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ERIC bis

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Messages posté(e)s par ERIC bis

  1. vu à la librairie Album, le dvd en import (Z1 malheureusement ou...heureusement) Car, bien qu'ils aient gardé le même titre , donc avec 3D écrit en gros, au verso de la jaquette est mentionné 2D version !!!

     

    ça donne déjà moins envie. pourquoi donc aucun éditeur ne risque-t-il la 3D en dvd??, Bon, c'est vrai que les rares incursions dans ce domaine (Spykid 3D et sa pseudo-suite, ou un Shrek 3d d'une demi-heure avec une 3d vraiment ratée) n'ont pas été une réussite; Pourtant, de réels progrès ont été accomplis en terme de télévision en relief (voir l'expérience de docs en relief sur la chaine Voyage parrainée par Nouvelles-Frontières, ...pas si mal); il y a tellement de films tournés dans ce format (même si les procédés sont aussi differents que nombreux) qu'on aimerait bien voir ou revoir dans leur version originale!!!

  2. vu le premier dimanche à Disney , donc en 3D- déjà, il fallait trouver l'info pour être sur qu'il passe dans ce format (une précédente expérience avec le superman, annoncé avec 20 minutes en relief et au final: que dalle, une version en plat)- Mis à part l'officiel des spectacles et qqs infos sur Silverscreen, même gaumont ou Allo-Ciné ne mentionnent rien. A l'entreée du Gaumont Village, là encore, il faut la chercher, l'info. Bref, tout ça pour dire que si l'expérience vaut vraiment le détour, le relief est vraiment impressionnant, il faut habiter la region parisienne pour la vivre. Pas de pub, une seule salle pour tout "Paris-Peripherie" (peut-être une ou deux en province), alors que les Etats-unis le proposent dans 80ù des salles. Y a-t-il des chances pour que ce système - qui donne vraiment envie de reprendre le chemin des salles pour voir un film - soit viable dans notre beau pays. Vu le peu de mal que nos distributeurs se donnent pour le promotionner, on peut craindre que non. (premier dimanche de projection: la salle était à demi-pleine!!! )

  3. Guidé par le nom de Serge Leroy, lors d'une fouille à la VHS, je n'ai pas été déçu. Le démon dans l'île est encore diablement (sic) efficace. On se surprend à serrer bien fort dans l'accoudoir du fauteil à l'approche de certaines scènes. Le couteau à viande est particulièrement démonstratif de ce suspens maîtrisé. Le fantastique au quotidien avec ce petit côté sanguinolant qui vient à point pour éviter un point de vue disons trop sérieux . Petite réserve pour le détenteur de certains pouvoirs maléfiques, je ne peux en dire plus, qui peut prêterait presque à sourire aujourd'hui, mais tellement eighties qu'on ne peut qu'apprécier.

     

    euh, je voudrais pas casser l'ambiance, mais serge leroy n'est pour rien dans la réussite du film; en revanche Francis Leroi, lui, oui... jusqu'ici abonné aux films erotiques, puis X (La Michetonneuse, Les Tentations de Marianne diffusés d'ailleurs sur Cine-Culte, Petites filles au bordel, Emmanuelle4, etc...) . le Demon dans l'ile est son seul film qui se soit écarté de ce créneau. Ce qui ne lui retire en rien ses qualités, ni à ceux de ses autres films, d'ailleurs

  4. j'ai vu, mais il y a deja un bail; un bon petit polar, comme on en faisait pas mal dans ces années-là. le scenar n'est pas révolutionnaire, mais c'est bien torché, il y a de l'action, du suspense, les gueules qu'on aime bien retrouver de cette époque (Constantin en tête) ... et puis c'est signé serge leroy, (il fera quand même mieux avec "la traque", son film suivant)

  5. vu sur une vhs italienne, dans une copie épouvantable et dans une dupli dégueulasse (les deux à la fois, ça fait beaucoup) Et pourtant, même si les subtilités du scenario m'ont certainement échappées , j'ai avalé le film d'une traite, c'est vraiment très différent des autres gialli, dont le climat s'apparente plus à "Un Coin tranquille à la campagne"d'Elio Petri (enfin, de ce que j'en ai compris) qu' à un Argento ou un Bava. A quand une sortie dvd ou une diffusion sur le cable?

  6. On croirait une "analyse" (ils appelaient ça comme ça...pas peur, les mecs) des Saisons.

     

    Oui bon ça fait déjà deux fois que tu la sort celle la

    Tu oublie que chacun possède un avis sur la chose et qu'il est facile de mettre l'entier forum dans le même sac quand tu vois quelqu'un qui écrit un truc qui ne te plait pas.

