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Julien

Messages recommandés

 

J'attaque ma période histoire du proche-orient antique avec ce classique de la discipline, un peu daté, mais toujours aussi indispensable, cela après dévoré "De Sumer à la Bible" chez la collection "Histoire", avec des chapitres assez cools, comme le mystère du cimetière d'Ur, des recettes de cuisine vieilles de 5000 ans (du veau cuit dans du lait) ainsi que l'épopée de Gilgamesh

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J'avais très bien cerné l'univers de Bukowski mais je ne l'avais jamais lu

C'est chose faite, j'ai dévoré ça en deux petits jours. Les trois premières histoires m'ont totalement soufflé, le reste m'ayant paru parfois confus (tout le côté autobiographique) ou moins intéressant par instant. Mais bon un bon claquage de beignet quand même...

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  • 2 weeks later...

J'avais plutôt un mauvais souvenir du film donc la BD ne m'attirait pas plus que ça.

Ben en fait :

Rien de génial mais outrancier a souhait et ça fait plaisir

Je vais redonner une chance au film même si dans mes souvenirs, il ya beaucoup de différences (pas souvenir de costumes par exemple)

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Le film n'en reprend que la trame de départ (soit, en gros, de mémoire, les dix ou quinze premières pages) avant de bifurquer vers totalement autre chose - limite, on se demande pourquoi en avoir acheté les droits.

 

"L'outrance à souhait", sinon, pourrait être une bonne définition du style Millar.

Si ce n'est qu'il manque à ses ouvrages, parfois jouissifs mais la plupart du temps inaboutis, la subversion qu'y apporte aux siens un Garth Ennis, par exemple...

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Preacher, of course !

Mais toute la série du Punisher est également très recommandable, se permettant telles outrances (autant graphiques que scénaristiques) que ceux qui ont pris sa suite se sentent obligés de marcher dans ses pas (sans pour autant avoir autant de talent).

A noter que le dernier épisode qu'il ait rédigé pour le titre boucle en quelque sorte la boucle du personnage et de certaines obsessions thématique d'Ennis (notamment la représentation du "all-american hero" en guerre, déjà abordée par ses soins dans le one-shot 303)...

 

De Millar sinon, lire en priorité son Red Son, variation sur Superman (qui le voit naître en URSS) qui est, je trouve, ce qu'il a écrit de mieux - faut dire qu'il est fan hardcore du perso et qu'outre son boulot sur Smallville, il traine depuis des années un projet d'adaptation pour le ciné que personne ne veut produire.

(peut-être parce qu'il avait annoncé une trilogie pensée, à la manière de Lord of the Rings, comme un ensemble d'une dizaine d'heures ? )

 

 

Après, si tu cherches dans le même genre déviant mais (un peu) plus subtil, y a mon préféré : Warren Ellis, auteur de la série-culte Transmetropolitan mais aussi, entre mille autres, de merveilles comme Fell, Down, No Hero, Black Summer ou Desolation Jones...

 

 

 

Lui aussi ayant connu le douteux honneur d'être transposé au ciné avec Red, dont le résultat final n'empruntait guère que son titre au comics d'orgine.

J'espère au moins pour lui qu'il s'est bien gavé au passage...

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Les gens qui fréquentent ce lieu ont un goût trop sûr pour confondre de manière intentionnelle le Warren Ellis guitariste de Nick Cave (qui apparait sur la photo plus haut) et son homonyme scénariste, au style tout aussi décadent mais à la barbe (hélas ?) quelque peu moins fournie...

 

 

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Les gens qui fréquentent ce lieu ont un goût trop sûr pour confondre de manière intentionnelle le Warren Ellis guitariste de Nick Cave (qui apparait sur la photo plus haut) et son homonyme scénariste, au style tout aussi décadent mais à la barbe (hélas ?) quelque peu moins fournie...

 

Alors la

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Je viens de lire le dernier chapitre de Bakuman

 

 

Ca y est c'est fini, et c'était super jusqu'à la fin. Grosse démonstration de force en matière de narration, puisque c'est une tentative de reprendre tous les codes de tous les mangas, aussi bien shojo que shonen, pour une série qui elle-même explique les mécanismes de la création d'un manga. Bravo.

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  • 3 weeks later...

 

« Les premières semaines, j'ai cherché les caméras.

C'était forcément une plaisanterie.

Six mois après avoir été embauchée à la mairie, j'ai accepté la triste réalité : je suis un petit rouage d'un univers absurde.

Un monde où ceux qui en font le moins se déclarent « dé-bor-dés ! » Où les 35 heures se font... en un mois.

Je passe mes trois heures de travail hebdomadaire à pipeauter des notes administratives, bidouiller de vagues rapports, jouer les GO pour délégations étrangères et hocher la tête en réunion.

