Jeremie Posted August 21, 2014 Share Posted August 21, 2014 Deuxième volet de la saga des Terrifying School Girls (quatre en tout). Et si je ne dis pas de bêtises, les films ne suivent pas... Dans une maison de redressements pour filles, c'est la débâcle : une élève vient de mourir dans d'étranges circonstances (en fait torturée et assassinée par les surveillantes), et trois nouvelles élèves vient d'arriver, dont une liée à la victime. Celle-ci va alors accomplir sa vengeance sur l'établissement, corrompue jusqu'à la moelle... Suzuki oblige, c'est fun, violent, sexy. Tout ce qu'on peut demander à un Pinky de cette époque. C'est aussi un bel exemple de l'empowerment à la japonaise séduction lesbienne (sur les chiottes, on fait ce qu'on peut), drapeaux brûlés, révolte contre l'autorité, dirigeants corrompus (et accessoirement piégés ou violés)...ça tape dur quand même. Visuellement, Suzuki ne se montre pas aussi inspiré, mais on retrouve quand même les motifs chrétiens (à la Ken Russell) qui l'obsède tant. Point de bigoterie : il en garde surtout l'occasion pour faire de son héroïne une martyr qui se fait électrocuter les seins, les bras en croix. Ah le symbolisme Link to comment Share on other sites More sharing options...
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