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[quote="bloknotise"][quote]Je voulais dire dans ma petite provocation que le critique doit faire un tri, juger, évaluer, mettre en relation, etc... choses qu'il ne peut vraiment faire, au fond, s'il "tolère" tout et n'importe quoi dans un film. [/quote] je t'avais bien compris, je suis d'accord, mais dans l'état actuel des choses, Burallo l'a bien expliqué d'ailleurs, tu ne penses pas que c'est un fonctionnement de la critique qui est un peu utopique ?[/quote] Une chose est certaine pour moi en tout cas : il n'est pas utopique mais erronné de croire que le rôle de la critique est d'avoir "une position objective et sans parti-pris" comme j'ai pu le lire plus haut. C'est impossible et surtout inintéressant... Qu'une majeure partie des critiques n'arrivent à griffonner que des "opinions", des explosions d'ego, ou des encarts publicitaires achetés par Luc Besson est un autre problème...
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[quote="bloknotise"]Je dois simplement avoir du mal à faire la différence entre intolérance et hostilité, ni même comprendre vraiment la fonction des critiques. Mon idée c’était qu’un critique est un individu qui exprime ce qu’il a ressenti durant la vision d’un film. Etre intolérant dans ce genre de cas ça sous entend pour moi qu’avant même de voir le film on a pas envi d’en ressentir/prendre du plaisir.[/quote] Je voulais dire dans ma petite provocation que le critique doit faire un tri, juger, évaluer, mettre en relation, etc... choses qu'il ne peut vraiment faire, au fond, s'il "tolère" tout et n'importe quoi dans un film. [quote]Mais quel intérêt peut-il y avoir à insulter un film, sincèrement ?[/quote] Ne pas "tolérer" (intellectuellement) tel ou tel film n'autorise pas à manquer de respect...
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Vu hier sur CinéPOLAR, j'ai raté le début donc s'il y a de bonnes âmes pour compléter / corriger... [img]http://www.topcelebritypages.com/pcim/5394_small.jpg[/img] Donc sous nos yeux héberlués (et nos oreilles torturées par la VF crasseuse), Ma Baker brandit son gros Machine Gun en mâchonnant le cigare et conduit ses chers petits bébés à travers l'Amérique profonde, entre braquages de banques, enlèvements, séquestrations, meutres, et désirs incestueux tyranniquement assouvis. A noter un jeune De Niro héroïnomane qu'on préférait tout de même chez De Palma à la même époque. Un bon Corman (donc un brin décevant comme à l'habitude) avec une Shelley Winters rayonnante de folie. [img]http://www.kinokunst.de/poster_d/Title_B/BloodyMama_G1_ED15.jpg[/img]
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Vu hier sur CinéPOLAR, j'ai raté le début donc s'il y a de bonnes âmes pour compléter / corriger... [img]http://www.topcelebritypages.com/pcim/5394_small.jpg[/img] Donc sous nos yeux héberlués (et nos oreilles torturées par la VF crasseuse), Ma Baker brandit son gros Machine Gun en mâchonnant le cigare et conduit ses chers petits bébés à travers l'Amérique profonde, entre braquages de banques, enlèvements, séquestrations, meutres, et désirs incestueux tyranniquement assouvis. A noter un jeune De Niro héroïnomane qu'on préférait tout de même chez De Palma à la même époque. Un bon Corman (donc un brin décevant comme à l'habitude) avec une Shelley Winters rayonnante de folie. [img]http://www.kinokunst.de/poster_d/Title_B/BloodyMama_G1_ED15.jpg[/img]
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Passionnant !
On n'est pas obligé de s'arrêter à l'introduction (qui a soulevé la polémique en rapprochant nazisme et communisme) ; la partie sur l'URSS vaut à elle seule le détour, notamment pour la prise de pouvoir par les Bolcheviks et la figure de Lénine...
Autres passages saisissants : la "Révolution Culturelle" en Chine et le chaos cambodgien sous Pol Pot...
PS : Superwonderscope, j'ai lu également "La Pissotière" qui est un très beau roman. Voilà ! je le recommande vivement...
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"Roti humain au sperme et sous-vetement en peau de bébé" Eric tu passes les bornes... continue !
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L'explosion des corps au ralenti compte parmi les plus beaux plans gore du cinéma bis ! - à vrai dire la seule raison de regarder ce film et de s'en souvenir...
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[quote="bloknotise"]on remarque un manque évident de [u]tolérance[/u] de la part des critiques français pour cette « nouvelle vague »[/quote] Pourquoi un critique devrait-il "tolérer" un film, d'autant plus s'il le juge médiocre ? Il me semble qu'un critique est avant tout quelqu'un d' "intolérent" (sinon je ne vois pas où est l'intérêt)... "Tolérance : tolérez mon intolérance"
Sin City de Roberto Rodriguez et Frank Miller (2005)
dans Cinoche
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