tubbytoast

Un documentaire sur le groupe Slipknot mais attention sans aucune musique du groupe et aucune image du groupe dedans

Pendant 50mns, on a droit à des interviews de fans (la plupart intégristes) qui arrivent à aligner 3 conneries dans la même phrase...on comprend bien qu'ils sont désoeuvrés dans leur patelin de bouseux (eh oui la nuit y a rien à faire), pour éviter les baillements intempestifs entre ces paroles d'ados, apparaissent à l'écran des citations plus ou moins provocatrices des membres du groupe du style, "si j'étais pas devenu musicien, je serai serial killer"

Un dvd fortement inutile (même pour les fans je pense, dont je ne fais guère parti) et même plus drole au bout de 10mns

le dernier cd en date des japonais (un peu) fous...de mémoire de tympans brisés, aucun groupe n'était allé aussi loin dans la (sur)puissance

http://www.mediafire.com/?tmj05j590jm

Soporifique, pleins de bons sentiments (on commence par se refiler du poiscaille et aprés, hein ?!), Cathy la Catho est une superstar, Fifi rève de Clémence...bref, je regarderais surement pas Mardi prochain

(reviens Moundir, qu'ont-ils fait de ton koh-lanta )

Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs,

La belle poitrine de Joëlle Cœur et la lippe de Valéry Giscard d’Estaing, symbolisant la France porno de 1974, constitueront malheureusement la couverture du dernier Cinérotica. Le n°4 de janvier 2009 que, je l’espère, vous avez reçu. Cette aventure ambitieuse s’arrête donc malgré le soutien important que vous nous avez apporté, sur internet, dans la presse, à la radio et à la télévision. Seulement, les ventes n’ont pas été à la hauteur de nos espérances et sont insuffisantes pour permettre à l’éditeur d’en poursuivre la publication. Il n’est pas en mesure de prendre le risque de continuer encore sur plusieurs numéros.

C’est la raison principale, économique. Toutefois, j’ajouterai d’autres facteurs qui n’ont fait qu’aggraver la situation. Il semble en effet aujourd’hui de plus en plus difficile d’éditer des revues traitant de pornographie. Nous traversons une période de grand retour à l’ordre moral. A coups d’intimidation auprès des kiosquiers, en brandissant l’article 227-24 du code pénal , le nouveau puritanisme entend purger les kiosques et les maisons de la presse de tout ce qui serait susceptible d’être vu ou perçu par un mineur. Aussi, beaucoup de points de vente n’ont même pas exposé les exemplaires de Cinérotica, les laissant dormir en réserve ! Des marchands refusant la presse porno classique et assimilant Cinerotica à celle-ci ont refusé son exposition dans le rayon cinéma. Dès le n°1, affichant une très soft Viviane Romance dans La Maison du Maltais, notre magazine a été perçu par de nombreux kiosquiers comme odieusement pornographique. A écouter certains d’entre eux, il aurait même fallu changer le titre, beaucoup trop… provocateur !

Sans aucun DVD pour accompagner Cinérotica et vu les conditions ci-dessus, le pari était vraiment très risqué sous la forme d’un magazine vendu en kiosque et se heurtant à l’incompréhension et le blocage de certains vendeurs. L’éditeur a l’intention de continuer d’alimenter le site internet de Cinérotica. Pour ma part, je me suis décidé à éditer moi-même ou à faire éditer sous la forme d’un livre le Dictionnaire des longs métrages érotiques en pornographiques français en 16 et 35 mm pour fin 2009/début 2010. Avec les fascicules inclus dans Cinérotica, vous avez pu mesurer déjà tout l’intérêt du travail rédactionnel du Dictionnaire. Je puis vous assurer que ce travail sera poursuivi cette année jusqu’au fameux Zob, zob, zob, dernier titre d’un inventaire de plus de 1700 films. Je précise que cette fois-ci le dictionnaire sera abondamment illustré et relié. Certains sont peut-être surpris par mon intention d’auto-édition. En fait, ce « monstre » effraie beaucoup d’éditeurs ! Par son coût (800 à 1000 pages, droits d’auteur d’un nombre considérable de piges). Par son contenu, peut-être aussi… Mais je reste ouvert à toute rencontre et si vous pensez connaître personnellement l’éditeur providentiel, n’hésitez pas à m’en faire part, car je suis prêt à discuter jusqu’en mars. A partir d’avril, je prends mes décisions et entame avec mon équipe de rédacteurs l’achèvement du monstre. Et si l’aventure doit être indépendante, ce n’est plus l’éditeur mais les acheteurs-souscripteurs que je chercherai. En plus d’être un monstre, le Dictionnaire pourrait aussi devenir une aventure éditoriale libre et hors des circuits classiques d’édition.

