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tromatoxic

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Messages posté(e)s par tromatoxic

  1. J'aimerais bien voir la version longue de ce Guilty of Romance : dans le montage international on sent quand même qu'il y a un manque du côté de la femme flic.

     

    Oui mais d'un autre côté c'est peut-être pas plus mal.

    Dès le début du film, on s'attend justement à une enquête policière classique et l'art de Sono Sion est toujours de nous embarquer là où on ne s'y attend pas.

    Cette enquête policière s'efface au profit de la description de personnages tous plus tordus les uns que les autres.

    Ca ma fait penser aussi au début de suicide club dont les 30 premières minutes n'ont rien à voir, ni dans le fond ni dans la forme, avec la suite du film.

  2. Reçu d'Almazon le Blu Ray sorti chez Eureka.

    Le Disque n'a que des sous-titres anglais, mais aucun problème car la traduction emploie un vocabulaire simple.

    L'image est très précise avec la HD mais la colorimétrie est (volontairement ou non) un peu terne et homogène (un peu comme celle de Norosko Dinner)

     

    C'est toujours bien trash. Ca commence comme une lente initiation sexuelle à la Eyes wide shut pour se poursuivre bien salement à la manière de Visitor Q.

     

    Comme toujours chez Sono Sion, un véritable travail sur le rythme (qu'on aime ou qu'on déteste), avec ses montées et descentes, de longues passages de moeurs avec diverses fulgurances.

     

    Je dirai tout de même un petit chouillat déçu, en ce que c'est l'un de ses films les plus accessibles et grand public, non pas en terme de chastesté et de sobriété (où le film va loin avec ses scènes uro en gros plan et compagnie), mais de thématique et d'accessibilité.

     

    Bref un tout petit peu moins tordu que certains de ses autres films où il faut se retourner les neuronnes dans tous les sens pour recomposer le puzzle.

     

    Et une grosse surprise aussi en ce que je n'avais jamais vu autant de full frontal dans un film japonais, alors qu'à ma connaissance les japs interdisent toujours les poils pubiens de leurs jolies créatures dans leur longs métrages...

  3. Vu dans une salle comble ce jour et je pense que c'est effectivement le meilleur de la série.

    Un ticket à 9€ amplement rentabilisé.

    Et c'est vrai qu'on se croirait parfois dans un pixar avec un mélange d'émotion, d'humour et d'action plutot mature et parfois éloigné des clichés de blockbusters.

     

    Et les deux actrices, dont aussi la miss Sédoux, sont à tomber. Du film commercial intelligent avec plein de surprises.

  4. Moi j'ai appris pour la polémique seulement après avoir vu le film : d'un côté on s'en fout un peu, c'est pas ça qui aurait permis au film de marcher Après ce sont les raisons : j'ai entendu parler que le film était accusé "d'incitation à la prostitution". N'importe quoi.

     

     

    D'accord avec toi là aussi.

     

    En fait je pense que pour les bobos de la commission de contrôle, dès qu'un film ne dénonce pas avec de gros sabots la prostitution, c'est qu'il la présente sous un jour favorable.

    Toujours le même problème.

    Comme dans le récent reportage Hitler apocalypse : le commentaire audio qui suit les images, au lieu de rappeler simplement des faits historiques, ne cesse d'inciter lourdement sur la personnalité criminelle et intolérable du Fuhrer, pour éviter qu'on puisse le taxer de la moindre fascination.

     

    Le film ne fait pas l'apologie de la prostitution mais heureusement il évite tous les clichés inhérents aux genre sur les pauvres filles en détresse qui vendent leur nénette pour un crouton de pain à la fin du mois avec une méchante mère maquerelle derrière. L'héroïne assume sa liberté, ce qui a du déranger la dite commission.

  5. D'accord avec toi, c'est vrai qu'à défaut d'être pleinement réussi, le film ne laisse pas indifférent et continue à hanter après la vision, surtout sur grand écran.

     

    Quant à ton l'analyse de ton copain, je pense qu'il devrait s'inscrire sur le site. Ou que tu me donnes son portable pour je lui paye la place pour m'accompagner la prochaine fois que j'irai voir un film pour autiste. Son analyse est cohérente et raccroche bien divers pans du film, bravo.

