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Le village en folie/Vacances déchainée (maxime debest)(1980)


tubbytoast

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LE VILLAGE EN FOLIE (1980)

avec Jack Gatteau, Pierre Mirat, Muriel Montossey, Michel Duchezeau

Sortie salles Paris le 24 Février 1982

 

VACANCES DECHAINEES (1980)

avec Pierre Mirat, Madeleine Bouchez, Muriel Montossey, Bernard Legrand

Sortie salles Paris le 03 Mars 1982

 

 

Ces deux comédies érotiques tournées sans doute dans la foulée ont pour point commun le casting, l’humour et quelques scènes érotiques tristounettes.

Le premier film se déroule dans un petit village paisible de l’Aveyron où débarquent un beau jour un faux émir et ses sujets, l’Emir Abel. Après plusieurs courbettes du maire et de ses sujets et quelques frotis frotta avec les personnages féminins du village, le faux émir s’en retourne à Paris non sans avoir débauché la fille du maire.

 

Le second film voit deux familles cohabiter dans la même villa louée pour des vacances en Espagne. Un père et ses deux grands dadets de fils et une grand-mère et ses deux (grandes) petites filles. Malgré l’opposition des ainés, les plus jeunes feront évidemment parler leurs corps.

 

On n’est pas loin du degré zéro du film où il ne se passe finalement pas grand-chose. La palme revenant à « Vacances déchainéés » où les scènes au bord de la piscine ne sont même pas dignes d’un film de vacances familial.

Le seul attrait de ces films restent les comédiens. Le hardeur grassouillet Jack Gatteau dans le rôle du faux émir réussit à faire sourire (et rire) notamment quand il se met à parler arabe. Absent malheureusement du second film.

La jolie Muriel Montossey (ex égérie de « La classe » et de plusieurs Eurociné) surjoue parfois (lorsqu’elle pique des colères) mais reste la vedette principale de « Vacances déchainées ». Enfin, Pierre Mirat un habitué des seconds roles et surtout de la pub Ducros (« à quoi ça sert que Ducros se décarcasse ») remplit l’écran de sa présence (et de son accent) dans le rôle du maire ou du grand-père.

 

Le remplissage de pellicule par des scènes dépourvues d’intérêt (banquets, barbecue, bains de soleil prolongés au bord de la piscine etc.),le nom de Debest, nom qui a souvent servi de prête nom pour balancer des bandes pornos sur le marché et la présence de scènes bigrement soft (Gatteau baise à travers la robe d’une villageoise !) ont fait sous-entendre au critique de la Saison Cinéma que suite à une répression fiscale en matière de X à l’époque, seules des « copies censure » furent présentées.

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