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Le gendarme et les gendarmettes - Jean Girault (1982)


Nicolas

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A la brigade de St-Tropez, ou de nouveaux locaux flambants neufs accueillent, a titre expérimental quatre gendarmettes, l'ambiance est surchauffee par cette arrivée. Et devient franchement electrique lorsqu'on annonce aux gendarmes la visite d'un colonel accompagne d'un Chef d'Etat Africain, heureux papa d'une des gendarmettes...

 

EPISODE VI : Revenge of the gendarmettes.

Probablement le plus engagé des "gendarmes" dans sa dimension féministe revendiquée (avec le "gendarme et les extra-terrestres" qui contenait tout de même une charge en règle de la société de consommation) L'idée la plus perverse étant finalement d'associer cette notion de féminisme à des donzelles toutes plus laidronnes les unes que les autres.

Sans doute le plus Z de la série : vulgaire, sans rythme, laide, de mauvais goût : l'agonie de De Funès amaigri (Théo jubile) est filmée par un mourrant qui d'ailleurs ne finira pas le film, puisque c'est Tony Aboyantz qui dû terminer cette oeuvre singulière pétrie de contradictions.

A noter, des scènes d'action qui n'ont rien à envier à Michael Bay.

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Vu au cinéma le jour de sa sortie (sorti en même temps, Deux heures moins le quart avant Mahomet affichait complet à 14H15 dans la grande salle du Colisée Concorde à Montbéliard, soit plus de 600 places...j'ai du me rabttre sur Louis de Funès, chose que je comptais faire anyway), dans une salle archi-comble.

Le personnel avait installé des sièges de camping pour les retardataires (oui, ils avaient vendu plus de billets qu'il n'y avait de place dans la salle 2!). Plein d'enfants dans la salle. Des rires en rafale.

Je e souviens avoir été amusé (bon, j'avais 14 ans, hein).

Revu 10 ans après, j'étais effondré.

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