec l'espoir de remporter le grand prix de 25 000 dollars…

 

Après « Dracula, pages tirées du journal d’une vierge » présenté à Gérardmer en 2003, le nouveau film du créateur canadien Guy Maddin.

 

Distributeur : ED Distribution - Tel : 01 43 48 61 49

 

 

LA COMPÉTITION DES INÉDITS VIDÉO

 

Pour la cinquième année consécutive, le magazine MAD MOVIES est le parrain de cette compétition d’inédits vidéo et remettra au nom du public le prix MAD MOVIES du meilleur film fantastique sortant directement en vidéo lors de la cérémonie de clôture du festival.

 

Sont sélectionnés :

DEAD AND BREAKFAST de Matthew Leutwyler avec David Carradine Etats-Unis

Six amis en route pour un mariage s’arrêtent pour la nuit dans un Bed & Breakfast pittoresque d’une petite ville. Suite à la mort mystérieuse du gérant, le groupe se retrouve suspecté par le shérif de la bourgade. Tout se complique quand les habitants possédés par un esprit démoniaque assiègent la résidence…

Editeur : La Fabrique de Films – Tel : 01 40 13 78 00

 

DRACULA 3 : L’HERITAGE de Patrick Lussier Etats-Unis

Dans un futur proche, le père Uffizi et Luke voyagent en Roumanie, à travers les terres dévastées par la guerre, afin de sauver Elizabeth et en finir avec Dracula une fois pour toute. En route, ils rencontrent un reporter et un groupe de rebelles qui combattent l'emprise du vampire sur leur pays...

Editeur : TF1 Vidéo - Tel : 01 41 41 27 62

 

MOSQUITOMAN de Tibor Takacs Etats-Unis

Un prisonnier condamné à la peine capitale bénéficie d’un dernier sursis en participant à une expérience scientifique liée à l’ADN des moustiques. Arraché au couloir de la mort, il fausse compagnie à ses gardiens et se réfugie dans un laboratoire où il déclenche une violente explosion. Contaminé par une substance hautement toxique, il mute alors en une abominable créature assoiffée de sang…

Editeur : First International Production - Tel : 01 56 59 91 00

 

SATAN’S LITTLE HELPER de Jeff Lieberman Etats-Unis

Douglas Whooly est un jeune garçon dingue de jeux vidéo. Le jour d’Halloween, il décide d’endosser le costume du héros de son jeu favori, le Satan’s Little Helper, dont le but consiste à aider Satan à répandre le Mal sur Terre. Alors qu’il collecte des friandises dans son quartier, il croise sur sa route un homme déguisé en Satan. Ravi de cette rencontre inespérée, le jeune Douglas va lui proposer ses services...

Editeur : Free Dolphin Entertainment - Tel : 01 42 88 52 53

 

SHUTTER de Banjong Pisanthanakun et Parkpoom Wongpoom Thaïlande

Un photographe professionnel renverse accidentellement en voiture une jeune femme et décide de prendre la fuite. Les jours passent et il continue à prendre des photos qui s’avèrent mystérieusement gâchées par des reflets blancs inexplicables…

Editeur : Regulart Films - Tel : 08 78 71 46 22

 

VOUS AIMEZ HITCHCOCK ? de Dario Argento Italie

Un jeune étudiant en cinéma est littéralement obsédé par sa voisine d’en face. Armé de jumelles, il guette ses moindres faits et gestes. Il découvre ainsi qu’elle se rend chaque jour dans le vidéo club en bas de chez elle pour y louer systématiquement le même film : « L’Inconnu du Nord Express ». Lorsqu’un crime est commis dans l’appartement de la jeune femme, il décide de mener l’enquête…

Editeur : Studio Canal Vidéo Tel : 01 71 35 10 08

 

 

 

NUIT « MASTERS OF HORROR »

 

Cette année, le festival vous propose une nuit spéciale avec des épisodes de la nouvelle et inédite série américaine « Masters of Horror », réalisés par des grands noms du fantastique tels que John Carpenter, Tobe Hooper et Joe Dante, ainsi que les réalisateurs cultes Stuart Gordon, George A. Romero, John Landis, Mick Garris, Don Coscarelli, Dario Argento, Larry Cohen et Roger Corman.