     

    que deux fois? bien sûr que je réagis , mais pas seulement quand je lis un avis qui est différent, mais ce n'est pas ça qui me surprend. Assimiler Martino ou Lenzi à des tacherons (que penser alors de la plupart des réalisateurs de bis italiens), me parait tout aussi facile. Sur un forum dédié au bis, on s'attend à un peu plus d'indulgence, envers des films qui sont nécessairement imparfaits. C'est même pour ça qu'on les aime. D'autant plus réactif dans ce cas, aux critiques un peu expéditives.

  7. là encore, on fait le même procès de Lenzi avec des arguments dignes des Saisons ("idées naudéeuses",etc)comme je m'étonne un peu d'en lire sur un Forum censé réunir des amateurs de cinema-bis. Ce qui ne veut pas dire tout aimer (bien que l'indulgence est souvent plus qu'utile, je le reconnais). Les arguments m'étonnent un peu plus. Reprocher à Lenzi des intentions fachos est un peu facile, et en plus, le reproche peut être fait à beaucoup de polars ritals, et pas seulement (certains "cannibales"?); mais Lenzi est avant tout un opportuniste (et ça n'a rien de péjoratif), profite d'un filon qui marche commercialement. Il fournit ce qu'on lui demande: ce type de films remportait un certain succès et il a fait comme les autres. et plutôt bien: ce film-là est dans la bonne moyenne, collant à l'actualité de l'époque et traduisant le sentiment d'insécurité, exploité par ailleurs par les médias. Lenzi nous donne ce qu'on attend de ce genre de films (en tout cas, ce que moi j'en attends), de la violence, des méchants très méchants et un mec (auquel le public peut s'identifier et à ravers lequel il peut se défouler) qui rend la justice dont ce même public se sent dépossédé. Alors oui, c'est caricatural, le discours (s'il y en a vaiment un) est expéditif et un peu racoleur. Mais comme on est là pour ça, ça tombe plutôt bien.

  8. Alligator, beuuurk !

     

    la série b commerciale dans ce qu'elle a de plus standardisée et de plus bête. Mou, chiant, sans idée, cousu de fil blanc . Une suite de clichés dont certains sont à peine dignes de tintin au congo, le tout noyé dans une enfilades de cartes postales. Un film de tâcheron appliqué et fade. Aucun intérêt pour ma part.

     

    Martino, un tâcheron!!!

    On croirait une "analyse" (ils appelaient ça comme ça...pas peur, les mecs) des Saisons. Justement, ce sont les imperfections de ces films qui en font tout le charme. En plus, ici, point d'effets numériques à la mords-moi l'noeud, juste un bon vieux croco artisanal (et pas si mal fait), des personnages brossés à la serpe mais qui sont suffisants pour le propos (on va pas faire du Rohmer, c'est pas le lieu) et une mise en scène efficace, qui va à l'essentiel. Du bis pur jus.

    Et tant mieux si ça ressemble à Tintin au Congo

  9. il s'agit bien d'inserts hard, mais pour une fois, assez habilement réalisés.On pourrait presque croire qu'il s'agit des comédiens du film. Et sans crier au chef d'oeuvre (et même, faudrait-il crier pour autant!!), c'est un bon petit film, pas si mal fichu, vu les moyens, qui installe lentement un climat, les intrigues et quelques personnages pas trop mal construits; C'est d'ailleurs dans le soin apporté aux décors et l'effort de créer une atmosphère que le film séduit, plus que par certains coups de théâtre un peu expédiés. Et la surprise d'y voir qqs scènes hard alors qu'on ne s'y attend pas, donne à ce film un charme qu'on ne trouve guère dans les productions d'aujourd'hui. Alors rien que pour ça

  10. curieux de ne pas apprécier ce film à sa "juste" valeur: certes , il est imparfait, mais se démarque quand même de pas mal d'autres westerns italiens, par son climat, sa lumière, ses accès de violence. Mais c'est ce qui caractérise le cinéma bis, et c'est même pour ça qu'on l'aime.Tant pis si le scénario est un peu léger, l'interprétation pas toujours au diapason: ce film ne ressemble pas aux autres, c'est déjà ça! Et ça a l'air d'en étonner quelques uns...(le nombre de films dégommés sur ce site!!). Fulci n'est pas Leone ou Corbucci...mais peu importe, j'en attends pas la même chose (d'où peut-être mon indugence)

