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Emocoes Sexuais de um jegue - Sady Baby (1986)


Superwonderscope

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Film extreme qui plaira au Draven. Directement du Brésil vient cette chose assez curieuse, d'après ce qu'on peut comprendre, melange de trash-porn matiné d'horreur à base de tronçonneuse et de bordels.

 

Gaviao (Sady Baby) est un sadique qui s'échappe d'un prison brésilienne en étant seropositif. Après avoir violé une jeune femme, il arrive dans son village natal ou il vit sa femme enceinte. Après l'avoir torturée, elle avoue le nom du père : son propre père. Il découvre égalment la soeur de sa femme enceinte de son père.Gaviao décide de se venger et poursuit son père à travers les bordels du pays, tuant des personnes aup assage et armé d'une tronçonneuse.

 

Une scène zoophile qui fera chuter de jalousie la scène du cheval dans Emanuelle in America. Il y en a pour tous les gouts (sexe violence et autres gateries extremes) dans ce film réalisé à la hussarde a destination visiblement des cinémas d'exploitation de Rio,; d'après ce qu'on peut saisir du film.

 

Beuark.

Modifié par Invité
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  • 4 months later...
  • 2 years later...

 

Bon ben en effet, le cinéma porno par Sady Baby c'est quelque chose

C'est clairement pas exitant pour un sou (faut en avoir envie !!), avec des relents moites et underground très très prononcés, mais en contrepartie c'est quand même assez drôle il faut l'avouer

L'histoire vaguement dessinée tient clairement du n'importe quoi (de la baise dans un cercueil en pleine jungle, des viols, un âne sur lequel une blondasse vient se frotter, un pervers pépère et une tronçonneuse à la fin qui charcle) et c'est surtout pretexte à conduire vers une scène de bal tournant en orgie interminable (avec une véritable queuleleue ).

C'est paradoxalement glauque et en même temps totalement décomplexé du gland (on passe de belles lesbiennes dans une cascade à des bears se faisant engueuler par des putes en plein acte) et clairement différent de la prod française de l'époque.

Et les choix musicaux sont absolument énormes puisque, en plus de standards brésiliens, plusieurs tubes sont repris dans leur version instrumentales de manière totalement illogique. Une scène de triolisme en pleine cambrousse sur fond de Xanadu ou une sodomie sur fond des Chariots de feu, je sais pas vous, mais c'est quelque chose

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