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Julien

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Oui, c'est bien la biblio de la rue du cinéma

 

Sinon, oui je pense aussi que ce soit bidonné sur certains plans (ça va vraiment très loin parfois) mais tout son côté sexual addict, c'est pas impossible. Ce sont surtout certaines descriptions précises alors qu'il était enfant qui me font tiquer aussi...mais toute la partie misérabiliste se tient malgré tout. En gros pour démêler le vrai du faux, ça doit pas être de la tarte

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Je suis un grand admirateur du bouquin de Huysman donc apprendre que Bunuel a bien failli l'adapter, bonjour la claque. Jean Claude Carrière a eu la très bonne idée d'éditer le script, le tout introduit par une préface aussi courte que passionnante.

C'était la fin de carrière de Bunuel, qui se sentait à la fois repoussé et passionné par son sujet : le film est d'ailleurs assez fidèle au livre, bien que l'intrigue soit déplacée dans les 70's (dans un Paris démantibulé par les attentats). Les séquences avec Gilles de Rais (qui devait être incarné par Depardieu sont moins corsées que dans le bouquin (où on était censé y voir des gosses violés et démembrés dans des orgies de sang indescriptibles) mais sont toutefois bien amenées. Là où le bat blesse, c'est que Bunuel ne semblait pas croire en ce qu'il faisait : il voulait couper la scène charnière (une scène de messe noire hallucinante) parce qu'il refusait de s'adonner une nouvelle fois à la provocation qui a fait son statut, ne sentait pas vraiment la partie moyenâgeuse (trop de budget) et on se laisse à penser au final que le propos demande plus une mise en scène fiévreuse (quelque chose proche de Bava ou de Russell) que cet espèce de détachement absurde Bunuelien. Et il connut une complication de santé qui pensait être peut-être l'oeuvre du diable

 

Finalement, sa grande plus grande réussite dans cette adaptation, c'est bien qu'il n'ai rien tourné

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  • 2 weeks later...

 

Passionnant, complet (bien que j'aurais bien voulu en savoir plus sur les "pré-CAT III" mais ça mériterait carrément un autre livre sur le sujet à y réfléchir), richement illustré. On pouvait difficilement faire mieux.

 

 

C'est evidemment la partie sur le tourisme sexuel qui a le plus fait jaser, ce qui le précède se relevant moins tapageur, mais tout aussi touchant. C'est écrit très finement, c'est même passionnant et en réalité, franchement désenchanté.

 

 

C'est carré, bien illustré, fourni. Exactement ce que j'attendais.

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Dans la lignée des ouvrages de Peter Biskind, un formidable voyage dans le cinéma américain des années 80. Steven Spielberg a déclaré un jour :" Si quelqu'un est capable de me décrire son idée en vingt-cinq mots voire moins. ça veut dire que ça fera plutôt un bon film. " Cette vision des choses tranchait avec le cinéma complexe des années 70. quand des films d'auteur comme Le Parrain ou Chinatown rencontraient les faveurs du public. Le coup d'envoi était donné pour les années 80. années fric et cocaïne, ère du marketing et du " produit calibré " par excellence. Producteur avec Jerry Bruckheimer de Flashdance, de Top Gun. Don Simpson incarna mieux que nul autre cette époque. Monstre du box-office, cet homme de toutes les démesures, dont la paranoïa n'avait d'égale que son incroyable talent pour le succès. fut le pire bad boy d'une ville pourtant ouverte à toutes les excentricités. Né en Alaska en 1943, il mourut à l'âge de 52 ans. ce qui ne surprit personne tant son mode de vie était tenu pour le plus scandaleux d'Hollywood. A partir de nombreuses heures d'entretiens avec les protagonistes de cette aventure, Chartes Fleming nous livre des centaines d'anecdotes inédites. Il fait ici le portrait d'un homme, d'une époque et lève le voile sur les dessous du système. On y croise entre autres Anthony Peticano. homme de tous les coups bas du cinéma hollywoodien, Heidy Fleiss et ses réseaux de call-girls, ou encore Boyce Newman, le dealer des stars. Box-Office ou la biographie du producteur le plus déjanté d'Hollywood, celui qui voulut être une légende. et qui le devint.

DPG IL TE LE FOOOOOOOOOOOOO A MORT !!!!

