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L'été en pente douce - Gérard Krawczyk (1987)


Nicolas

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En échange d'un lapin qu'il cède à Shawenhick son voisin, Stéphane Leheurt récolte Lilas, brave fille innocente et sensuelle, avec laquelle il décide de partir. Tout plaquer pour rejoindre la maison familiale, dans le sud de la France. A peine informé par la presse locale, Fane arrive le jour même de l'enterrement de sa mère. La tenue légère de la pulpeuse Lilas ne manque pas de choquer...

 

On croirait un film de Jean Becker co-réalisé par Beinex et scénarisé sur une base de Philippe Djian, et pourtant c'est du Gérard Krawczyk.

Réalisme psychologique, tradition populiste des années 50, alchimie des acteurs (tous très bien) "L'été en pente douce" demeure une oeuvrette à la fois triste et touchante. J'avais vu le film en salle à l'époque et du haut de mes 10 ans, j'avais été très impressionné par le spectacle de Pauline Laffont qui remplissait l'écran dans tous les sens du terme. Difficile de revoir le film, sans avoir un p'tit pincement au coeur.

Une oeuvre finalement attachante de ces années 80, si loin, si proches.

Z2 dispo.

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Un très bon film de Gérard Krawczyk au casting excellent (Jean Pierre Bacri, Guy Marchand, Jacques Villeret ainis que la regrétée Pauline Lafont).

Le thème abordé, celui d'un homme modeste, qui, de retour dans son village d'enface, va être confronté à la bassesse des petits notables de coins, est assez classique dans le cinéma français.

Il est ici traité d'une façon à la foi dramatique et marrante, les notables et les habitants du villages, étant campé par des personnages hauts en couleurs comme Guy Marchand, inspirant autant d'antipathie que finalement de pitié.

 

Pauline Lafont apporte à ce film une touche d'érotisme ma foi parfois très agréable !

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