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Boy Eats Girl de Stephen Bradley (2005)


Stéphane

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When love-struck teenager Nathan (David Leon) finds himself incapable of approaching the object of his affection, Jessica (Samantha Mumba), his two best friends conspire to set up a date with her on his behalf. But following a series of mishaps and misunderstandings, the evening ends with Nathan alone, drowning his sorrows and becoming the unfortunate victim of a tragic, fatal accident.

 

Une comédie romantique irlandaise avec des zombies ... non on est loin de Shaun of the Dead. Ca dure 1h17 donc on ne s'ennuie pas trop. Ca ne vole pas très haut, c'est du déjà vu et parfois c'est complétement con mais j'ai passé un bon moment grace à quelques très bonnes scènes gores bien foutues et une scène avec un tracteur qui charcle pas mal de zombies.

Samantha Mumba est moche comme un pou et on se demande ce qu'elle fout dans cette production.

En tout cas une bonne petite merde si on a rien d'autre à voir et qui s'oublie rapidement

 

http://www.boyeatsgirl.com/

http://www.boyeatsgirl.com/Video.html?name=clips/trailer.mov&

 

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Ma riviou écrite après la vision du machin au NIFFF :

(ça spoile un peu... au cas où)

 

BOY EATS GIRL - Stephen Bradley, 2005, Irlande

 

Un ado un peu rebelle aime la fille d'un riche homme d'affaire qui ne l'apprécie guère. L'ado donne rendez-vous à la fille dans le but de lui déclarer sa flamme, la fille ne peut se rendre au rendez-vous car son père le lui interdit, ils ne peuvent pas s'appeler car il n'a pas de couverture réseau, elle décide donc de faire le mur, tandis que lui, désespéré, rentre chez lui l'air tout penaud. Suite à un malheureux concourt de circonstance, il finit par croire que cette fille si pure n'est en réalité qu'une sale traînée qui suce les bites des pires queutards du lycée. Tout malheureux, il s'enferme dans sa chambre, se vide une bouteille de gnôle, et s'amuse avec une corde qu'il met autour de son cou... manque de pot, sans le vouloir, notre ado finira raide mort au bout de celle-ci... Pas flippée pour autant, sa mère embarque la dépouille du fiston et le ressuscite grâce à une recette vaudou dénichée dans un vieux grimoire. Lorsqu'il se réveille, tout semble aller pour le mieux... sauf que notre jeune héros a faim et que rien excepté la chaire humaine ne saurait désormais le satisfaire. Ajoutez à cela le fait que ses forces se voient décuplées et que chacune de ses morsures transforme ses victimes en zombies, et vous aurez le prototype même du zombie moderne, collant des gnons dans la gueule, courant des sprints d'enfer et balançant un ou deux one-liners plus ou moins bienvenus.

 

L'Irlande... un beau pays plein de prés verts et de moutons qui paîtrent paisiblement, un pays dans lequel les litres de Guinness s'écoulent comme autant de cours d'eau au ruissellement idyllique... Un pays qui ne connaissait pas grand chose au film de zombie, en somme. Et là, en deux ans, l'Irlande nous livre non pas un mais deux films de zombies ! DEAD MEAT en 2004, et ce BOY EATS GIRL en 2005. N'hésitons pas à saluer cette initiative bienvenue, et réjouissons-nous de voir émerger une nouvelle scène du cinéma horrifique que nous aimons ! Cependant, BOY EATS GIRL n'est pas non plus le must du genre. Son côté teen comédie pleine de clichés sur les ados en quête de filles rappelle inévitablement la saga AMERICAN PIE. Si l'humour pouêt-pouêt-pipi-prout n'est pas aussi développé, certains passages s'avèrent tout de même similaires, surtout lors des apparitions des seconds rôles rigolards et puceaux. Les zombies, eux, sont bien présents et courent dans tous les sens sans jamais effrayer qui que ce soit - mais là n'est pas le propos du réalisateur de toute façon, qui semble d'ailleurs avoir débauché ses potes d'université pour faire de la figuration à l'œil. Les quelques attaques dispensent des effets gores de rigueur jusqu'au final quasi-orgiaque qui lorgne du côté du BRAINDEAD de Peter Jackson avec un style un peu plus brouillon : la horde de zombies se fait décimer à coup de moissonneuse batteuse, provoquant une pluie de membres spongieux sur des riffs de néo-métal. Un final fort en hémoglobine avant un happy-end imbécile qui rappelle rapidement l'aspect inoffensif de ce film honnête mais bien trop lisse et qui commet l'erreur de cibler un public djeunes à l'esprit peu critique. Kerozene

 

 

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Sans prétention, le film permet de passer un bon moment. Le final vaut tout de même le détour. Je dois confesser m'être bien amusé.

 

PS: Kérozène devra se rendre au Festival du film agricole pour y suivre un cours sur les machines agricoles, en effet, il me semble qu'il ne s'agit pas d'une moissoneuse batteuse mais d'une débroussailleuse sur bras fixée à un bête tracteur. Beaucoup plus maniable d'ailleurs pour le hachage de zombie.

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