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Asterios Polyp, de David Mazzucchelli

Considéré comme le livre de l'année, Grand Prix de la critique 2011 de l'ABCD. Bref, le rouleau compresseur de l'année niveau BD.

« Asterios Polyp » est un ouvrage innovant tant par la (dé)construction de son récit que par la transcription en images des intentions de l’auteur et des états d’âme des personnages. Biographie rêvée, le récit joue des flashbacks pour révéler par touches, par bribes, par bouts de souvenirs, le parcours chaotique, les amours ratées, les ambitions contrariées d’Asterios Polyp, architecte de papier. Comprenez : un grand professionnel admiré mais qui n’a jamais rien construit. « Asterios Polyp » est un livre froid et parfaitement maîtrisé, jusque dans ces audaces formelles.

 

C'est complexe mais vraiment très prenant, la biographie inventée de cet homme qui semble avoir raté sa vie. Le dessin est simple, mais le travail graphique est immense. C'est finalement assez prise de tête (Si Asterios Polyp avait 20 ans, ça pourrait être un livre pour Jérémy, ça, tiens... ) mais vraiment passionnant. J'ai du mal à décrocher quand vient l'heure de faire dodo.

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  • 2 weeks later...

L'an 3000 : La situation va au plus mal pour le roi Arthur et la Table Ronde : Guenièvre et Lancelot sont bannis, Merlin est trahi par l'un des chevaliers et capturé. Existe-t-il encore le moindre espoir de vaincre Morgane La Fée et ses sbires aliens ? Arthur, acculé, n'a plus qu'à se lancer à l'assaut de son ennemie dans un dernier sursaut. Rappelés du passé pour sauver le futur, le roi et sa légendaire épée Excalibur pourront-ils faire perdurer leur légende ?

 

c'est très bien. voila.

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J'ai dû lire ça non pas pour le plaisir (bien que j'aurais pu) mais pour mon mémoire, étant donné qu'il s'agit du seul livre en France sur le sujet...

Dévoré en 20 minutes chrono, non seulement parce que j'avais pas envie de trainer mais que surtout je connais malheureusement toutes les références de Palacios. Ce n'est pas prétentieux, c'est juste que ça reste très évident C'est ce qui en fait la faiblesse et l'intérêt : le livre ne tombe jamais dans la masturbation illisible, mais en réalité ça reste très scolaire. J'ai aussi beaucoup l'impression que Palacios parle souvent de ce qui l'arrange, et on frôle parfois le hors-sujet. Quant à la notion de gothique même, c'est très vague.

 

 

Un livre formidable car il donne tout simplement la parole à l'homme tout le long du livre, chose que je trouve souvent plus passionnant que des divagation de critique allumé. On sent evidemment tout le cheminement incroyable de ce bonhomme, sorte de génie névrosé aujourd'hui définitivement établi dans la hype du genre, ce qui a fini par en faire un auteur aussi prévisible que de moins en moins passionnant. Quant aux illustrations, on échappe aux photos de productions habituelles pour des croquis absolument magnifiques du Sir. C'est une petite merveille.

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Résumé :

 

Depuis la naissance de l'homme, la vie éternelle a été l'un des plus grands rêves de l'espèce humaine. Pour le Dr Ashar Ahmad, ça a été plus qu'un rêve, l'obsession d'une vie. Tandis qu'il n'a pas vaincu la mort du corps, il a trouvé le moyen de faire survivre l'âme grâce à un costume qui abrite l'essence intérieure de l'être mort. Lorsqu'un groupe inconnu attaque le laboratoire de Ahmad, celui-ci, pris dans les tirs, ne doit sa survie qu'à un prototype de sa plus grande invention. Mais lorsque le tyran responsable de cette agression kidnappe sa fille pour négocier la puce que stocke la magnifique invention, le bon docteur doit découvrir comment stopper son ennemi. Pourra-t-il réparer, dans la mort, ses erreurs passées ?

