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Grind House - Tarantino & Rodriguez (2006)


bloknotise

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ca repart du Tarantino et personne ne me préviens ?

 

Il utilise toujours ses références pour composer ses films. Alors effectivement c'est parfois saoulant. Au moins il le fait bien. Maintenant j'aimerais bien qu'il compose la majorité de ses plans autrement qu'en cherchant à piocher à droite et à gauche. Mais bon ca donne des films qui tiennent la route... ce que je lui reproche se sont ses textes largement trop ampoulés et chiants.

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Il utilise toujours ses références pour composer ses films. Alors effectivement c'est parfois saoulant. Au moins il le fait bien. Maintenant j'aimerais bien qu'il compose la majorité de ses plans autrement qu'en cherchant à piocher à droite et à gauche. Mais bon ca donne des films qui tiennent la route... ce que je lui reproche se sont ses textes largement trop ampoulés et chiants.

 

 

oh non pas toi Joe

 

DR BREEDLOVE VIENT LATTER LES COUILLES A JOE!!!!

 

"Ses textes lagements trop ampoulés" non franchement la je ne comprend rien , son cinéma est une grosse boule d'émotion ficelé avec des dialogues qui construisent autant l'action du film que les personnages. Ce n'est pas des discours simplement pour parler et remplir le temps. Donne nous un exemple pour que l'on comprenne

 

Vu que l'on parle peinture je vais pouoir un peu l'ouvrir donc tous les mouvements en peinture et toutes ls écoles si'nsipirent les unes des autres bien sur il y a des expections (mais cela confirme la règle). Dr Breedlove l'a très bien synthetiser. On va pas reprocher à quelqu'un de copier les premiers qui ont inventer la perspective, non ? bah désolé en cinéma c'est pareil, on reproche à Tarantino de "designer" son film avec des détails, le costume d'Uma est un détail qui n'empeche aucument la comrehension du film mais renforce un tant soit peu la profondeur de son cinéma.

En comics c'est également la même chose, je m'étais procurer un (excellent) fanzine sur le travail de Mignola sur Hellboy et quntité de planche s'inspirer directement de gravure, peinture du XVII ou XVIII siècle, c'est pas pour autant que Hellboy c'est de la merde et Mignola un sale copieur

 

Et la discussion est un peu stérile car on devrait prendre des exemples pour pouvoir comprendre nos différents points de vue...car la perso j'arrive à cerner ce que vous n'aimez pas mais les raisons me paraissent infimes

je respecte tous vos avis de toute façon on n'est pas obligé de tout aimer en cinéma

Modifié par Invité
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J'ai quand même dis que ses films tiennent la route ca aurait pu être pire

Mais ses textes... je peux pas. Trop de la branlette. la fin de Kill Bill 2 par exemple. C'est trop pour moi. Ca se pignole sec et je ne peux pas..

 

La dernière partie "retrouvaille" fait je crois 45mn, les dialogues permettent autant de faire monter la tension entre les protagonistes et renforcer la nature des personnages. On sait qu'il va mourrir puisque c'est un film de vengeance, en dilatant le temps de cette manière il joue avec le spectateur (ce que Tarantino fait depuis ses débuts)

Trop de personnes trouvaient KB 1 pas assez dialoguer, Tarantino l'a dit des la sortie du film le premier volet c'est la baston, le deuxième c'est les raisons.

 

Après soit on accroche aux personnages et on vit le film avec eux soit on reste à la porte et malheureusement on ne ressent pas la même chose...bordel la fin lorsque David Carradine se lève, titube et s'écroule, je chiale à chaque fois et j'ai du le voir quantité de fois

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Concernant la peinture, tu dis des trucs très sensés Flo. Je suis entièrement d'accord avec toi, mais ce n'est pas ce que je voulais dire. Les peintres utilisent la perpective, ils utilisent de la peinture, ils travaillent sur un toile et tout, mais leurs points communs s'arrêtent aux détails techniques. Un peintre qui se dit "je vais peindre tout un tableau en faisant de p'tits points comme Monet, parce que c'est cool" aborde la peinture sous un mauvais angle. Il doit observer le monde qui l'entoure et coucher sa propre interpretation sur la toile. Evidement, il doit analyser le travail des peintres qui étaient là avant lui, mais il doit pouvoir peindre sans se référer à ses maîtres. C'est ce que je reproche à Tarantino. Il construit souvent sa mise en scène et ses choix de plans selon ce qu'il a vut dans d'autres films. Au lieu de se dire: "ma scène exprime ceci, donc pour renforcer ce sentiment, il faut que je filme comme celà".

