Ma review du film sur le site http://www.zonebis.com/ZB_mainBoard.php?oeuvre=499 Je vous encourage à y mettre la votre ! Considéré comme un vilain petit canard dans la filmo de Carpenter, ce Escape From L.A. soufre, il est vrai de nombreux scories. Avant de les énumérés bêtement et simplement je vais quand même être franc et dire que j’ai pris beaucoup plaisir à le voir, un mauvais Carpenter n’est pas forcement un mauvais film. Tout d’abord Escape From L.A. est très généreux, que ce soit pour le cast hallucinant regroupant tellement de tronche qui font tjs autant plaisir a voir (dont un caméo inquiétant de Bruce "DIEU" Campbell) et qui on suivis Big John dans son périple ou bien dans le florilège de situation incongrue dans lesquels va se retrouver Snake tel que du surf sur une vague de Tsunami, descente en deltaplane, combat contre une tripoté de méchant à la mine patibulaire et pour finir match de Basket (bon la c’est un peu too much) Paramount avait l’air de croire au film et a doté Carpenter d’un budget honorable pour le faire, malheureusement la boite chargée des nombreux effets visuel numérique du film a été imposée au réalisateur et cette dernière a visiblement manqué de talent (ou d’argent) et le résultat final est plus que catastrophique. On ne compte plus les incrustations au petit bonheur la chance et les bouts de décor en synthèse tellement visible qu’il en est presque honteux de voir les acteurs interagir avec. De plus, par péché de gourmandise, Carpenter plombe son film de séquence pas spécialement folichonnes (le match de Basket encore et toujours) et oriente Kurt Russel dans une sorte d’auto parodie de son rôle de Snake Plissken le méchant à qui on la fait pas. Pour le moment je suis partagé entre pas mal de bonne chose et d’autre plutôt plouf, seulement en début de critique j’avouais avoir pris pas mal de plaisir à la vision et ce simplement pour deux choses qui rattrapent à mes yeux toutes les petites imperfection suscité. Premièrement le très bon score de Carpenter ou il re-orchestre le thème de NY 97 et ça fait toujours son petit effet. L’autre atout non négligeable se trouve en fin de métrage ou le film prend une tournure complètement nihiliste et termine l’histoire de Snake de la meilleure façon qui soit.