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Papaya, love goddess of the cannibals - Joe D'Amato - 1978


Jeremie

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Un D'Amato période exotique assez peu connu, déterré voilà quelques mois chez ces pervers de Severin, ce qui est ma foi toujours sympathique...

Car au final, c'est bien ce qu'est ce Papaya, sympathique. Mais pas vraiment plus hein...

 

Exit Black Emmanuel et bonjour Papaya, une îcone friande de chair fraîche tout de même plus farouche, incarnée par une Melissa Chimenti dont la carrière ne décollera véritablement jamais malgré ce passage par la case bis cul.

Et ça commence plutôt bien d'ailleurs, avec une longue étreinte fruitée entre la dite Papaya et un jeune barbu, qui finira castré sauvagement à pleine bouche Un tableau peu surprenant de la part du grand Joe mais qui conforte toujours agréablement les yeux les plus vicelards. Après ça, bon, le film aura bien du mal à se reprendre.

Inondée de sperme par un ours monstrueux chez Borowczyk, Sirpa Lane paraît ici un peu plate, se trimballant avec Maurice Poli sur un territoire bien connue des amateurs de d'Amato, dans ce qui pourrait s'apparenter à un film de fesses touristique de base. Le clou du spectacle sera une cérémonie sacrificielle avec cochon vidé de ses tripes et arrachage de coeur humain, le tout virant à l'orgie.

 

Triolisme, ébats torrides dans des casa décrépites ou sous les cocotiers, saphisme, sexe interraciale, coups de ceintures, bites molles, et jalousie, bref rien ne manque. D'Amato pur jus.

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