A mon sens, et ce n'est bien sûr que mon avis qui n'engage que moi, Tarantino fait un film pour faire un film. C'est dificile à exprimer, mais c'est un peu comme si tu parlais à quelqu'un pour la parole, pour le plaisir d'entendre les mots sortir de ta bouche au lieu de dire quelque chose. Maintenant, je ne sous-entend pas que Tarantino ne fait que ça. Il a sa personalité, mais cachée dans l'ombre de ses influences.

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Il construit souvent sa mise en scène et ses choix de plans selon ce qu'il a vut dans d'autres films. Au lieu de se dire: "ma scène exprime ceci, donc pour renforcer ce sentiment, il faut que je filme comme celà".

 

Je sais que tu as mis "souvent" et que donc ce n'est pas une généralité même si je ne suis pas d'accord, certes dans Reservoir Dogs, quantité de plan citent City on Fire de Ringo Lam, dans Jackie Brown, une suéquence est directement reprise du Deuxième souffle de Melville,...etc poutant 95% de sa mise en scène est refléchi et cherche à "renforcer " l'expression d'une mise en scène. Exemple : la mort de Beaumont dans Jackie Brown. En un seul mouvement de caméra on comprend ce qui se passe. Ordell demande à Beaumont de se mettre dans le coffre de sa voiture, ils partent - la caméra s'élève - et dans le même plan on comprend ce qui va se passer MAGNIFIQUE !

 

Il a sa personalité, mais cachée dans l'ombre de ses influences.

 

justment je trouve cela très interessant les différents niveaux de lecture de son oeuvre. D'une certain manière les films noirs des années 50 ou le films de studios ont permis à certains cinéastes de s'exprimer par ellipses, allussion pour ne pas choquer j'ai conscience que c'était des contraintes et non un choix delibéré ...Tarantino décide de s'exprimer par l'intermédiaire de symbole cinéphilique (je sais je radote, mais on tourne autour du pot ).

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Ouh là, ça devient trop intellectuel pour moi tout ça !

 

Bon Flo06, balance ta thése sur Tarantino !

 

c'est pas beau de se moquer

 

c'est pas une thèse mais un mémoire et puis d'abord je n'oserai point te la divulger, j'aurai trop peur d'être pris en dérision sur le forum

 

enfin d'un côté sur 250 pages de mémoire je pense qu'il y a surement des choses bonnes qui pourraient te faire changer d'avis

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Et à moi, faudra m'expliquer en quoi le fait que tu aimes ce film en fait automatiquement le meilleur pour tout le monde !

 

Faut te détendre, hein, quand tu balances que tel ou tel truc c'est de la merde je viens pas te demander de te justifier et d'expliquer que c'est ton avis perso, vu que ça tombe sous le sens. Et puis un peu d'humour aussi, tu deviens vraiment agressif quand ça vire sur Tarantino ou Eli Roth, ils ont enculé ton chien ou quoi ?

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Y a Kevin Smith aussi !

 

Ben je sais pas moi, c'est toi qui a écrit :

 

Comment s'essoufler dans son meilleur film, faudra m'expliquer

 

Ben, je te retourne la question, c'est tout !

 

Et ça ne s'est peut être pas vu vu qu'il n'y a pas de Webcam ici mais j'étais pas du tout énervé !

 

Qu'un fan de Philipe Clair ai été déçu par un film de Tarantino, ça suffit à mon bonheur !

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Ben je considère que c'est son meilleur film, c'est tout !

