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    Les Anges de la Mort - Joël Pfister - (2008)

    dans Cinoche

    Posté(e)

     

    Je pense qu'il est le moment de vous présenter mon premier court-métrage, réalisé dans le cadre du Festival de Courgemétrage (3ème édition). L'organisation a été fait un peu de manière chaotique, car il faut dire qu'entre le moment où j'ai décidé de participer à cette 3ème édition Courgemétrage et le moment du tournage il s'en passé à peine deux semaines. Difficile dans ce cas-là d'être bien préparé. Il a fallu écrire le scénario, trouver les comédiennes et former l'équipe technique. C'était pas facile mais je crois qu'on s'en est bien tiré malgré tout les problèmes que l'on a rencontré. Au final, on est arrivé à une sorte d'épure qui fonctionne plutôt bien. On est content du résultat! Voilà un peu pour l'historique du projet...

     

    Quelques petits détails techniques.

     

    Distribution :

    Maryke Oosterhoff, Camille Goy, Sibylle Thévenaz, MC Casal, Aremis Ueter, Ana Reis et Sabine Dufaux

     

    Réalisation, scénario et montage :

    Joël Pfister

    Adrien Schopfer

    Loïc Valceschini

     

    Assistant réalisateur : Laurent Diserens

    Son et musique : Xurxo-Adrián Entenza

     

    Photographes de plateau :

    Sabine Dufaux

    Geoffroy Jutzeler

    Michael Zasso

    Tom Muller

     

    Durée du court-métrage : 4 minutes 23 secondes.

     

    Et pour faire saliver, quelques photos du tournage qui a eu lieu à la Collégiale de Neuchâtel, fin septembre 2008.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le film sera projeté le 28 février 2009 à Neuchâtel, au Temple du bas. Des détails plus précis suivront prochainement...

    Vos concerts bis

    dans Death Records

    Posté(e)

     

    Hier soir, aux Docks à Lausanne (Suisse) :

     

    En avant programme, Lay Low. Petite formation, une chanteuse et un guitariste multi-polyvalent. Cette petite islandaise au doux prénom de Lovisa est venu faire son petit show tranquillement, entre un mélange de blues, de folk et de country. C'est tout chou et très agréable, et ce petit accent nordique qui est à croquer, c'est irrésistible! Une petite douceur avec le concert tant attendu...

     

     

     

     

     

    Emiliana Torrini est toute petite. Menue et moulée dans un robe bleue à fleurs toute simple, elle charme tout de suite son audience. Ne s'arrêtant jamais de communiquer avec son public, la chanteuse nous gratifie, entre chacune de ses belles chansons, de petits commentaires drôles, d'anecdotes cocasses ou encore de nous expliquer la provenance de certaines de ses oeuvres, ce qui revient à nous ouvrir un peu son coeur et de nous parler de son bien-aimé ou encore de sa maman. Touchante et naturelle, on est immédiatement séduit par l'interaction qu'elle possède avec son public et, du coup, le concert devient très vite intimiste. On se découvre une artiste proche des gens, c'est comme si on passait la soirée à écouter une amie nous chanter des chansons! Et quelles chansons!!! Le concert dura plus d'une heure et demie et ce ne fut que purs instants de bonheur! Une artiste brillante et envoûtante! On aurait envie que cela ne s'arrête jamais! Un enchantement!

     

     

     

    Vos achat Dvd Import

    dans Le VidéoClub

    Posté(e)

    Snow Angels, c'est la deprime assuree, le must du "la vie, ca craint !"

    Oui, c'est pas très joyeux comme histoire. Très bon film, assez intense avec de belles performances de la part des comédiens (notamment Kate Beckinsale!). Ca la change d'UNDERWORLD!

    [Mondo Macabro]

    dans Le VidéoClub

    Posté(e)

    J'avais découvert VEERANA au cinéma et c'était juste exceptionnel!

     

    je suis prêt à parier qu'on était dans la même salle

     

    La copie qui "pète" au milieu du film et le public qui hurle en coeur "VEERANA! VEERANA!"!