 

Vendredi 27 janvier à l’Espace LAC seront projetés les films suivants :

 

CIGARETTE BURNS de John Carpenter avec Norman Reedus et Udo Kier

Kirby Sweetman sait comment retrouver les bobines rares des films. Toutefois, rien ne pouvait le préparer au travail de recherche pharaonique sur « La Fin absolue du monde », un film prétendument montré une seule fois et dont la rumeur dit qu’il a poussé l’audience à une frénésie meurtrière. Son enquête pour retrouver le film en question tourne à l’obsession et se révèle de plus en plus effrayante et meurtrière…

 

DANCE OF THE DEAD de Tope Hooper avec Robert Englund

Dans un monde cauchemardesque post-apocalyptique, les corps réanimés d’amis et ennemis dansent sur la scène du Doom Room pour le plaisir des quelques survivants d’une catastrophe nucléaire. Peggy, une adolescente naïve, s’engage dans une relation amoureuse avec un jeune rebelle et découvre peu à peu le monde hors cocon maternel, et les sacrifices faits pour garantir sa survie…

 

HOMECOMING de Joe Dante avec Jon Tenney et Robert Picardo

Terreur et scandales étouffent la nation alors que les média découvrent que les morts vivants de retour de la guerre décident de voter. Les zombies qui affluent aux urnes font alors osciller la balance lors des élections présidentielles...

 

Editeur : First International Production - Tel : 01 56 59 91 00

 

 

 

 

NUIT « VENDREDI 13 »

 

Cette année, le festival vous propose une «Nuit Vendredi 13» le Samedi 28 janvier à minuit treize.

 

Seront projetés les films suivants – à ce jour :

 

VENDREDI 13 de Sean S. Cunningham (1980)

VENDREDI 13 – 2ème PARTIE : LE TUEUR DU VENDREDI de Steve Miner (1981)

JASON X de James Isaac (2001)

 

 

 

 

 

Sinon on apprends sur Dvdalliance que

 

"Sachez que le réalisateur Eli Roth du film Hostel sera présent avec (au conditionnel) son producteur Quentin Tarantino !!!"

 

Et sinon je n'ai qu'une chose à dire ... ON VA VOIR CLÉMENCE POÉSY

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ALLEGRO : OK veut bien voir

FRAGILE OK veut bien voir

THE HEIRLOOM OK veut bien voir

HOSTEL OK veut bien voir

ISOLATION OK veut bien voir .

NOUVELLE CUISINE (Dumplings) rooooZZZzzz

REEKER OK veut bien voir

THE RED SHOES si j'ai rien d 'autre à voir

WOLF CREEK OK veut bien voir

UNDERWORLD : EVOLUTION OK veut bien voir

HAPPY TREE FRIENDS si j'ai rien d 'autre à voir

BOOGEYMAN QUELLE MERDE! PLUS JAMAIS! JENNIFER LOPEZ! PLUS JAMAIS

FOG OK veut bien voir

MIDNIGHT MOVIES : FROM THE MARGIN TO THE MAINSTREAM

dejàvu. Très sympa.

NANNY MCPHEE OK veut bien voir

SHEITAN OK veut bien voir (mais bon j'ai très peur)

THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD OK veut bien voir

DEAD AND BREAKFAST OK veut bien voir

DRACULA 3 : L’HERITAGE rrroooZZzzzzZZZZZ

MOSQUITOMAN déjà vu. très sympa.

SATAN’S LITTLE HELPER OK veut bien voir

SHUTTER OK veut bien voir

VOUS AIMEZ HITCHCOCK ? OK veut bien voir

 

CIGARETTE BURNS OK veut bien voir…

DANCE OF THE DEAD OK veut bien voir

HOMECOMING OK veut bien voir

 

Il ne reste plus qu'à espérer que tout sera possible à voir!

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je pense oui. Ca sert à quoi de depender tant de thune pour voir des films que l'on verra dans 3 mois enfin moi je m'en fous je viens pas ... mais l'année prochaine peut être tiens

 

Fly viens de découvrir le principe d'un festival.

 

Pour info un festival où tu vois des films qui ne passeront pas au cinéma, ça s’appelle un Leroy Merlin et les films en questions sont des vidéos de présentations d’outils.

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