  11. un film qui a du se faire sur la seule personne de Celentano, qui est omniprésent. Tout le film repose sur le regard porté par son personnage, traversant une partie de l'Histoire de l'Italie que je ne connaissais pas, pour ma part (nul en Histoire que je suis). Le scenario laisse peu de place aux autres personnages, qui pourraient offrir un autre éclairage aux évènements et nous impliquer davantage. Mais ces derniers n'ont qu'un rôle de faire valoir, réduits à l'état de silhouette. Avec Argento aux commandes, on a tendance à s'attendre à un film différent (c'est peut-être un tort). Une déception, pour ma part (la v.f. de la vhs y est probablement pour quelque chose)

  12. euhh...aujourd'hui, c'est vrai, ces films sont plutot regardables (surtout si on compare avec certaines comédies franchouillardes récentes). mais quand on payait 10 ou 12 balles au ciné pour Les Murs ont des oreilles, on avait un peu les glandes. Pas la meilleure période de Girault, les Louis Velle, quand même.

  13. je crois qu'en fait, il ne faut se fier qu'à son instinct et ne surtout pas lire les avis des uns et des autres AVANT d'avoir vu un film. "Génial!!"...et on est déçu,"une daube"...et on se sent con d'avoir aimé. Je l'ai vu à sa sortie en salles, et je m'étais ennuyé...Je l'ai revu sur Action et pour finir, j'ai trouvé plutot bien. Et puis, Castellari nous a fait quand même des très bons polars (Big racket, Le Témoin à abattre...merde!!) Alors que ce soit pas un génie du cinéma...tant mieux. Les génies m'emmerdent

  14. dans les "Saisons" il était de bon ton de massacrer systématiquement un Pécas. C'était à celui qui ferait le meilleur "bon mot" à peu de frais. même si ce n'est pas un grand réalisateur, ses films se laissent regarder, et celui-là apporte ce qu'on est venu chercher: du cul (un peu) du sang (beaucoup) et un climat un peu malsain, c'est plutot pas mal foutu, surtout pour un film français...Quant à Max Pécas, il en vaut bien d'autres: dire qu'aux César, il n'a même pas été cité dans leur rubrique de "ceux qui nous ont quitté"...pourtant il a rempli les tiroirs-caisses de pas mal de salles, lui aussi (les César, c'est ça qu'ils récompensent, non?)

    IL FAUT REHABILITER MAX PECAS!!!!!!

  15. je confirme, Norbert Moutier n'a pas - encore- pris sa retraite (même si c'est pas l'envie qui lui manque)- Et la plupart de ses Monster bis sont réédités régulièrement. Sinon, on trouve quelques anciens n°s à la librairie qui se trouve rue Git-le-coeur (rue qui donne rue St André des arts près de la place St Michel...à Paris, donc) Lbrairie dont la vitrine est recouverte de Bd et de livres d'art. Une véritable caverne d'Ali-Baba, pas très grande, où s'entassent véritablement bouquins sur la peinture, la musique, la photo érotique et le cinoche: beaucoup de bouquins rares, des fanzines, bref un lieu "magique" pour qui aime fouiner (les allées ne sont pas bien larges et il n'est pas rare de faire tomber des piles de bouquins, tant il y en a dans tous les coins: ça peut décourager) Mais le gars qui tient ça, assez réservé à première vue, connait très bien sa boutique et surtout ce qu'il vend, et est d'une érudition étonnante.Toujours près à vous dénicher un bouquin introuvable (sauf sur le net) Un endroit unique!

  16. un peu trop "épate-bourgeois"pour être honnête-Vouloir à tout prix choquer, écoeurer, créer le malaise ok, mais soit on fait un film totalement gratuit, ou du moins sans autre prétention, soit on a un propos à défendre et choquer devient un moyen. J'avoue que le propos du film m'a échappé, la volonté de choquer (but non atteint en ce qui me concerne) l'emporte et étouffe les intentions de l'auteur (je ne les nie pas, simplement, je ne suis pas parvenu à les déceler). En tous cas, on est à mille lieues de "Salo'"...

  17. j'entends quoi...je voulais parler de films genre "Gungala" "Luana""Tarzana" et autres "Samoa", dont on ne peut pas dire qu'elles aient inspiré les éditeurs vhs, en France du moins. Me serais-je mal exprimé? Si on met de côté la série des Liane et celui-ci, je ne connais pas d'autres éditions françaises. Quant à l'appellation, j'ignore s'il y en a vraiment une, alors...

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