    Quand je flane dans ce chatoyant espace de discussion...

    dans Death Records

    Posté(e)

    MIKI SUGIMOTO VS REIKO IKE

     

    Belle collection de morceaux de musique tirées de films japonais labellisés "Pinky Violence" dans lesquels jouent les deux très mignonnettes stars Miki Sugimoto et Reiko Ike. Une brillante sélection de compositions groovy en diable, du funk, des thèmes très "lounge" et même quelques chansons style "night club 70's", un peu de pop aérienne et du easy listening en veux-tu en voilà!

    Que du bonheur, je vous dis!

    Le duo de la mort - Piero Schivazappa - (1969)

    dans Cinoche

    Posté(e)

    Quelqu'un connaît ce film? J'ai découvert cela ce weekend grâce à l'édition DVD anglais sortie chez Shameless. Apparemment c'est un film qui fut passablement charcuté : contenu sexuel déviant, c'est pas bon pour les anglais, ça!

     

     

    Et le résultat fut sans appel : quelle sacrée claque!

     

    LE DUO DE LA MORT (Femina Ridens) de Piero Schivazappa (1969)

     

    Une femme se soumet aux exigences sado-masochistes d'un homme qu'elle connait à peine. Mais bien vite, le maître devient l'esclave de sa soumise...

     

    Une oeuvre "pop art" expérimentale et bien délirante. Un sommet d'excentricité graphique ultra-stylisé baigné dans un soundtrack groovy composé par Stelvia Cipriani. Et la sensuelle Dagmar Lassander est absolument fabuleuse dans ce pur festin érotique aux "set design" totalement hallucinants. Une expérience cinématographique aussi destabilisante qu'envoûtante. Très fort!

     

    Bande annonce : http://www.youtube.com/watch?v=cIIHV3f0B2M

    House (Hausu) - 1977 / Nobuhiko Obayashi

    dans Cinoche

    Posté(e)

    Ils avaient une belle prog cette année, pas pu y aller malheureusement

    Oui, j'y suis allé que le deuxième weekend. J'ai loupé plein de trucs, j'étais vert mais j'ai pas pu y aller avant. En plus de HOUSE, juste pour faire envie, j'ai vu sur grand écran en copie 35 mm :

     

    LA VERITABLE HISTOIRE D'ABE SADA (Jitsuroku Abe Sada) de Noboru Tanaka (1975)

    ELLE S'APPELAIT SCORPION (Joshuu sasori: Dai-41 zakkyo-bo) de Shunya Ito (1972)

    LA FEMME DE SEISAKU (Seisaku No Tsuma) de Yasuzo Masumura (1965)

    LES AVENTURES FANTASTIQUES (Vynález Zkázy) de Karel Zeman (1958)

     

    Vos achat Dvd Import

    dans Le VidéoClub

    Posté(e)

    Tu pourrais me dire pour le coffret MATT HELM ce qu'il en est des ss titres ? Je crois avoir compris que sur le premier, il y a des st francais, mais sur les autres films ???

     

    Merci d'avance

     

    Alors....

     

    MURDER'S ROW de Henry Levin (1966) : Sous-titres anglais, japonais, espagnol

    THE SILENCERS de Irving Allen (1967) : Sous-titres anglais, français

    THE AMBUSHERS de Henry Levin (1967) : Sous-titres anglais, japonais, espagnol

    THE WRECKING CREW de Phil Karlson (1968) : Sous-titres anglais, japonais, espagnol

    Skinwalkers - James Isaac (2006)

    dans Cinoche

    Posté(e)

    Rien à sauver dans cette grosse daube qui n'est même pas suffisament nulle pour devenir amusante. C'est juste chiant comme la mort, réalisé avec les pieds et plus lent qu'un zombie auquel on aurait couper les pattes. Même les effets spéciaux sont minables et Rhona Mitra est complètement fadasse. A moins de triper sur les gros chevelus poilus à bécane, il n'y a que du temps à perdre à regarder ce film. A la poubelle!

