Aller au contenu

Rue barbare - Gilles Behat - 1984


Basculo Cui Cui

Messages recommandés

j'ai aussi

 

 

je te conseil de pateinter, il est prévu cette année en DVD zone 2..

 

un film étrange. Plongé dans un univers "futuriste" trouble et glauque. Donnadieu est immense dans la peau d'un caïd complètement taré..

 

A noter une bagarre finale hyper violente et d'une rare brutalité !

 

depuis, Gilles Beaht oscile entre téléfilm et musique folk

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un putain de polard à la française, bien glauque et bien violent.

 

Le film st vraiment très sombre et on peut voir que déjà, en 1984), la banlieue, c'était pas spécialement drole !

 

Le film sur termine sur un combat anthologique d'une rare violence.

 

J'ai la VHS, mais il me semble que le film sort bientôt en DVD. A Toi de voir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

VHS achetée à la première occasion pour retrouver ce tout bon souvenir ciné violent et impressionnant

 

Ce qu'en dit Jean Tulard, Guide des films:

 

Une oeuvre sombre, violente, desespérée, dominée par les inquiétantes silhouettes que composent les acteurs comme Donadieu ou Sentier. Ici le baroque l'emporte sur le populisme, et le réalisme s'efface devant l'influence de Mad Max.[/i]

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ah ouais, c'est clair qu'ado, à la sortie, ça le faisait !

 

Des heures à tenter de fabriquer à la maison le poing américain de Giraudeau...

 

(après, on avait tenté la même chose avec le gant de Freddy. Foirage total dans les deux cas, me dois-je d'avouer )

 

p.s. : à noter, pour la petite histoire, qu'il paraît que Van Damme fait une subliminale apparition dans le film (parmi la foule des lascars de la bande à Donnadieu, crois-je bien. Qq'un pour confirmer ?)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Revu hier juste pour voir ce que donne le téléscopage souvenir/visionnement.

Tout passe encore très bien. Baroque: oui et c'est là à coup sûr le point fort du film, acteurs toujours justes malgré un style difficile à maîtriser (répliques mordantes, regard qui tuent, qui est le plus méchant des méchants,...)

Vision dure et sensible de la banlieue qui la rend étrange et attirante malgré tout.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 years later...

Découvert aujourd'hui grâce à Cdiscount.

Une belle photo qui donne un aspect irréel à l'ensemble.Une musique bien rock signée Bernard Lavilliers. Une belle galerie de perso. Jean Pierre Kalfon plus vrai que nature en voyou rocker minable qui vole l'argent de sa famille et chante comme les forbans dans un garage avec son synthé. La bagarre finale si elle fait assez sage aujourd'hui reste très bien filmée et montée.

 

En bonus, 2 interviews très intéressantes: la première de Gilles Behat qui raconte comment le film a eu du mal à se monter à cause de son appartenance aux films de genre.

Donnadieu raconte comment il a essayé de camper un personnages intimidant alors que les barbaes de sa bandes font 1 tête de plus que lui.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Revu hier soir moi aussi grâce à la super fourmi.

 

A part la musique de Lavilliers que je trouve toujours aussi horrible, le film est toujours aussi sympa avec son ambiance western urbain banlieusard eighties et son combat final surpuissant malgrès le poids des années.

 

Et Giraudeau claque trop du beignet

 

Dans l'itv en bonus, Béhat dit qu'à l'époque le film avait fait 4,5 M d'entrée

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les boni sont très bons:

une longue interview de Gilles Behat puis de Bernard Pierre Donnadieu.

 

En prime, 2 teaseurs de l'époque dont un à la scarface avec une série de zooms sur des photos. Dans le 2ème on voit Giraudeau s'énerver et balancer un coup de latte dans la face d'un voyou suivit du panneau "Bernard Giraudeau éclate dans rue barbare!"

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon... je viens tempérer un peu l'enthousiasme sur ce grand classique du cinéma HLM qui se vautre dans une vision dans l'air du temps des caïds, anges de la mort et autres conneries virilo à la manque. Donnadieu fait peur, oui, mais il est venu au monde comme ça.

Giraudeau... heu... non rien.

Punaise et la musique de Bernard Lavilliers... Gilles Béhat choisira Cerrone pour son DANCING MACHINE. (dont il a co-signé le scénar avec Didier Decoin au passage ) Y a une certaine continuité dans l'approche stylistique en tous cas.

Un film mode, y en a que j'aime. Celui là, non sans façon.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 months later...

Vu à l'époque au ciné, puis quelques temps plus tard à la télé...

J'avais bien aimé, me souviens d'un starfix qui en causait.

Aujourd'hui, je n'ose pas le revoir, de peur d'être déçu et de reprendre une claque du genre "ça a bien veilli, toi aussi !"

Comme disait Dard, les vieux cons sont de plus en plus jeunes...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...