Basculo Cui Cui Posté(e) le 25 février 2006 Share Posté(e) le 25 février 2006 un film que j'ai mais que j'ai jamais vu Une jeune fille est enlevée par des inconnus qui la préparent pour une sorte de rituel d'initiation devant public masqué. La Porte Verte est la seule cloison qui sépare la jeune fille des épreuves pornographiques allucinatoires qui l'attendent... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jerry Lewis Posté(e) le 25 février 2006 Share Posté(e) le 25 février 2006 Tu ne l'as jamais vu ???? Un porno ultime et inévitable pourtant.... Souvenirs (très lointains) d'un des tous premiers X que j'ai vu..... avec une scène de partouze finale assez étonnante, où la nana se partage avec 7 ou 8 mecs.... C'est très acrobatique..... A voir nécessairement, à l'instar de l'autre chef d'oeuvre du genre 'Gorge profonde".... Et Marylin...... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dragonball Posté(e) le 25 février 2006 Share Posté(e) le 25 février 2006 Je ne l'ai pas vu, mais si c'est aussi passionnat que "Gorge profonde", franchement, c'est pas préssé ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tromatoxic Posté(e) le 25 février 2006 Share Posté(e) le 25 février 2006 Je ne l'ai pas vu, mais si c'est aussi passionnat que "Gorge profonde", franchement, c'est pas préssé ! Derrière la porte verte est 10 fois mieux que gorge profonde!Là où "gorge profonde" est une comédie porno gentillette, "Derrière la porte verte" est beau porno, graphique, irréel et assez hypnotique.Et puis Marylin Chambers est dix fois plus bandante que Linda Lovelace Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jeremie Posté(e) le 27 juin 2008 Share Posté(e) le 27 juin 2008 Ambiance étouffante et iréel, ou les corps se pressent et s'accumulent, toujours plus, de minute en minute. A la fois laid, totalement fascinant et émoustillant (les préliminaires exercées sur Marilyn ), et un certain talent plastique : l'idée des trapézistes (l'héroïne chevauche un homme, tout en pratiquant une fellation et en masturbant deux mecs suspendus en l'air ) et surtout les éjac' aux ralentis, répétées, tripatouillés, colorées, dans un ballet surréaliste arty et légèrement désuet. Les musiques sont bien, Marilyn aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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