 

Son plus adulte, son plus émouvant son plus maîtrisé, le mieux écrit... Je ne me lasserai jamais du speech de Sam Jackson devant la bagnole expliquant à De Niro pourquoi il a dû buter Beaumont, et pourtant comme Fly & Buralo je trouve aussi certains de ses dialogues ampoulés et chiants (Carradine qui disserte sur le poisson en faisant des clubs sandwich effectivement au secours). Je comprends que Jackie Brown fasse chier avec son absence totale de spectaculaire et son rythme cool, mais je sais pas, je peux le mater 10 fois, je m'en lasse pas. Pour moi il est parfait, Grier est divine, à la fois icône blax assumée (le plan où elle sort de taule et où Forster la regarde), femme forte, etc. Et la double utilisation de la chanson Accross 110th Street en début et en fin de film me colle simplement une baffe à chaque fois avec les paroles. Bref, pour moi c'est SON film quoi, pourtant j'adore Reservoir Dogs qui est sûrement plus intéressant au niveau du style et mieux construit du point de vue de l'intrigue, ou même Pulp. Mais puisque le débat se fait sur le mode Tarantino ce copieur/plagieur je trouve justement que dans Jackie Brown il fait totalement sien les codes de la blax et du film de genre, sans esbrouffe, sans "emprunter des plans", sans prétention ou sans m'a-tu-vutisme, ce qui m'a passablement gonflé dans Kill Bill vol 1 que je n'aime pas du tout. Là, c'est un film de genre, mais c'est son film.

 

Voilà

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sans esbrouffe, sans "emprunter des plans"

 

tout a fait d'accord pour le reste par contre je suis obligé de te dire non pour la phrase au dessus

 

la séquence ou Jackie se trouve dans le bureau de Rob Forster en attendant la venue d'Ordell et qu'elle manipule une arme et directement inspiré du deuxième soufle de Melville mais à part ça aucune autre séquence ou plan ne sont cités

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la séquence ou Jackie se trouve dans le bureau de Rob Forster en attendant la venue d'Ordell et qu'elle manipule une arme et directement inspiré du deuxième soufle de Melville mais à part ça aucune autre séquence ou plan ne sont cités

 

Ah, tiens ? A quel moment ? (du Deuxième Souffle)

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la séquence ou Jackie se trouve dans le bureau de Rob Forster en attendant la venue d'Ordell et qu'elle manipule une arme et directement inspiré du deuxième soufle de Melville mais à part ça aucune autre séquence ou plan ne sont cités

 

Ah, tiens ? A quel moment ? (du Deuxième Souffle)

 

 

vers la fin du film ou le grand personnage avec un chapeau (désolé je ne me souviens plus du nom du perso) va dans un petit appartement dans le quel aura lieu une rencontre entre Ventura et d'autre malfrats. Et pendant trois minutes l'homme au chapeau cherche un bon endroit ou placer une arme et fait à trois reprise le geste de braquer comme dans Jackie Brown

 

et sache que je ne l'ai pas inventé du à une trop grande quantité d'alcool ou de produit illicite c'est Quentin qui le revelé dans une interview

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Ben je considère que c'est son meilleur film, c'est tout !

 

Son plus adulte, son plus émouvant son plus maîtrisé, le mieux écrit... Je ne me lasserai jamais du speech de Sam Jackson devant la bagnole expliquant à De Niro pourquoi il a dû buter Beaumont, et pourtant comme Fly & Buralo je trouve aussi certains de ses dialogues ampoulés et chiants (Carradine qui disserte sur le poisson en faisant des clubs sandwich effectivement au secours). Je comprends que Jackie Brown fasse chier avec son absence totale de spectaculaire et son rythme cool, mais je sais pas, je peux le mater 10 fois, je m'en lasse pas. Pour moi il est parfait, Grier est divine, à la fois icône blax assumée (le plan où elle sort de taule et où Forster la regarde), femme forte, etc. Et la double utilisation de la chanson Accross 110th Street en début et en fin de film me colle simplement une baffe à chaque fois avec les paroles. Bref, pour moi c'est SON film quoi, pourtant j'adore Reservoir Dogs qui est sûrement plus intéressant au niveau du style et mieux construit du point de vue de l'intrigue, ou même Pulp. Mais puisque le débat se fait sur le mode Tarantino ce copieur/plagieur je trouve justement que dans Jackie Brown il fait totalement sien les codes de la blax et du film de genre, sans esbrouffe, sans "emprunter des plans", sans prétention ou sans m'a-tu-vutisme, ce qui m'a passablement gonflé dans Kill Bill vol 1 que je n'aime pas du tout. Là, c'est un film de genre, mais c'est son film.

