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The Purge - James DeMonaco, 2013


Kerozene

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Han!

Ya juste le "from the producer of Paranormal activity" qui fait flipper (bon, ça et le fait que ce genre de concept prometteur, c'est souvent décevant).

Mais son "Little New York" était uen excellente surprise, donc gardons espoir.

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  • 3 months later...
  • 2 weeks later...

Pareil. Une bonne petite série B, nerveuse, efficace, qui tient ses promesses. Ça révolutionne rien du tout, ça n'a pas d'énormes prétentions, mais ça fonctionne bien, ça envoie le bois, et ça m'a changé un peu de tous ces blockbusters boursouflés qui se ressemblent tous ! Bonne petite surprise de l'été !

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En fait, le film commence plutôt bien et puis on commence vite à tilter que malgré l'originalité du spitch (qui comme vous l'avez deviné est un énième home invasion qui relègue le côté d'anticipation au fond de ton cul), ça manque cruellement d'ampleur et d'ambiance. D'ailleurs c'est pas les jump scares moisis qui vont y changer quoique ce soit (j'ai un masque, kikoo).

Ceci dit on s'emmerde pas, le propos est assez incisif (ce serait presque comme si Andrew McNicol aurait voulu faire son remake de Funny Games), mais plus on avance, et plus on se dit qu'on aurait pu avoir un grand film (Carpenter, reviens, bisous). Le côté home invasion ne surgit que dans la dernière partie, qui tente de combler en violence (même pas fun) l'attente du spectateur. On a juste l'impression de revoir The Strangers en mode bourrin. Et encore.

Les personnages prennent tout le temps les pires décisions possibles, à commencer par un Benjamin Biolay junior à claquer. Ethan Hawke vieillit décidément très mal, et Cersei porte une perruque.

 

C'est pas nul, c'est pas très réussi non plus : The Purge n'est pas une purge donc, mais c'est pas brillant brillant quand même...

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  • 2 months later...

Un peu pareil que les deux du dessus. Un excellent concept plutôt mal exploité. Les protagonistes sont pas franchement charismatiques, ça manque de personnalité, de folie, de gore et de cul !

 

Ceci dit le film comporte son lot de bastons bien violentes (basiques mais efficaces) et ça dure moins d'1h30 donc au final on a pas vraiment le temps de s'emmerder.

 

Pas désagréable en fait, mais sitôt vu, sitôt oublié. Et c'est bien dommage avec un pitch pareil...

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  • 4 months later...

Ben moi j'ai beaucoup aimé, c'est direct, efficace, brutal... et tout ça pour une poignée de dollars (3mio). Alors oui ça aurait pu être mieux, oui ça aurait pu être plus réfléchi, oui ça aurait pu aller plus en profondeur de son point de départ, oui ça aurait pu être plus surprenant, mais ce n'était pas non plus dénué de réflexions, de problématiques sociales,... et de scènes qui envoient du lourd. Elles sont brèves, mais suffisantes.

Et je me réjouis de voir la suite.

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Je me suis fais chier. Déjà le gamin est con comme ses pieds, quand arrivent les mecs ils ne se passent plus rien pendant 30mn où ils cherchent le black tous séparés (ben ouais sont trop cons) ça manque de violence, ça manque de folie. Un gros dommage pour ma part ...

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  • 1 month later...

Du côté des convaincus (en un seul mot) pour ma part.

 

C'est sûr que ça aurait pu (dû ?) aller beaucoup plus loin au vu du potentiel du sujet - j'ai, à ce titre, trouvé tout le début franchement glaçant. Jusqu'au début de la Purge proprement dite, en fait.

Mais ça va droit au but, offre quelques scènes de plaisante sauvagerie et a au moins le mérite de la simplicité.

 

Même si je regrette

qu'ils ne laissent pas le s.d.f. crever tous leurs sous-merdes de voisins à la fin

...

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  • 4 months later...
En fait, le film commence plutôt bien et puis on commence vite à tilter que malgré l'originalité du spitch (qui comme vous l'avez deviné est un énième home invasion qui relègue le côté d'anticipation au fond de ton cul), ça manque cruellement d'ampleur et d'ambiance. D'ailleurs c'est pas les jump scares moisis qui vont y changer quoique ce soit (j'ai un masque, kikoo).

Ceci dit on s'emmerde pas, le propos est assez incisif (ce serait presque comme si Andrew McNicol aurait voulu faire son remake de Funny Games), mais plus on avance, et plus on se dit qu'on aurait pu avoir un grand film (Carpenter, reviens, bisous). Le côté home invasion ne surgit que dans la dernière partie, qui tente de combler en violence (même pas fun) l'attente du spectateur. On a juste l'impression de revoir The Strangers en mode bourrin. Et encore.

Les personnages prennent tout le temps les pires décisions possibles, à commencer par un Benjamin Biolay junior à claquer. Ethan Hawke vieillit décidément très mal, et Cersei porte une perruque.

 

C'est pas nul, c'est pas très réussi non plus : The Purge n'est pas une purge donc, mais c'est pas brillant brillant quand même...

 

Tout pareil au mot près.

 

Je rajouterai à ça la bande de merdeux qui se comporte comme les pire clichés de films d'horreur (surtout les meufs mais BORDEL quel intérêt de se déplacer tout le temps en trottinant de faire de la balançoire comme un fantôme de petite fille de mauvais film et de rire TOUT LE TEMPS).

 

Bref un bon potentiel et quelques bonnes idées gâchées par plein de détails pénibles. Dommage. Pas nul, mais juste très moyen.

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  • 2 years later...

le film commence bien, il pose un concept sympa, ça sent la rencontre d'American Beauty et d'Assaut.

et puis rien.

au bout d'une heure l'assaut n'a toujours pas démarré, 20 minutes après il est déjà fini.

le film tourne au mille-feuilles de mauvaises idées jamais développées qu'il te téléphone à l'avance. le pire truc c'est la voiture télécommandée du mini-skrillex dont on te présente toutes caractéristiques et qui ne sert que dans 2 scènes totalement anecdotiques. on se garde bien en revanche de t'expliquer comment elle monte et descend les escaliers...

pareil pour la super protection high tech de la maison, un pauvre volet métallique devant les portes et fenêtres qui doit en plus présenter des points d'attaches sur l'extérieur puisqu'il se fait arracher d'un coup de pick up. tu m'étonnes qu'il ait fait fortune le gars avec un système aussi sophistiqué...

à la fin le sdf noir innocent et pas rancunier qui s'est fait tirer dessus, torturer, ligoter et a quand même sauvé la famille, se casse en pissant le sang, sans qu'on lui propose de l'amener à l'hosto ou juste un verre d'eau. ok, c'était sans doute le message social du film : ne tuons pas les gentils pauvres, ils peuvent très bien crever tous seuls

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