 

 

A propos de l'auteur :

 

Phil Hester est un artiste dont les travaux sont apparus dans Swamp Thing (La créature des marais) chez DC, ainsi que Green Arrow, en tant que dessinateur, avec Kevin Smith. Ses réalisations incluent des personnages aussi connus Spider-man et Hulk. Le Sarcophage est sa première incursion de scénariste écrivant pour un autre dessinateur. Mike Huddleston est le dessinateur de Sarcophage. Il est aussi le co-fondateur de 40 oz Comics qui compte, parmi ses membres, Jim Mahfood. Huddleston a préalablement réalisé. des travaux en freelance pour DC comics et Caliber comics. Il travaille aussi à la réalisation d'un nouveau projet avec Phil Hester sous le 'titre de Deep Sleeper

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Présentation de l'éditeur

Les plus terrifiants héros Marvel se retrouvent dans des aventures inédites : le Loup-Garou, I'Homme-Chose, Satana, le seigneur des vampires Dracula, Simon Garth le lubie, la Momie Vivante, le monstre de Frankenstein, klebs le vampire vivant et Lilith, la fille de Dracula ! Voici réunis dans un seul et même volume quatre numéros spéciaux consacrés à la Légion des Monstres, écrits et dessinés par divers artistes dont David Finch, Grog Land et Mike Carey. Et en bonus, une histoire d'horreur "vintage" parue dans les années 70, signée Bill Mantlo et Frank Robbins.

Biographie de l'auteur

Mike Carey a récemment quitté Ultimate Fantastic four et travaille maintenant sur X-Men: Legacy. II est célèbre pour avoir écrit la longue série Vertigo Lucifer, un titre inspiré du fameux Sandman. Skottie Young est un jeune et talentueux auteur qui signe ici un bref récit consacré au monstre de Frankenstein. Parmi ses précédentes productions, on retiendra Spider-Man: Island of the Spider-Asa et New X-Men. Les amateurs d'univers super-héroïques connaissent Charlie Huston depuis peu. On lui doit d'avoir relancé avec succès la série Moon Knight. Il a aussi à son actif plusieurs histoires policières dont The Shotgun Rule, la plus récente. L'auteur complet Ted McKeever est désormais un ancien dans le monde des comics. En effet, au début des années 90, il a écrit et dessiné les maxi-séries Marvel/Epic Plastic Forks et Metropol. Robin Furth travaille avec Stephen King depuis plus de six ans et elle a écrit The Dark Tower: A Concordance. Plus récemment, on l'a vue à l'ouvre aux côtés de Pater David sur Dark Tower: The Gunslinger Born, toujours chez Marvel. Jonathan Hickman est un jeune scénariste/dessinateur très productif. Il a notamment créé la série The Nightly News. Dernièrement, il a signé pour Marvel Astonishing Tales et co-réalisé Secret Marries avec Brian M. Bendis. Brendan Cahill est l'auteur d'Outside the Box, une série sur Internet que l'on peut voir sur le site ModernTales.com. Il a aussi imaginé pour Marvel la mini-série Sable et Fortune. Le volcanique C.B. Cebulski est un ancien rédacteur aujourd'hui découvreur de talents et scénariste. Parmi ses travaux, signalons The Loners, Mystic Arcana, X-Men: Fairy Tales et une aventure de Wolverine et du Punisher dans Astonishing Tales. Bill Mantlo signe le récit "vintage" qui ferme l'album. Très populaire dans les années 70/80, Mantlo s'est illustré sur de nombreux titres Marvel parmi lesquels Spectacular Spider-Man et lncredible Hulk.

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Présentation de l'éditeur

Panini Comics a l’honneur de vous présenter l’un des plus beaux albums de l’année. Et il n’y a aucune exagération lorsque l’on sait qu’il est illustré par le fantastique Gabriele Dell’Otto, dessinateur des plus belles couvertures Marvel et de la saga Secret War. Au scénario : Craig Kyle

et Chris Yost, les auteurs de la série X-Force publiée chaque mois dans ASTONISHING X-MEN,

qui met en vedette Wolverine, le mutant préféré des fans de comics. Lorsque Domino lui demande de l’aide, Logan ne peut qu’accepter de la soutenir, mais elle a omis de lui révéler certains détails…

 

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J'en suis à la moitié. Ca terrasse bien. L'ennui avec les chefs d'oeuvre, c'est que bon, derrière c'est dur de replonger dans du quelconque... Ca t'anéantit un peu, genre on surpassera jamais tout ça, à quoi bon se faire chier ? Je vais lire du PPDA moi tiens, j'aurais moins de problèmes....

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