 

Voilà

Ben, y a surement plein de bonne raison d'aimer ce film, que je ne deteste pas d'ailleurs, mais bon, son absence de spectaculaire comem tu dis fais qu'on se concentre plus sur les dialogue et les situations, ey là, franchement, j'ai plutôt été déçu. Après Reservoir Dog et ses speech sur la pop musique et cie, Pulp Fiction et ses Hamburgeurs, là, ça commençait un peu à me saouler. Je me souviens d'un Dialogue entre Robert Foster et Pam Grier sur la viellesse que j'avais trouvé totalement ridicule. Bon, il y avait peu être des sous entendus savoureux par rapport au parcours de ses 2 acteurs dans celui ci, n'empèche que sur le coup, je me suis quand dit "Bon, si on passait à autre chose !"

De plus,Je n'ai pas trouvé des acteurs comme Samuel Jackson ou Michael Kiton franchement bon dans ce film, alors que généralement ils s'en sortent très bien. Idem pour De Niro, même si son role de beauf looser est plutôt sympa.

Surtout, j'ai trouvé le film assez mal rythmé, avec de grosses baisses de tension par moment.

 

Après, il reste des moments assez fun, voir touchant, comme la première rencontre entre Robert Foster et Pam Grier, ou lorsque De Niro bue Bridget Fonda sur le parking, mais à part ça, bof bof.

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Et pendant trois minutes l'homme au chapeau cherche un bon endroit ou placer une arme et fait à trois reprise le geste de braquer comme dans Jackie Brown

 

Ah oui exact ! Non non, bien vu !

 

Sinon Dragonball que te dire je trouve Keaton excellent, Jackson absolument gigantesque dans ce rôle (son meilleur pour moi et de très très loin), les dialogues, c'est du pur caviar, quant au speech sur la vieillesse à part si tu fais référence au moment où Pam dit qu'elle a un plus gros cul en veillissant je ne vois pas à quoi tu fais référence

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Bah, le problème, c'est peut être que Keaton joue un mec normal dans ce film !

 

Ses performances qui m'ont le plus bluffées étaient dans "Multiplicity" et " Desperate measures", surtotu su'il me semble que j'ai vu ces 2 films dans un laps de temps assez court.

 

Pour le speech de Pam Grier, je m'en souviens plus très bien, mais il me semble que ça durait quand même quelques bonnes minutes !

 

 

Merde quoi !

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Keaton est excellent en flic bourrin et pas finaud qui essaie de négocier et de se faire passer pour plus intelligent que Pam alors qu'elle le roule dans la farine

 

Il reprend son rôle en encore plus demeuré dans l'excellentissime Out of sight d'ailleurs

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Alors que le pari des potes Tarantino et Rodriguez semble perdu puisque le double feature envisagé se termine en deux séances distinctes (voire deux sorties distinctes chez nous), une seconde session est néanmoins envisagée si Dimension finit par rentrer dans ses frais. Quentin Tarantino et son frère de pelloche s'éloigneront donc vers de nouveaux horizons pour laisser la place à ceux qui ont fait leurs armes dans la "franchise" à travers les fameuses fausses bandes-annonces, parfois plus drôles que les films eux-mêmes. Si, comme nous vous l'annoncions il y a quelques semaines, They Call Him Machete passera directement par la case vidéo, deux autres délirants trailers auront peut-être la chance de jouer les prolongations.

 

L'info émane du barbouilleur Eli Roth lui-même qui a déjà plus ou moins négocié l'affaire avec le distributeur. Il s'agirait donc de confectionner un long métrage à partir de son Thanksgiving, sorte de slasher made in 80's aux frontières du sado maso, mais également en faire de même avec Don't d'Edgard Wright (Shaun of the Dead) qui résonnait comme un guide de survie dans tout film d'horreur qui se respecte. Les deux réalisateurs en ont parlé, et attendent un feu vert. Le jeune cinéaste à également pris soin de préciser qu'il pousserait volontiers plus loin le concept en faisant non seulement un film qui a l'aspect des vieux films d'horreur, mais surtout en le tournant dans les mêmes conditions d'époque. A savoir avec des gens de 30 ans pour interpréter des ados et un tournage fait un peu à l'arrache en reposant essentiellement sur les meurtres. Plus d'infos prochainement…

 

Source: Dvdrama

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