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Another 48 Hrs. - Walter Hill (1990)


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Tout va mal pour nos deux héros. S'il ne veut pas finir en prison, Jack, le flic, doit trouver rapidement le dangereux malfrat Iceman. Quant à Reggie, le voyou, il finit un séjour derrière les barreaux. Et Iceman a mis sa tête à prix. Pour preuve, l'autobus qui l'éloigne du pénitencier est attaqué et fait 17 tonneaux avant de s'arrêter. A contre-coeur, Reggie s'allie à Jack pour 48 heures de plus...

 

Je me souviens juste que y'a des bikers.

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J'ai moins aime, ca sent quand meme le rechauffe pendant tout le film.

Le duo principal est beaucoup plus vieux que dans le premier episode, et du coup c'est vachement poussif.

Bof quoi, je le reverrais peut-etre mais j'en ai pas trop envie la...

  • 5 years later...
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J'avais le début de ce film gamin (vers 6/7 ans à la TV) sur TF1 et j'avais été traumatisé par les deux bikers qui abattent froidement les deux flics au début . Du coup mes parents avaient zappé sur la 2 qui passait... 58 minutes pour vivre . Là j'avais trouvé ça cool

 

Bon sinon cette suite est sympa mais sans plus. Disons que ça reprend grosso modo la trame de l'original, en changeant deux/trois trucs par-ci par-là. On retourne dans les bars se battre, à Chinatown voir des putes. Le scénario est inutilement compliqué, avec des personnages qui servent à rien (là où le premier allait toujours droit au but), Eddie Murphy est beaucoup plus exposé et insupportable que dans le précédent (d'ailleurs c'est son nom à lui qui est en premier sur l'affiche et plus celui de Nick Nolte). Le duo fonctionne moins : on a l'impression que le coeur n'y est plus trop et que tout est en pilotage automatique. Y a moins de punchlines aussi. Bref, c'est moins drôle et moins jouissif. Le chef gueulard est plus là et c'est dommage (apparemment son rôle a été coupé au montage). Y a des scènes complètement too much (par exemple Eddie Murphy fait 32 tonneaux dans un bus et sort sans presque rien ).

 

Après c'est vrai on passe pas un mauvais moment : on s'ennuie pas, les bikers foutent vraiment la pétoche, la musique tue toujours autant. Pour résumer, y avait moyen de faire mieux, mais ils auraient pu aussi faire pire.

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Et tant qu'à faire, egalement ne rien faire du tout, ce qui aurait encore été préférable (souvenir des critiques de l'époque qui, dans un touchant élan d'unanimité, avaient quasiment toutes titrées : "48 heures de trop").

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