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Ride with the devil d'Ang Lee (1999)


Dragonball

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Ride with the devil

 

 

 

 

 

Amérique, 1861. La Confédération sudiste est formée, la guerre civile américaine éclate. Parallèlement aux lointaines campagnes militaires officielles, des combattants pro-sudistes opérant en commandos isolés, les Bushwhackers, s'engagent dans une guérilla sur les chemins de traverse. Le long de la frontière entre le Kansas et le Missouri, Jake Roedel, fils d'un pauvre immigrant germanique du Missouri, et son ami d'enfance Jack Bull Chiles, fils d'un planteur du Missouri, rejoignent les rangs Bushwhackers.

 

Les deux jeunes apprennent rapidement à devenir des hommes d'armes chevronnés et des cavaliers émérites afin d'attaquer en raids les soldats de l'Union nordiste et leurs sympathisants. En 1862, leur unité, sous la direction de Black John, comprend l'imprévisible Pitt Mackeson, le gentleman George Clyde et l'ancien esclave loyal de Clyde, Daniel Holt. Pour affronter le rude hiver qui s'annonce, les Bushwhackers doivent se disperser et trouver un abri. Plusieurs membres se réfugient dans une tranchée à flanc de colline.

 

Leur vigile tombe sous le charme de la jeune veuve Sue Lee. Mais la réalité de la guerre les rattrape, faisant voler en éclats le petit groupe. Jake et Holt, les deux outsiders, restent solidaires. Avec le changement de saison, la violence croissante des combats, les jeunes gens atteignent le point de non-retour, au coeur de la guerre et en eux-mêmes...

 

Source : Cinémovies.

 

 

Avec un sujet audacieux comme celui ci, Ang Lee avait l'occasion de nous offrir une fresque noire et violente sur l'une des période les plus sombre des états unis. C'était aussi l'occasion de nous décrire sans manichéisme la guerre vu du coté sudiste, à travers les yeux de personnages croyant, malgré le coté étrange de la chose eux aussi à un idéal et n'étant pas forcément d'horribles brutes racistes.

 

Malheureusement, le film d'Ang Lee manque cruelement d'ampleur et d'émotion. La faute à une réalisation assez plate, et à des personnages manquant de profondeur, interprété qui plus est par des acteurs correcte mais sans plus (le personnage Jewel manque cruelement d'intensité. évidement, quand une chanteuse s'improvise actrice ...... ).

Seul la prestation de Jeffrey Wright, en esclave combattant aux cotés de son "maitre" avec les sudistes, retient l'attention.

 

 

Dommage mais bon, le film est tout de même a découvrir.

 

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