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Le Soldat - James Glickenhaus - 1982


tomtom

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Petit polar d'action bien sympatoche, qui défourailles pas mal sans être un modèle du genre. Réalisé par Glickenhaus (dont le DROIT DE TUER est superbe, ne croyez pas les mauvaises langues et les frustrés), LE SOLDAT met en scène Ken Wahl (mouhahaha) dans un rôle monolithique de James Bond d'élite particulièrement à l'aise pour dégainer le flingues....

 

typique des polars tendance hard-boiled du début des 80's et dont on se pamait dans les video club..

 

 

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Découvert en prime time sur la défunte 5.

 

Un film bizarre où Ken "flic dans la mafia" Wahl est aussi expressif qu'une huitre, même si son film phare reste "La prise de Beverly Hills". Je me demande encore comment j'ai pu le voir en salles, celui la

 

Pour "Le soldat", à part un Kinski quasi inexistant, il reste le score de Tangerine Dream.

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  • 7 months later...

Le premier ( ?) film d’action musical.

 

Pendant 1h25, on a droit à de la musique non stop sur les agissements du Soldat.

Le soldat, il est beau, grand et costaud dans ses pulls lycra ou 100% coton . Il fait du ski comme un Dieu, fait des 360° en mitraillant ces sales cocos qui en veulent à la terre entière. Il est aussi fort que Prost ou Senna dans une Porsche. Le soldat, il rigole pas souvent et fronce toujours les sourcils quand il est pas content. Il a un copain noir qui se prend pour un ninja en criant comme Bruce Lee . Il a d’autre copain mais on ne les voit pas vraiment. Le Soldat il est obligé de faire l’amour au chef du Mossad car peut-être, demain, le monde sera plus là. Le soldat il a pas de patron et emmerde l’autorité, lui ce qui le branche c’est défendre son pays contre tous les méchants. Il se balade sans bagage mais avec une mallette comme le président, il peut décider de faire sauter la planète si ça lui chante, mais Le Soldat il ne le fera pas car c’est un gentil américain .

 

Bon j’arrête car Le soldat mérites un peu mieux que cette review style enfant (quoi vous aimez ? ). Comme je l’ai dit plus haut, la première chose que l’on remarque c’est l’omniprésence de la musique durant tout le film, ce n’est pas saoulant mais bon quelque dialogues de plus auraient pas fait de mal. Car l’histoire en elle-même est pas mal du tout. Le monde est en proie aux nombreux conflits militaro économique. L’instabilité entre l’URSS et les USA fermente un conflit nucléaire mondial. Les Russes pose un ultimatum, si les Israéliens ne se retire pas d’une zone occupé, ils font sauté à coup de plutonium un champs de pétrole, et c’est 50% du stock mondiale qui est indisponible pendant 300 ans.

 

On passe un excellent moment devant cette honnête série B qui nous entraîne au quatre coins du globe, Israël, Autriche (où l’on retrouve Klaus Kinski en vacance), Berlin, Moscou, Washington, Philadelphie, Paris ou Londres. L’action est rudement menée et Glickenhaus n’est pas radin en violence.

Deux visions s’offrent au spectateur, soit le réalisateur, relatant les faits et geste de cette unité d’élite secrète de la CIA, condamne (ce qui semble pas être le cas), soit il offre un merveilleux témoignage de ce que l’on (les Français ou moi tout seul) rejette à l’égard des américains. C’est-à-dire leur ingérence perpétuelle dans le monde et leurs façons de préserver leur intérêt même si pour cela il faut bombarder Israël qui si il faut le rappeler son des alliés des USA. C’est donc cette dernière version qui est la plus plausible et le plan final confirme ce point de vue. Un plan sur New-York, le World Trade Center et se termine par la Statue de la liberté.

 

Le Soldat a réussi (comme à chaque fois ?) à sauvegarder avec ses 4 copains la liberté et à assurer la démocratie aux USA (et dans le monde ?). Le Soldat peut donc être vu comme un formidable film de propagande sur les agissements des USA dans le monde.

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  • 8 years later...
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