Aller au contenu

guncrazy

Membre ZoneBis
  • Compteur de contenus

    915
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par guncrazy

  1. En tout cas, le film me tente bien...

     

    Fonce, il est à - de 12€ sur play en ce moment avec stf.

     

    Moi aussi j'ai trouvé le film vraiment bon. On sent que le réal aime ses "freaks" et ça rend le film assez touchant par moment.

    Vraiment une trés bonne surprise et c'est assez étonnant que le film soit encore inédit chez nous vu son carton aux states.

     

    ?

     

    VOTE FOR PEDRO.

  2. ?

     

    Incroyable doc sur le backyard, une sorte de catch underground, qui comme son nom l’indique se déroule dans les arrières cours des banlieues White-Trash Américaine.

    Le réal Paul Hough a silloné les States pendant un an, et à receuilli les témoignages de plusieurs pratiquants ainsi que de leur entourage.

     

    Le film couvre un large panel de tarés en tout genre :

    -Deux frères qui s’étripent à coup de fil de fer barbelé enflammés et de verres pillé sous les applaudissement de leur mère.

    -Un ancien catcheur pro, qui recrute des ado simplets pour des match retransmi sur une chaine tv locale.

    - Une petite ville ou toute la population encourage sa jeunesse à s’affronter lors de match « soft »

    -Des métalleux rednecks boutonneux qui cherchent à repousser les limites saignantes de ce « sport « (y’a même des « filles pirates » dans le lot )

    Au milieu de ces Américan freaks, deux personnalités assez touchantes émergent (mais c’est pas non plus des lumières, hein ):

     

    -Scars un gamin qui a passé sont enfance à subir de nombreuses opérations chirurgicales (il en a gardé d’importantes séquelles physiques d’ou son surnom). Ado, il s’est découvert une passion pour le backyard. Et ses parents acceptent son choix pretextant qu’il y trouve son équilibre.

     

    -Le lézard un jeune père de famille azimuté qui rêve de devenir catcheur professionnel

     

    Loin d’une simple exploitation de ce phénomène, le réal reussit à livrer un film relativement objectif, evitant le voyeurisme, le sarcasme et le moralisme.

     

    A noter que comme les catcheurs pro, certains participants ont des surnoms et des costumes assez terribles, le pire étant l’improbable BIG-MAC WITH A SPORK un type déguisé en Big mac armé d’une cuillère en bois cassée. (Gauffre-man enfoncé )

     

    Quelques tofs :

     

    ?

    Les deux frangins qui se chamaillent.

     

    ?

    Le sympathique Scars

     

    ?

    Un redneck qui pense.

  3. Strange but suggestive, "Noriko's Dinner Table" reps less a sequel to helmer Sion Sono's previous horror satire "Suicide Club" than an existential parallel. "Table" follows two teenage sisters who shed their identities to join a quasi-prostitution ring. Although told through a cascade of flashes forward and back, the puzzle doesn't quite form a complete picture by the end, which may leave genre fans frustrated but the arthouse crowd intrigued.

    ?

    ?

     

    Une reviewhttp://www.blisty.cz/2005/7/11/art24059.html‹

    Et pour finir un extrait sous titré anglaishttp://download.kviff.com/movies/high/high_0988.wmv‹

     

    Putaing. Suicide Club étant l'un de mes films de chevet:

    JE VEUX VOIR CCCCCEEEEE FFFFFIIIIILLLLLLLMMMMEEEEEUUUUUUUHHHHHHHHH

  4. ?

     

    Sublime doc inclus dans l'édition collector de 36. (Tous les autres sup sont vraiment interessant)

     

    On suit donc pendant 1H15 le parcours du réal de 36 de la prépa jusqu'au montage de son film.

    Tous ceux qui rêve un jour de passer à l'acte (et ceux aussi qui y sont passé ) se doivent de voir et revoir ce petit bijou qui nous montre sans détour la somme de frustation, compromis, fatigue, joie, émotion s qui entoure la fabrication d'une oeuvre aussi imparfaite soi t elle.

     

    C'est aussi bien entendu le portrait d'un réal passionné, à la fois humble, capricieux, sincère, bordélique mais surtout un bosseur acharné .

