Aller au contenu

Avida - Benoît Delépine & Gustave de Kervern (2006)


Cyril

Messages recommandés

  • 4 weeks later...
  • 2 months later...

Pas aussi bon que Aaltra, voir même un peu limite.

 

C'est clair que le film n’est pas accessible pour un sou, un vrai film d'ambiance qui peut bien faire chier si on ne rentre pas dedans.

 

Pour ma part ça a plutôt bien fonctionné, je me suis pas mal fendu la poire et certain passage très poussé sont carrément hilarant.

 

Après c'est sur que le film semble limite improvisé par moment et qu'il ne possède pas une ligne scénaristique très évidente, mais bon si on y prend du plaisir c'est l'essentiel.

 

En tout cas ce n'est plus du scope, c'est un format carré de chez carré !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...

Vu hier soir, et c'est vraiment barre de chez barre.

 

Difficile, j'ai du me faire aider de l'excellent commentaire audio des deux comperes grolandais.

Mais le film est foutrement original et spontane (beaucoup d'impros, donc les saynettes sont assez inegales). Et surtout, le denouement permet de dissiper les doutes et interrogations persistents depuis le debut du film.

Oui, faut se le fader en integralite le bestiau, mais il a assez de qualites pour etre tres attachant.

 

Un OVNI encore plus decale que prevu, a decouvrir !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...

Petite préférence pour Aaltra, mais Avida est quand même une belle réussite. Il y a tellement de scènes surréalistes que j'en jubilais de bonheur! Le bourgeois dans sa maison automatique qui écarte le clodo avec son portail électrique, Chabrol qui parle du chevreuil avec amour, le lancé de chaise, la visite du zoo, Arrabal qui course un rhino... Le point noir, c'est la transition de la première partie à la deuxième, autrement dit de la "présentation" des personnages, à la "mission finale" avec la grosse Avida. Là il y a un passage à vide qui nous fait décrocher méchamment, une sorte de rupture de ton entre les vignettes déglinguées et un récit qui commence (... enfin, diront certains).

Et puis n'en déplaise à cette merde de Superfly, le noir et blanc avec un gros grain qui râpe, moi j'aime ça.... tout autant qu'un scope soigné par Leone. Ca n'a pas la même saveur, mais ça se savoure de la même manière.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...