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Ocean's Thirteen - Steven Soderbergh (2007)


Superwonderscope

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A chacun sa croix

 

Pourtant j'avais bien aimé son SEXE MENSONGES ET VIDEO...

Pis après... prout.

La faute à Julia Robert, sûrement.

 

L'imparfait est à souligner pour SEXE..., revu y a pas si six mois, ça m'a bien laissé sur ma faim. Vu bien jeune et émoustillé par cette autre approche des femmes. Même effet pour Kerozene?

 

Hors d'atteinte: oui, très bon souvenirs. Traffic: mou mou et pas de respect pour le spectateur pris pour un lobomotisé.

 

Je reprends à Ocean 50' pour la rétrospective Soderbergh à la Cinémathèque.

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Traffic: mou mou et pas de respect pour le spectateur pris pour un lobomotisé.

Tu veux dire moins que dans Transformers ?

 

Pas vu Transformers. J'avais trouvé le changement de ton de l'image (image jaune= méchant, sans "filtre"= pas méchant) très noeud-noeud et fait pour un public qu'il faut téléguider jusqu'à mettre des couleurs indicatives. Un souvenir comme ça, bien que très anecdotique, qui ne m'avait pas laissé indifférent .

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Oui, voilà. Codes couleur que Soderbergh avait déjà utilisés dans A fleur de peau pour différencier présent/futur/flashbacks. Et y'a des 'méchant' et des 'gentils' dans toutes les différentes histoires de Traffic, je vois pas comment on peut identifier une couleur à une "morale"...

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Ah oui j'ai oublié de dire ce que je pensais de ce troisième (et dernier ?) épisode de nos amis les stars en vacance.

 

Oui le premier était bien, le second était une insulte, un foutage de gueule total qui m'avait donné envie de casser la trogne de quelqu'un...

 

Finalement ce troisième clôt la première trilogie cinématographique "Haute Couture" de Soderbergh de manière plutôt classe même si le film me semble se la jouer "trop facile"...

 

...à mon goût tout est trop parfait (faut dire tellement habitué à voir des séries Z ) la musique, les acteurs, les costumes Armani, rien ne

dépasse, aucun fils de coutures, les finitions sont faits mains alors qu'on est dans la production en série...c'est classe mais je ne saurai expliquer ce sentiment d'être impuissant face à un film ni bon, ni mauvais mais comme une formule mathématique dans laquelle tous les éléments sont reunis pour fonctionner dans le monde entier

 

...le pire c'est que j'ai pris mon pied, j'avais la banane en sortant de la salle. Limite je voulais le revoir.

 

Mais maintenant je serais incapable de me rappeler d'une scène en entier, d'un dialogue.

 

Un produit estival, de saison mais qui ne se démodera pas aussi facilement.

Je suis persuadé qu'un jour (lorsque les Pitt, Clooney, Damon seront mort ou en maison de retraite) je reverrai les films avec le même plaisir qu'on voit des comédies de Blake Edwards, ou des classiques naphtalinés avec des Gary Cooper, John Wayne... oui je suis persuadé qu'ils rentreront dans la légende mais d'ici là j'ai encore envie de cracher mon venin.

 

Un film futile mais qui procure du plaisir donc après si on est venu voir un film pour passer un moment agréable, tripoter Paulette, c’est parfait.

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c'est pas trop le sujet (et en plus ca fait longtemps que j'ai vu traffic) mais il semble que les filtres de couleurs n'etaient pas pour indiquer gentil/mechant mais pour situer les 3 histoires mexique/policiers/senateur

 

Très sûrement, sans chipoter sur les significations, j'avais pas du tout aimé ce procédé que j'avais assimilé (et que j'assimile) à un téléguidage vraiment noeud-noeud. Je m'estime, et tous les spectateurs, à même de distinguer un flash-back ou un changement de lieu sans que l'on me l'indique par une couleur. Une petite clochette pour tourner la page avec la fée aussi?

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Oui, voilà. Codes couleur que Soderbergh avait déjà utilisés dans A fleur de peau pour différencier présent/futur/flashbacks. Et y'a des 'méchant' et des 'gentils' dans toutes les différentes histoires de Traffic, je vois pas comment on peut identifier une couleur à une "morale"...

 

 

Pas vu A fleur de peau, mais réponse identique à Faes Kartes

 

Très sûrement, sans chipoter sur les significations, j'avais pas du tout aimé ce procédé que j'avais assimilé (et que j'assimile) à un téléguidage vraiment noeud-noeud. Je m'estime, et tous les spectateurs, à même de distinguer un flash-back ou un changement de lieu sans que l'on me l'indique par une couleur. Une petite clochette pour tourner la page avec la fée aussi?

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Ce sont juste des choix de teinte en fonction de lieux (désert très lumineux, zone urbaine plus bleutée), et c'est un choix esthétique comme un autre, là pour le coup c'est toi qui prend vraiment le réalisateur pour un con...

 

Enfin bon apparemment faut faire du cinéma dans la norme sinon c'est prétentieux ou c'est prendre le spectateur pour un neuneu.

 

Ou alors à chaque fois qu'un cinéaste fait le choix de couleurs plus chaudes ou plus froide en fonction de ce qu'il veut faire passer dans l'instant il prend les gens pour des cons.

 

Ou alors le cinéma est un art d'artifices.

 

Enfin je sais pas, quoi.

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  • 4 months later...

Je m'attendais a ne pas aimer, etant donne que les piques entre Clooney et Pitt ca va bien une fois, mais celui-la est bien passe. Malgre le cote running gag, la sous-intrigue avec la Very Unimportant Person est potache et drole, Matt Damon est excellent, et ca aere un peu que Clooney et Pitt ne soit pas omnipresents.

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  • 9 years later...
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