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Sex & Fury - Norifumi Suzuki - 1973


Jeremie

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Premier volet du dyptique des aventures de Ochô Inoshika, quand même honoré par Norifumi Suzuki et Teruo Ishii. On a vu pire...

 

Ocho Inoshika poursuit inlassablement les trois assassins ayant commis l'assassinat de son père, alors qu'elle n'était qu'une jeune enfant : élevée dans un orphelinat ou elle fut initiée au vol, entre autres, sa croisade prend une nouvelle tournure le jour ou un quidam lui livre une mission avant de rendre l'âme sous ses yeux.

 

Avec Suzuki, tout est permis, et c'est pour ça qu'on l'aime ; bien bien dans le ton des pinky de l'époque, le film n'ursupe jamais au grand jamais son titre. Reiko Ike, appétissante, livre des combats n'ayant rien à renier à sa cousine Lady Snowblood dans son plus simple appareil et Christina Lindberg de passage au Japon, montre ses seins et son cul parce qu'evidemment, elle joue le rôle d'une espionne sexuelle.

La divine poupée de chair y dévoile sans complexe sa plastique de rêve, n'oubliant pas au passage de manier le gun

Je t'aime Christina !!!

 

Des coups de sabres dans la neige, du bondage, un corps de femme empoisonné, un amour tragique, une scène de flagellation ou Suzuki annonce sans détour son très fameux Couvent de la bête sacrée et même des capotes (!!!??) : bon bref, c'est quand même le haut du panier du cinoche d'exploitation nippon.

Et dire que Suzuki n'a jamais tourné de Sasori (bien que Ito dévoile une imagerie baroque très semblable en fait).

 

C'est bien, achetez-le

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