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Ultime Décision - Stuart Baird (1995)


Benj

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Jaffa, leader d'une des organisations extremistes les plus dangereuses du monde, est arrete lors du mariage de sa fille. Son adjoint, Nagi Hassan, exige sa liberation en echange des passagers d'un 747 qu'il a pris en otages. L'avion transporte egalement un lot de gaz toxique qu'il menace de repandre au-dessus de Washington. Le lieutenant-colonel Austin Travis propose alors d'aborder le 747 au moyen d'un avion furtif experimental et d'y introduire un commando d'elite charge de neutraliser le terroriste.

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Revu ce soir et c'est poutrancier à mort, Kurt Russel toujours au top, Steven qui marque les esprits, Halle Berry en hotesse qu'on enculerais bien sur un coin de chiottes presurisés, Ultime Decision c'est le best qui te tend les couilles vers le cul et qui se termine à la Die Hard avec Kurt Russel qui va baiser Halle Berry et toi t'es heureux parce que t'as passé un bon moment devant un film qui decongestionne le cerveau, ouais.

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  • 4 years later...

Je l’ai revu le week-end dernier et j’ai pris un panard énorme !

 

Un actioner généreux et trépidant.

 

Le script ne pète pas plus haut que son derrière mais a le mérite d’être ultra efficace.

 

Une fois l’action lancée, les passages hors de l’avion sont réduits au strict nécessaire (on évite une intrigue extérieure artificielle) et, à l’intérieur, on multiplie avec bonheur tout un tas d’actions parallèles (désamorcer la bombe, identifier le meneur, préparer l’assaut, débusquer la taupe, …).

 

Le tempo est soutenu, la réalisation propre et la musique (Goldsmith) bien classe.

 

Et puis le casting est royal !

 

Kurt est parfait en héro post-reaganien

 

Le film regorge de seconds couteaux en or (John Leguizamo, Halle Berry, Oliver Platt et Steven Seagal dans un rôle méritoire) et rassemble aussi plein de représentants d’une précieuse caste d’acteurs : ceux dont on ne connaît pas les noms mais dont on apprécie les tronches (Joe Morton, B.D. Wong, J.T. Walsh, Len Cariou, Richard Riehle).

 

Et puis le métrage est également une rutilante relique d’une époque révolue

 

Les films avec des avions étaient à la mode (Broken arrow sortait la même année, Air force one la suivante), on baignait dans l’insouciance hollywoodienne pré-11 septembre (il était encore possible de filmer des détournements aériens perpétrés par des terroristes) et Steven Seagal n’était pas farci à l’andouillette.

 

Souvenirs.

 

A l’arrivée, le film vieillit bien (16 ans déjà) et reste l’un des meilleurs actioners des années quatre-vingt-dix

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Le texte de Dino Velvet est très bon et très juste, mais le texte de Benj mériterait d'être réédité dans la Pléiade. J'ai plus trop de souvenirs de ce film que j'avais vu à la sortie, mais j'avoue que la péripétie qui arrive à Seagal m'avait scotchée.

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