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Turbulence 3 de Jorge Montési (2001)


Dragonball

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"Turbulance 3"

 

 

La série des turbulances, hollywood nightesque erzatz des Passager 57 et cie ne m'avais jamais tenté avant que je tombe sur le pitch nanardesque du 3ème épisode. La présence de Rutger Hauer au générique à finit de me convaincre d'acheter ce film et de le visionner dans les plus bref délais, et on peut dire que je n'ai pas été déçu.

 

Voilà un petit résumé du film, qui est un peu à Air force one ce que Shark Attack est aux dents de la mer, plein de spoilers (lol, même la fin du film !), mais bon, de toute façons, "Turbulence 3" est comme vous vous en doutez loin d'être un monument de suspense.

 

Slade Craven (lol, serais ce un hommage ?), musicien de Heavy metal ultra populaire, a décidé de donner son dernier concert dans un 747 en plein vol, devant une bande de jeunes surexité ayant gagné un concours. Cependant, l'avion va être détourné par une secte satanique qui projette de le faire s'écraser sur une église afin d'ouvrir une des 7 portes de l'enfer.

ça a l'air alléchant comme ça mais en faite, ils ne se passe grand chose dans le film, cette fameuse sectes se résumant à 3 illuminé assez peu charismatique.

L'interet du film résident pricnipalement dans ses personnages débile et interprété avec les pieds, slade Craven en tête, sosie de Marylin Manson qu'on essaie de faire passer pour une superstar alors qu'il à le charsime d'une endive. Idem pour le couple formé par un pirate informatique (une sorte de geek millionaire vu l'apparte qu'il se paye !) et l'agent qui doit l'arréter (une pinbèche qui se prend pour un super flic), qui cabotine à mort. Au début, ils se détestent, et, évidement, à la fin, ils baisent (même si ont ne vois pas la scène !).

Le pirate informatique, la fliquette et la Rock star vu unir leur force pour venir à bout des pirates de l'air, dont l'un n'a pas hésitez à prendre la place de Craven pour arriver à ses fins !

La séquence finale ou Craven doit faire attérir l'avion en étant seulement guidé par le pirate informatique qui fait mumuse sur un simulateur de vol est un grand moment de portnawak, surtout quand Craven, ayant soudain retrouvé la foi (tu m'étonnes, vu comment il est dans la merde), décident de se débarasser de son pendentif sataniste (une croix renversée) avant d'implorer dieu de l'aider. (waouh, trop fort le symbole !).

Et Rutger Hauer dans tout ça ? Et bien il apparait environ 2 minutes dans le film et doit dire tout au plus 3 phrases. Cachetonner à ce point, même pour lui, c'est quand même très fort !

 

Bah, maintenant, vous savez ce qui vous reste à faire !

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Immense !!!

 

J'ai franchement beaucoup aimé ce petit film, totalement loufoque et incohérant et surtout involontairement drôlissime ! Que du bonheur

 

Ma petite reviou à moi pour vous donner envie :

 

 

A priori, une deuxième séquelle au bis aérien avec Ray Liotta n'avait pas de quoi générer un grand intérêt et ne s'imposait pas vraiment. Mais pourtant, il arrive que l'on se surprenne à avoir un coup de coeur pour un film sans intérêt, sans grande qualité, et qui n'a d'autre prétention que de divertir. Si il est clair que TURBULENCES 3 ne révolutionne en rien le paysage cinématographique, il propose par contre un pitch tellement stupide et aberrant qu'il mérite le respect. Jugez un peu.

 

Slade Craven, super-star morbide du rock'n roll à qui l'on attribue la responsabilité du massacre de Columbine, décide de faire son dernier concert dans un boeing 747 aménagé pour l'occasion, et co-piloté par un Rutger Hauer mélomane. Habillés de noir, truffés de clous, de crucifix inversés et arborant des maquillages blafards, les membres du groupe se posent en copie carbone de Marilyn Manson, le style en moins. Quarante heureux vainqueurs à un concours ont le privilège d'assister au concert. Quarante tordus vêtus de noir répétant inlassablement les mimiques du duo Beavis & ButtHead. Le concert événement, sponsorisé par la chaîne Z Web TV, s'apprête à être retransmis en live sur Internet, en plus de cela, l'avion s'avère être truffé de caméras.

 

Pendant ce temps, à terre, un hacker (Craig NIGHTBREED Scheffer) pirate le système pour accéder gratuitement aux caméras de l'avion depuis son petit PC. De là, il sera le témoin du plus fou des piratages aériens ! Des adorateurs du démon en provenance d'une obscure secte satanique assomment le chanteur charismatique amateur de meurtres simulés et le remplacent par un psychopathe qui prend un malin plaisir à jouer avec ses victimes. Slade Craven et notre gentil hacker rentreront alors en contacte et tenteront de mettre fin aux agissements des pirates de l'air.

 

Avec un scénario pareil, je ne peux que m'incliner. Le réalisateur, auparavant aux commandes de OMEN IV et de plein de séries TV, rempli correctement son contrat en se pliant aux exigences du téléfilm à l'Américaine: un petit peu de violence, pas du tout de sexe et une morale qui, pour une fois, donne le bon rôle au tordu de service, à savoir le rocker injurieux Slade Craven. Encore un beau coup de pub pour Marilyn Manson qui n'a rien à voir avec le film, certes, mais qui a tout à y gagner - en tout cas au près des ligues conservatrices américaines. Craig Scheffer passe tout le film le cul posé sur sa chaise devant son ordinateur et tient un rôle complètement étranger à celui qu'il tenait dans TURBULENCES 2. Un film certes sans surprise, mais tellement divertissant... Kerozene

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