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Candyman - Nia DaCosta (2020)


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This summer, Oscar® winner Jordan Peele unleashes a fresh take on the blood-chilling urban legend that your friend’s older sibling probably told you about at a sleepover: Candyman. Rising filmmaker Nia DaCosta (Little Woods) directs this contemporary incarnation of the cult classic.

 

For as long as residents can remember, the housing projects of Chicago’s Cabrini Green neighborhood were terrorized by a word-of-mouth ghost story about a supernatural killer with a hook for a hand, easily summoned by those daring to repeat his name five times into a mirror. In present day, a decade after the last of the Cabrini towers were torn down, visual artist Anthony McCoy (Yahya Abdul-Mateen II; HBO’s Watchmen, Us) and his girlfriend, gallery director Brianna Cartwright (Teyonah Parris; If Beale Street Could Talk, The Photograph), move into a luxury loft condo in Cabrini, now gentrified beyond recognition and inhabited by upwardly mobile millennials.

 

With Anthony’s painting career on the brink of stalling, a chance encounter with a Cabrini Green old-timer (Colman Domingo; HBO’s Euphoria, Assassination Nation) exposes Anthony to the tragically horrific nature of the true story behind Candyman. Anxious to maintain his status in the Chicago art world, Anthony begins to explore these macabre details in his studio as fresh grist for paintings, unknowingly opening a door to a complex past that unravels his own sanity and unleashes a terrifyingly viral wave of violence that puts him on a collision course with destiny.

 

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Remake chapeauté par Jordan Peele.

A voir, la BA me laisse complètement de marbre.

  • 1 year later...
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C'était pas mal. Suite (et non remake ou reboot) pas trop conne, qui reprend des trucs de l'original, mais fait le lien plutôt habilement. Pour le reste, quelques belles idées graphiques, au milieu de trucs plus convenus. Les acteurs, à boire et à manger, c'est pas du haut niveau qd même... Le message "Black lives matter" est parfois un peu lourdaud. Dans le fond, il est complètement cohérent avec l'univers de Candyman, mais au final, l'original disait quasiment la même chose de façon bp plus subtile. Voilà, pas un chef d'oeuvre, on est à des kms de l'original, mais franchement pas honteux non plus, ça a une vraie personnalité, on est loin de bouses comme les remakes des "Griffes de la nuit" ou trucs du genre. Ca mérite sans mal une vision  ;)

  • 1 year later...
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Moins convaincu pour ma part.

Comme DPG le dit, les acteurs sont pas ouf et on a dû mal à s'attacher à eux. Ce qui nique complètement l'effet que le film voudrait nous donner.

Le message de la gentrification est un peu forcé, mais le reste ça reste dans le ton du premier, un petit peu plus militant quand même.

Par contre en film d'horreur c'est pas ça du tout. Alors l'original n'était pas non plus un slasher, mais difficile d'oublier Virginia Madsen couverte de sang au commissariat. Là y a pas grand chose qui reste dans la tête. Ça sent clairement le film cut pour passer à la TV.

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En me relisant, je trouve que j'ai été bien gentil avec le film, parce qu'avec du recul, mon souvenir du film est bp moins glorieux !  

  • 1 year later...
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Des bonnes choses. Le côté black lives matter est un peu bourrin. Pour autant,faire de Candyman une victime de violence policière et de fait, en faire une sorte de Golem justicier pour la cause black, est assez bien vu.

 

Des choses plus discutables : du coup pourquoi diable Candyman tue des noirs ? 🤨 ça n'a aucun sens.

La fin est pas terrible, il y a quelques passages qui sentent le cahier des charges (la scène des toilettes du lycée semble sortie d'un autre film).

 

Assez étrange aussi de voir que le film dévoile tout son potentiel dans son générique de fin.

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