    Vos lectures du moment

    dans Des mots pour le Bis

    Posté(e)

    Sinon, dernièrement, j'ai lu ça :

     

    BLAXPLOITATION 70's SOUL FEVER - Julien Sévéon

     

    Cette collection "Cinexploitation" est une bonne idée. Et ce premier volume sur la Blaxploitation est intéressant et nous présente le genre de manière assez large, en ne s'attardant pas uniquement sur les pures bandes d'exploitation mais aussi sur le cinéma noir plus engagé au détour d'oeuvres intrigantes que l'on a bien envie de découvrir. Hélas, sur le support DVD il n'existe pas énormément de ces films et c'est plutôt vers le support VHS qu'il faut se lancer pour découvrir ces longs-métrages. Donc le bouquin fait bien envie mais c'est tout de manière assez dommage que Sévéon ne fait que survoler l'ensemble des films, ne rentrant jamais réellement au coeur de son sujet. On aimerait en savoir beaucoup plus et le bouquin nous laisse, au final, passablement sur notre faim. Le format du bouquin est sympathique et l'iconographie passe par de belles reproductions d'affiches d'époque, ce qui fait toujours plaisir. Par contre, pour les points négatifs, je suis assez halluciné par le nombre impressionnant de fautes de frappes et d'orthographes que contient ce volume. Il y a même des doublons de phrases entières. Cela ne fait pas très professionnel et ça pique les yeux. C'est bien dommage. Ce n'est pas ce qui va m'arrêter de découvrir les autres volumes, mais j'espère tout de même que les autres bouquins à sortir seront beaucoup plus soignés.

     

     

    et puis aussi celui-ci :

     

    MONSTRUEUX de Natsuo Kirino

     

    Ma sœur Yuriko était un monstre. Une beauté époustouflante, anormale. Elle nous méprisait, ma mère et moi. Seuls les hommes l'intéressaient. Quand elle avait quinze ans, le lycée de Tokyo tout entier lui est passé dessus. Elle pensait réussir grâce à son corps. Son cadavre a été retrouvé dans un meublé crasseux. Aujourd'hui, on me demande de témoigner...

     

    Après OUT, c'est le deuxième roman de Kirino que je dévore littéralement. J'adore son style d'écriture, c'est absolument passionnant à lire. Et j'adore autant cette dernière oeuvre que son puissant OUT. On est toujours dans le thriller mais c'est surtout une présentation de personnages écorchés vifs que nous avons droit. Et ici, on plonge carrément dans l'esprit d'une femme très mal dans sa peau, nous décortiquant son point de vue sur les différentes personnes de son entourage, débutant par sa famille (ses parents, sa soeur, son grand-père) jusqu'à ses camarades d'école lors de fascinants retour en arrière. Il y a bien sûr des meurtres, mais c'est plutôt les déclencheurs d'une tragédie qu'une véritable enquête policière. Kirino sonde l'âme de personnages grotesques et haïssables mais on ne peut s'empêcher de ressentir une certaine tristesse pour eux. L'auteur écrit à la première personne et développe son sujet à travers les écrits de plusieurs personnalités qui donnent leurs points de vues sur les événements à travers une déposition, un compte-rendu pour un procès, des lettres et autres journaux intimes. A l'instar de OUT, MONSTRUEUX n'est pas une histoire très plaisante à lire, Kirino ayant le don de mettre mal à l'aise son lecteur. C'est donc brillant de bout en bout, inoubliable! Un must!

    Vos lectures du moment

    dans Des mots pour le Bis

    Posté(e) · Modifié par Invité

    Jean Rollin qui est venu présenter La Nuit des Horloges à Lyon lors de L'étrange Festival 2008 organisé donc par ... ZoneBis

     

    Bande de veinards! J'aurais bien voulu être là mais j'ai appris la nouvelle un peu trop tard. En tout cas, j'impatiente de voir son dernier film. Je sens que je vais adorer ça!

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