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The Big Slaughter Club - Hitoshi Ishikawa (2003)


Cyril

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Syno:

Un salaryman (Kenichi Endo, un habitué des films de Takashi Miike mais également aperçu dans Tomie Replay, Distance ou Okite) loue les services de Hiroe, une collégienne. Après une séance de photos à laquelle il se prête volontiers, il va prendre une douche. Cependant, Hiroe fouille son sac à la recherche d’argent et tombe sur un étrange rouleau. Mais le salaryman surgit et dans la rixe, il s’empale l’arrière du crane sur un montant métallique. Hiroe décide d’appeler quatre camarades à la rescousse et ensemble elles découpent et enterrent le corps. Mais peu après, des affichettes représentant Hiroe lors de la séance de photo font leur apparition à Shibuya. Soudain, le téléphone d’une cabine téléphonique sonne : il semble que le salaryman soit bel et bien vivant et pas très content.

 

 

Plus que le scénario, ce qui surprend chez The Big Slaughter Club, c’est d’une part son côté très documentaire et d’autre part son aspect parfois à la limite de l’expérimental. Dans son thème, le film va évidemment piocher dans Bounce KoGals ou Love & Pop mais avec un ton plus débridé qui le rapproche plus des films de Daisuke Yamanouchi ou encore de Takashi Miike. Le film retranscrit avec une certaine forme de réalisme et sans dramatisation inutile l’univers de ces collégiennes qui ont recours à la prostitution, avec un ton plus proche de ces reportages complaisants de la télévision japonaise que du documentaire posé et subtil.

 

Si le début ne fait pas spécialement preuve d’originalité, le film glisse assez vite dans l’étrange, voire carrément le fantastique mêlé à l’expérimental, le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour. Le manque évident de moyens qui se traduit par des effets spéciaux assez mauvais, est rattrapé par une manière de filmer peu habituelle pour le genre et des passages plus extrêmes (dont un digne de Yamanouchi Daisuke). Images accélérées, stroboscopiques, effets de répétition visuelle ou sonore, montages simples mais percutants ou saturation des couleurs, donnent des passages qui n’ont rien à envier aux délires visuels de la défunte émission L’œil du Cyclone.

 

La suite sur Sancho --> http://www.sanchodoesasia.com/article.php3?id_article=414

 

Sinon une review négative issue du club des monstres

 

Cette chose exécrable qui ne mérite même pas d'être appelé un film est sortie au Japon pendant une semaine et a connu ensuite un énorme succès en cassettes vidéos. Et c'est probablement dû à la présence de Ken'ichi Endo (le père de famille de VISITOR Q). Parce que le film est d'une incroyable médiocrité ! Ne vous fiez surtout pas aux images sanglantes du programme, il s'agit d'un appât. Tourné en vidéo avec un budget zéro. The Big Slaughter Club déçoit énormement. Voici probablement l'un des films le plus nul que j'ai eu la chance de voir de ma vie ! En tout cas, indigne d'être présenté à l'intérieur d'un festival. Erreurs de continuités, Problèmes de rythmes, photographié par un aveugle, effets spéciaux primaires, nommés les ! Tous les défauts que peuvent avoir un film sont ici. On se demande qu'est-ce que Ken'ichi Endo fait dans cette galère. Peut être est-ce dû au fait que Hitoshi Ishikawa était le scénariste de DEAD OR ALIVE 3 ? Et bien qu'il reste loin d'une caméra et qu'il retourne dans ses scénarios pour Takashi Miike ou qu'il continue à tourner des pornos ! Le film plan par plan copie avec maladresse THE FOG, EVIL DEAD 2 (Ken'ichi Endo joue avec sa main possédée, se casse des assiettes sur la tête. coupe sa main qui s'en va faire un tour dans l'espace), SUSPIRIA, RING, I KNOW WHAT YOUR DID LAST SUMMER, etc. Pour réussir à passer à travers les pénibles 71 minutes on nommait toutes les références !

 

Un dvd jap sans sta existe, je pense qu'un boot ou un dvd officiel a du sortir avec mais aucune trace sur le net.

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je pense qu'un boot a du sortir avec mais aucune trace sur le net.

 

J'ai ça mais de la suite à savoir "big slaugther club return".

 

C'est...comment dire

 

C'est cheap, foutraque, un poilou chiant au milieu, mais Dieu que le final est nawak avec ses incrusts perraves, ses acteurs en roue libres...

 

T'en veux mon Théo?

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