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Carter - Jeong Byeong-gil (2022)


Tomfincher

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Résumé

Un homme se réveille amnésique. Guidé par une mystérieuse voix provenant d'un dispositif placé dans son oreille, il entreprend une mission risquée de sauvetage d'otage.

 

Sinon, y'a d'autres trucs dans le script, avec des histoires de Corée du Nord et du Sud, de trahison, etc, et puis des infectés comme des zombies. J'ai pas tout compris. J'avais surement trop mal au crane devant cette bouillie numérique. 

Le film est vendu comme un film en plan séquence incroyable... Alors je veux bien que de nos jours, ce soit moins la peine de se prendre la tête à préparer un plan de 2h, grâce aux raccords numériques. Mais en fait, Carter n'est qu'un film normal, en réalité blindé de coupes et de raccords numériques dégueulasses dans tous les sens qui tuent tout l'intérêt du plan séquence. Ce n'est finalement qu'un sous Michael Bay, épileptique, mais sans la réflexion d'un mec derrière (Michael Bay donc) qui va penser le placement de la caméra, etc. Non, là, c'est du pilotage automatique. Les raccords se font au choix sur un blouson noir, le flash d'un éclair, une explosion, j'en passe... 

Quelques plans impressionnants noyés au milieu d'une masse immonde numérique, avec les plus laides courses poursuites (tout y passe, voiture, moto, train et même hélico) au cinéma depuis celle de Lock Out (le plagiat de New York 1997 produit par Luc Besson). C'est peu dire !

A la poubelle !

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