meltingman Posted November 13, 2008 Share Posted November 13, 2008 6 épisodes réalisés pour HBO. Que dire ?... On était fébriles avec Sophie Pétoncule et Tidji à l'idée de voir « Little Britain » déverser l’irrévérence salutaire de l’autre coté de l’Atlantique.Mais on avait des doutes.Le premier épisode nous a rassurés, Matt Lucas et Dave Walliams étaient en grande forme dévastatrice (putain les bodybuilders dans la « locker room »… )De nouveaux personnages donc mais aussi des têtes connues comme Vicky Pollard (cette fois dans un camp de redressement militaro-américon), Carol Beer (« Computer says No ») devenu réceptionniste dans un hôpital à la « E.R » (voir même à la "H"), ou Daffyd Thomas devenu « The only gay on campus », mais… Passé trois épisodes, le rythme et les gags s’affaiblissent, s’amortissent en fait. On est dans la compile sans âme, dans le feu d’artifice sous la pluie. Redondance et routine sont les maitres mots de cette série supposée choquer l’américain de base. C’est bien dommage, car on est très loin du déchainement furieux du spectacle « Little Britain : Down Under » (en Australie donc) ou Dave Walliams violait littéralement de pauvres spectateurs hétéros/beaux gosses sur scène, sous des tonnerres de rires et d’applaudissements. Une subversion autrement plus couillue que ce portage finalement très léger (hormis les bodybuilders et cette putain de dernière scène du dernier épisode) de la série originale. Une Little Deception. Link to comment Share on other sites More sharing options...
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