     

    Three thumb up.

  5. Le film est aussi bon que l'affiche.

     

    HOV est pour moi le retour en force de Cronenberg. J'avais un peu décroché après Crash, et je doit dire que j'ai été agréablement surpris par son coté modeste et jouissif.

     

    Les seuls éléments Cronenberguien dans HOV sont le thème de la contamination (forcement ici c'est la violence ) et la trés belle musique d'Howard Shore.

    Pour le reste, Cronenberg s'éloigne de son style habituel pour nous livrer un film en apparence "mainstream" mais beaucoup plus corsé que la moyenne en ce qui concerne le sexe (dont un zoli 69 entre Viggo et Maria) et la violence (crane explosé en gros plan, gunfight sec et bien saignant...).

    Mais ce qui surprend le plus dans le film (surtout chez Cronenberg), c'est qu'il est drole. C'est bien sur loin d'être une comédie, mais plusieurs séquences surprennnent par leur ton décalé (dont une scène avec une porte ou... Et puis non vous verrez:banane: )

    Tous les acteurs sont Xellents (mention spéciale à un W Hurt méconnaissable et un E Harris ultra-fielleux).

     

    HOV est donc carré et efficace: 90 minutes de bonheur.

     

    PS pour Mr Amato : Maria est bien à poil dans le film, full frontal qui plus est.

  6. Son role dans est vraiment interessant, trés loin des potiches habituelles dans ce genre de comédies action. Elle est d'autant plus craquante.

     

    A noter aussi la perf de Val Kilmer et RDJr, surtout ce dernier qui n'a, de mémoire, jamais été aussi charismatique.

     

    Pour l'anecdote, la scéance de minuit a commencé avec 3/4 d'heure de retard, car Kilmer s'est payé un bain de foule en bas des marches et à signé un autographe à TOUTES les personnes présentes ce soir là (certains n'ayant pas de papier se faisaient dédicacer les mainscrazymeuh:) .

    C'est non seulement TTRRRRRRREEEESSSSSS inhabituel à Cannes mais en plus venant de Kilmer (qui traine une réput de connard ). Pendant ce temps là dans la salle du palais, les spectateurs privilégiés et bien installés, soupiraient en maudissant Kilmer pour le retard pris par la projo.

  7. PS : Bloodhound Gang Rulezzzzzz !

     

    'Cause you're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    You're pretty when I'm drunk

    And I'm pretty fuckin' drunk

  8. 'Rubber Johnny' documents a 16-year-old, inbred mutant's solitary existence, locked in a pitch-black basement by his ashamed parents. They are TV-addict rednecks who occasionally feed Johnny and yell at him for making noise. Johnny's only company in the basement is his little dog. His dog's I.Q. far outstrips Johnny's, who is a completely insane, bi-polar imbecile.

     

    J'ai piqué le syno officiel, parce qu'il est difficile de résumé ce court métrage méchamment barré.

     

    Donc Cunningham a encore frappé, et cette fois ci il est vraiment parti en live. Ce type n'est pas comme nous, ça c'est sur. Soit il vient d'une autre planète, soit il s'est complètement grillé le cerveau avec toutes sortes de substance chimique.

     

    C'est crade, drole, angoissant, epileptique (le montage est )... tout ça en seulement 6 minutes.

     

    Cunningham a inventé le cinéma du futur (j'adore ces formules à l'emporte pièce. ) un divertissement pour mutants post-apocalyptique.

     

    Quelques zolis images de la bête:

    ?

    ?

    ?

    ?

     

    un teaserhttp://www.drukqs.net/click.html‹

     

    et le site officiel avec le trailerhttp://www.rubberjohnny.tv/‹

     

    Bonne nuit.

  9. [quote="niko13"] Surtout maintenant qu'il va devenir un realisateur celebre et connu de par le monde. :wink:[/quote] :banane: :D Thx niko Sinon, pour les parigots, allez voir Keane le nouveau Lodge Kerrigan, il passe aussi. L'un de mes rares loupés de Cannes cette année. Je suis :cry: :cry: :cry:
×
×
  • Créer...