Dans les deux cas, édition classique ou autoédition, mais plus encore dans le deuxième cas, je sais déjà que je pourrai de nouveau compter sur votre soutien pour promouvoir ce travail.

Je vous remercie encore de tout l’intérêt que vous avez manifesté pour notre magazine et de l’enthousiasme que la plupart d’entre vous a témoigné pour notre entreprise. Nous allons continuer.

Christophe Bier

Rédacteur en chef de Cinérotica

Bientôt embauché chez Mad Movies.

 

ben non...

et banni pour 3 ans de leur forum...

 

et surement bientot de ZoneBis

Willy, un réalisateur (prometteur) voudrait tourner un porno. Il a déjà en boite quelques images en super 8 (les membres d'une secte, la "secte du sexe enlève des jeunes filles à Paris pour les soumettre) qu'il projette à Olga qui a plus qu'un pied dans le milieu du cinéma.

"Si tu baises aussi bien dans la vie qu'au cinéma, je veux bien produire tous tes films bave t-elle devant Willy".

Aprés avoir signé le contrat (en levrette), Willy se doit maintenant de convaincre Carole, l'actrice principale (Karine Gambier ) qu'elle est rétrogradée devant la nouvelle actrice imposée par la productrice.

Bon, le pitch peut paraitre con à lire mais la vision du film avec le porno dans le porno vaut son pesant de cahouètes. Idée originale, budget riquiqui (tout le casting est post synchronisé c'est à dire voix off pour tous), montage euh...à la Van Belle , recyclage d'un précédent film de l'auteur (Made in sexe ?).

Cela reste fascinant, une sacrée curiosité comme toujours avec le bonhomme.

La musique de Peter Dreames (?) a des relents lyriques de western spaghetti et emporte l'adhésion.

Enfin la mienne.

Y a t-il le livret 16 pages dans le dvd de Watkins vendu avec Mad ?

Non c'est bien les mêmes (avec un nom comme ça ) : http://www.amebix.net/

Oui moi non plus....http://fr.wikipedia.org/wiki/Amebix

Ça me semble un peu métal tout ça

Amebix c'est le groupe (mythique) des années 80 ?

avec la catho débile

De mon coté j'ai bien accroché au film et pas tellement trouvé les scènes de combat mollassonnes. Peut-être que le réal a voulu donner une dimension réaliste à son personnage.

Les scènes de crachotement qui parsément le film (che avait de l'asthme) en témoignent.

Attention, ils sont pas aux Philippines cette fois

Un calvaire (comme dirait Fabrice) pour moi.

J'ai l'impression que Miike a voulu se faire le marché des ados

C'est du Van Belle, petit !

Deux obsédés (l'oncle et son neveu) patrons d'un canard (le journal pas la bestiole !) décident de pimenter celui-ci en causant Q dedans (tain quelle bonne idée ).

Pour ce faire, ils font passer un casting à de jolies filles et c'est Françoise, 23 ans, canon (mais vierge ) qui choppe le (blow) job !

Décidé à passer en revues le tout Paris coquin et interdit, elle n'hésite pas à payer de sa personne pour satisfaire à l'amour de son métier. Elle rencontre le musicien de l'amour qui touche à l'orgasme en jouant de son moog , se fait passer pour une pute puis une call girl etc.

Y a pas Hakim

Y a pas Raphaël

Y a la débile intégriste chez les jaunes

Moundir n'est pas chez les jaunes

Combat de machette Mardi prochain

Forza Koh Lanta

le film est classé 6eme des 10 pires films de l'année de la rédac d'écran large

ça c'est plutot positif pour le film

DeuxGreffes n'était pas dans la salle

Hein quoi ?!

Qu'est-ce qui est demain soir ??

Ça fait un moment que le PS est mort

Info dénichée sur le blog de Robert Monell.

http://www.onlyscore.com/european/detail/erotic_painful.htm

La scène du repas entre la mère et son fils avec des bruits de "miam" en Doby pendant 10mns, c'est la scène choc du film

Interview de pierre carles et martin dans Siné Hebdo n°18 et bonne critique du film dans Télérama (le film était peut-être pas aussi bien que ça finalement )