L'essentiel est de réussir à gaspiller son temps en prenant un air important, à lécher les bottes des dirigeants pour glaner quelques informations et à jouer les fidèles vassaux des élus tout puissants... »

 

Tel est en résumé le quotidien d'une « desperate fonctionnaire » comme des millions d'autres, qui n'en peut plus de n'avoir rien à faire et d'être obligée, par solidarité avec la fonction, de faire semblant.

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Lu hier soir l’excellentissime "Celle qui réchauffe l'hiver"

 

et finis

sur lequel je suis partagé. Le principe des trois héroïnes est vraiment interressant, ça rend le kiki tout dur, mais c'est franchement un peu trop long. Content d'avoir l'objet mais surtout content de ne pas l'avoir payé le prix fort.

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  • 2 weeks later...

 

Je viens de finir ça et je vous merde ! Et c'était très bien, touchant, émouvant, instructif. Alex is the man.

 

 

Je suis dessus depuis des mois, mais c'est chiantissime. Mais je continue à persévérer par petites touches, de temps en temps, on a des éclats de génie qui méritent le coup d’œil. Sinon c'est sans doute le truc le plus désespéré que j'ai jamais lu.

 

 

Sinon j'ai choppé ça cette semaine. Lu une petite moitié, ça me semble en dessous du tome 1 pour l'instant, mais bon, c'est sympa quand même....

 

 

Il y a peu j'ai dévoré ça. Très sympa, ça se lit super bien, c'est, je pense, assez proche d'une certaine réalité actuelle. Vraiment bien foutu dans le genre "polar social" du 9-3.

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je viens de le finir et j'ai adoré :

 

 

Info édition : Autre image Sur fond historique véritable, Frédéric Bertocchini et Miceal O'Griafa, scénaristes corses et irlandais, nous entraînent au coeur des mouvements révolutionnaires du début des années 80. Un thriller politique décoiffant, mené tambour battant sur deux îles révoltées. Lorsque de jeunes militants de l'IRA et du FLNC décident d'aller au bout de leurs idées, cela n'est pas sans causer des déchirures et des brisures. Un premier volet d'un tripyque rythmé et parfaitement maîtrisé.

 

Résumé de l'album : Liam, un touriste irlandais. François-Marie, un indépendantiste corse. Au premier abord, tout les sépare. Et pourtant. Lorsqu'un matin de printemps 1981 les deux personnages se croisent dans le maquis corse, leur destin bascule. L'un va servir la cause irlandaise, au moment où Bobby Sands s'éteint dans les prisons britanniques, tandis que l'autre va découvrir les revendications des révolutionnaires corses. Un destin croisé poignant, réalisé par des scénaristes corses et irlandais.

 

 

pareil et ca aussi :

 

C'est une histoire d'amour moderne et radicalement autobiographique. Le héros - un jeune homme "branché" et noceur - évoque ses débuts dans la vie lorsque, plein d'illusions, il épousa Diane, la plus jolie fille de sa génération. Il se souvient qu'au début de leur amour, tout était bleu ; que la tendresse succèda à l'amour dès la deuxième année de leur mariage ; que l'infidélité fut la loi de leur couple dès la troisième année. Alors, il sait que la loi du monde pourrait se formuler ainsi : "l'amour dure trois ans..." Tout le roman, dont le symbole est l'horloge de Beaubourg - qui marche à reculons en décomptant les secondes qui nous séparent de l'an 2000... - est une variation drôle et émouvante sur ce thème. Il faut savoir que, pendant qu'il raconte l'échec programmé de son premier mariage, le héros vit avec Delphine. Et, là encore, l'heure tourne...

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J'avais le début d'une aventure des "Sinistre six" dans un vieux Strange quand j'étais gamin, mais pas la fin... J'ai commandé ce recueil en import, en espérant que ça serait le bon (et si c'était pas le cas, tant pis...spa trop grave), et donc, reçu aujourd'hui, et

 

C'EST LE BON !!!!!!!

 

 

 

Et mon vieux Strange, c'était celui là :

 

 

(oui, je sais, tout le monde s'en cogne, mais je m'en fous !)....

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Voilà, j'ai tout dévoré en une semaine vite pris au jeu de ce monstre, ce chef d'oeuvre où King semble avoir concentré toute son audace, ses angoisses, sa nostalgie, sa rage...

La densité de l’œuvre donne parfois le tournis (on se demande comment King trouve la force de tisser des sous-intrigues sur autant de personnages, sans jamais tomber dans la gratuité qu'on lui soupçonne), rencontre scabreuse et explosive entre Stand By Me et Lovecraft, donc "ça" est un rejeton manifeste. Je souhaite beaucoup de courage à la nouvelle adaptation, tant certains passages semblent impossibles à mettre en image

va encore pour les transformations de ça, mais une gamine qui partouze avec ses potes, on peut toujours se brosser

, mais il y aura certainement plus de matière à explorer qu'on en trouve dans le tv film, nous privant d'images fabuleuses et de toute l'aura malsaine, poisseuse et magique de cette aventure épuisante.

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