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Le gang Anderson - Sidney Lumet - 1971


Basculo Cui Cui

Messages recommandés

un exellent film que je vais me remater avec plaisir ce soir (passionnant non ? )

 

Le gang Anderson

 

Film de Sidney Lumet

 

À peine sorti de prison, John “Duke” Anderson prépare un casse pour assurer ses vieux jours.

 

(The Anderson tapes)

Film de Sidney Lumet (États-Unis, 1970, 1h35mn, VF)

Scénario : Frank R. Pierson, d’après un roman de Lawrence Sanders

Avec : Sean Connery (John “Duke” Anderson), Martin Balsam

(Tommy Haskins), Dyan Cannon (Ingrid Everleigh),

Alan King (Pat Angelo), Ralph Meeker (le capitaine Delaney),

Christopher Walken (The Kid), Val Avery (Socks Parelli),

Margaret Hamilton (Miss Kaler), Dick Williams (Spencer)

Image : Arthur J. Ornitz

Montage : Joanne Burke

Musique : Quincy Jones

Production : Columbia

 

* Synopsis

 

 

Tension crescendo et magistrale interprétation de Sean Connery, dans un film de genre qui dénonce au passage les dérives de la surveillance électronique des citoyens. Ce que Duke Anderson aime par-dessus tout, dans la vie, c’est forcer les coffres et les serrures.

 

Il vient de passer dix ans en prison pour ça, mais n’a de cesse de constituer à nouveau une équipe de “spécialistes” – soit quelques gentlemen cambrioleurs triés sur le volet qui l’assisteront dans le nouveau coup qu’il prépare. But de l’expédition : une résidence de luxe à New York qui abrite plusieurs appartements appartenant à des milliardaires.

 

Ingrid, l’ancienne amie d’Anderson, y possède aussi un pied-à-terre. Le plan d’attaque est mis au point avec une précision extrême. Mais la police a eu vent de l’affaire et peut, grâce au système de surveillance interne de la résidence, observer tous les faits et gestes de la bande. Comment échapper au piège ?

 

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  • 2 weeks later...
  • 1 year later...

Les films des années 70 c'est un peu comme la chanson "les histoires d'amour finissent mal en général".

 

Petit à petit on sent que tout cela va mal finir pour notre petite bande. Un film hautement politique (bande audio+ écoute illégale = je vous le donne dans le mille).

 

Voilà pas le meilleur Lumet que j'ai pu voir mais très sympa à regarder. La musique de Quincy Jones est très expérimentale et les acteurs sont comme toujours (?) très bien diriger.

 

Et comme toujours les femmes ont des rôles "mineurs" dans les films de Lumet (du moins ce que j'ai vu) et sont souvent soit des éléments de déception, soit des éléments moteurs mais n'ayant aucune autre envergure.

 

Voilà un film pessimiste (la dernière phrase de Duke [sean Connery] est terrible : "je frappe à des portes condamnées".

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