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Caligula - Tinto Brass - 1979


JEMO

Messages recommandés

Je l'ai acheté ya pas longtemps ça faisait longtemps que je le cherchais (version intégrale bien sur). je l'ai pas encore vu dites-moi si ce film est comme je l'espere superbe et immonde ou juste un vieux truc boursouflé

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je dirais comme eric pour une fois ,

quelques coté un peu cheap parfois mais l'ensemble est trés bon, pas aussi trash d'ailleurs que ce que peux laisser croire la description d'Eric, mais bon ya du sale dedans.

Mac Dowell est énorme, largement du niveau de sa prestation dans Orange Mecanique.

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Je n'ai vu que la version, hum, extented, donc à priori celel pas spécialement voulu par tinto Brass, mais je m'en fout par ce qu'il est assurément meilleur que l'autre !

 

Ce film est un véritable ovni, pas spécialement a cause de ses exces (bien corsé tout de même !), mais surtout au vu son casting de haut niveau (Malcolm McDowell, Helen Mirren, Peter O'Toole) casting embarqué (de son plein gré ? ) dans cette aventure baroque et souvent bien déviante !

 

J'adore le début du film ou les couleurs explosent de toute parts et ou l'ambiance étrange des premières scènes met tout de suite dans l'ambiance !

 

Sinon, notons que Galigula nous informe sur les vertues bienfaitrices des bains de sperme, ces si inoffenssif bains de spermes qui déclenchent pourtant parfois tant de polémiques !

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Grandeur et opulance, soit, mais on est trés loin des reconstitutions hollywodiennes par exemple, c'est ce que je voulais dire pas Cheap

Cetaines scénes se contentent de voilages comme décors...mais on s'en fout.

Pour le coté trash, j'ai bien vu la version uncut et je ne mange JAMAIS de choucroute mais je maintiens, je m'attendais a bien plus mechant que ce que j'ai vu. Ca reste bien evidemment assez trash, on est trés loin des reconstitutions hollywodiennes par exemple (bis).

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bof bof... assez deçu par ce Caligula. pas aussi trash qu'on le dit, avec des inserts trop softs ou complètement nazes (ceux avec les filles de penthouse). bon, je lui reconnais quand meme des qualités : une photo sublime, un casting de folie, pas mal de scènes mémorables comme le dépucelage des jeunes mariés ! mais objectivement, il reste à mes yeux un sympathique nanar à gros budget...

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  • 3 weeks later...

trouvé hier le collector version longue pour 10 euros (youpi) et donc rematé hier soir dans la foulée.

Ce film est grand et je retire ce que j'ai pu dire sur la "Cheaperie" de certaines scènes.

Voila , il fallait que je le dise !!!!

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Bon mais il y a les deux versions du Brass qui sont sorties. Mais laquelle je choisis ? Avec ou sans les inserts ?

 

Le problème de la version expurgée, c'est qu'elle gicle (:D) les inserts hard de Guccione, mais aussi les scènes jugées trop violentes ou trop érotiques de Tinto Brass, et qui restent vous vous en doutez assez corsées...

 

Il faut donc acheter la version longue.

 

Les inserts hard se remarquent très facilement puisqu'ils sont en fait constitués de deux séquences montées alternativement avec la bobine tournées par Tinto, ce qui se voit dans la différence de traitement des matériaux d'origines de manière flagrante sur le DVD de Metropolitan:

 

- une scène entre deux jeunes filles peu farouches (de Guccione) montée en parrallèle avec celle où ce bon empereur se tape sa femme et sa soeur (de Brass)

- la scène de l'orgie de la galère (avec les femmes des sénateurs traitées en prostituées) qui comporte, là aussi inclus dans la scène originelle tournée par Brass, de multiples plans de pénétrations variées, de limages, et une fellation qui va au bout du bout.

 

Au final, sur cette version longue il est possible de retrouver tel un archéologue la version initiale tournée par Tinto Brass.

 

Dommage que le film n'intègre pas la possibilité d'écarter les inserts hard, tout en gardant la version osée. Le seamless benching ne permet peut être pas de virer les brefs plans de coupe, qui sont très présents dans la très (trop ?) longue scène de partouze sur la galère?

 

Sinon le film est un véritable chef d'oeuvre, une production riche, baroque, inimaginable de nos jours. Je répète donc, si vous avez la possibilité, voyez le dans la version la plus complète possible, même si elle est un peu dénaturée.

 

Un dossier très instructif est dispo sur DD.

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LE chef d'oeuvre du maître avec Salon Kitty!

Démesure, décadence, sexe sans tabou... à l'époque j'avais usé la K7 René Château...

 

Ce qui est amusant dans les deux versions, c'et de comparer les actrices choisies par Brass (italiennes, avec des bons culs et du poil sous les bras) et celles imposées par Guccione (américaines, lisses et aussi insipides que les filles de play boy).

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L'opulence, le côté branque de l'entreprise, sa fraicheur (car il n'y a pas que des horreurs dans le film, il y a aussi tout l'art de Brass qui ne peut pas s'empêcher d'exalter le cul quand bien même lorsqu'il s'agit d'une relation incestueuse et ca fonctionne très bien ainsi), sa singularité esthétique, son art du decorum, son côté outrancier, son pouvoir de fascination dans ses démélés internes qui parlent sur l'écran de manière très expressive!

Une certaine frénésie communicative s'échappe dans les sommets orgiaques du film, parmi les plus belles scènes d'orgie que j'ai vu sur un écran. Même Peter O'Toole qui a l'air complètement défoncé tout le long semble servir le film à son insu. Très belle fresque. Grandiose. Les redites bisseuses m'avaient un peu éloigné de la dimension de l'original.

M'enfin si t'as coeur, il y a le Z2 de "Caligula et Messaline" chez le René.

 

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  • 1 year later...
  • 5 years later...

Bon c'est quand même loin du chef d'oeuvre que j'avais en tête quand j'étais ado

J'avais connu la version longue en vhs, puis le très beau dvd Metropolitan, maintenant le blu-ray (plus que correct d'ailleurs).

 

J'y ai vu étrangement surtout les maladresses de ce patchwork tentant tant bien que mal de rassembler la folie égoïste de plusieurs auteurs : le côté bis avec un gros budget est toujours excitant, mais ça reste hélas filmé comme un bis, c'est à dire pas très bien (zoom, dezoom...)

Les scènes sont un peu collées entre elles à la "vas-y jte pousse", sans compter les nombreux inserts (pas si nombreux que ça ceci dit hormis la scène de la galère) : il y a un entretien de Brass dans les bonus où il revient avec beaucoup de modestie et de sérénité sur le projet, mais où il avoue tout de même que le résultat final reste une vision totalement inachevée de son travail. Et ça peut se comprendre...

Le film garde son charme dans son côté ovni (putain la machine à couper des têtes ), mais sa gueule de bordel improbable lui joue pas mal de tours. Y'a un côté théâtre décadent parfois à la lisière du cheap (les scènes sur le balcon avec le mur en carton censé représenter l'extérieur ) et en même temps toujours fascinant. À mon sens, Satyricon (auquel Caligula doit beaucoup) maîtrise beaucoup mieux tout cela.

Peu de chance qu'on puisse revoir Malcom McDowell fister un mec avec du saindoux quand même

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  • 2 years later...

PvJF7DYM6UM

à la 2ème moitié d el'interview il balance plusieurs anecdotes marrantes sur le tournage de Caligula notament la scène du cheval au lit et la visite surprise de son père sur le plateau pour la scène où caligula pisse au milieu d 'un dialogue

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