     

    Ce que l'on ne comprend toutefois encore pas, c'est pourquoi elle serait aussi raide dingue de cet ami, complètement débilos, limite clodo, moche et finalement aussi lubrique que tous les autres hommes qu'elle se tape (voir la scène il veut mater ses nichons). Si cet ami incarnait une forme de pureté face à tous les autres pervers, on comprendrait mais là c'est pas le cas...

  6. Vu en salles aujourd'hui et mon avis rejoint celui de Jeremie et Mister Ouine.

     

    En fait il y a deux films en un:

     

    Le premier, intéressant par moment, est celui qui concerne l'intrigue de "prostitution" où par brefs instants j'ai retrouvé les bonnes pulsions jouissives que j'avais eu en salles avec des films comme eyes wide shut ou martyrs (oui dis comme ça bizarre, mais c'est un film sur des vieux qui se tapent des jeunes d'une manière assez orgiaque).

    Mais dans cette partie, manque de la musique, du cul et de la perversion, de la mise en scène (malgré un très beau travail sur la lumière) ...

     

    Le deuxième, bien puant, sorti tout droit des mauvais films des nighties, genre Ken loach ou Al Hartley, qui est une succession de n'importe quoi pour faire du remplissage sociologique pour plaire aux critiques genre cahiers du cinéma (?). Une succession de scènes inutiles qui plombent totalement le rythme et le côté envoûtant des scènes de prostitution (comme toutes les scènes avec le mongolo en pyjama! c'est son frère, un ancien amant??? Des scènes qui servent à montrer que chacun a son addiction, la mère l'alcool, le frère les drogues et la soeur le sommeil et le cul??? Bref apparemment je ne suis pas le seul à ne pas avoir compris ça me rassure)

    Bref pour montrer un peu de cul, il fallait un alibi cinéma chiant avec pathos obligatoire.

     

    Le genre de film qu'on a envie de furieusement remonter.

     

    Quant à la petite polémique sur l'interdiction aux moins de 16 ans, je pense qu'une interdiction aux mois de 12 ans aurait été plus appropriée.

    Mais d'un autre côté, en fait non, puisque je ne serai pas allé voir le film en salles

  7. Pareil que vous deux.

    Quand on revoit le film, qui en définitive est parfaitement cohérent tel quel, on comprend assez peu pourquoi tant de plumes se sont enflammées pendant des années sur la version director's cut plus fantasmée qu'autre chose.

     

    Revu le même jour que forces spéciales en salles et la comparaison est sidérante.

    On se dit que c'était l'époque où on l'on arrivait encore à dresser un plan durant plus de deux secondes et à poser une caméra au sol.

    Mais paradoxalement on se dit aussi que c'est un peu aussi McT qui a fusillé ce language avec son Die hard 3...

  8. Après une recherche rapide, curieusement aucun topic sur ce film (?!) alors que c'est quand même l'un des plus grands films de la terre.

     

    Reçu le Blu Ray collector limité à 3000 exemplaires qui vient de sortir chez Metropolitan.

     

    Je ne l'avais pas revu depuis un moment et je me suis repris une belle claque.

     

    La vision du film permet vraiment de dire que depuis plus de dix ans, aucun film en costume du même genre n'est assez allé aussi loin dans la rigueur, l'intelligence, la direction artistique et la mise en scène et pourtant je ne suis pas spécialement fan des films de McT.

     

    Pas encore vu les bonus, mais la qualité du disque est très bonne:

    - image impeccable malgré quelques rares plans un peu justes dans les noirs

    - son nickel car pour une fois dans un Bluray le son des dialogues est du même volume que celui de la musique

  9. Quelle érudition Bravo!

    En fait avec plus de recul, ce film est vraiment intéressant.

    Peu de clés sont données et chacun peut y voir son interprétation.

    Perso, j'ai essayé de ne pas trop l'intellectualiser lors de la vision pour le regarder davantage en "vision automatique", à savoir en me laissant porter par les sensations qu'il procure.

    Et c'est peut-être pour ça que j'y ai vu une dimension plus animiste (proche peut-être de la vision de la nature sauvage et barbare de l'ancien testament auquel tu fais référence).

    Dans cette vision animiste, les éléments ont énorment d'importance (le grand feu qui ravage la végétation, l'eau purificatrice, le vent qui anime le feu la terre et le sable omniprésent, le soleil qui envoie on ne sait trop quoi, etc...

     

    Quant à la sorcière aux aisselles poilues, son regard une fois purifié au sortir de l'eau est l'un des plans les plus subjuguants que j'ai pu voir sur grand écran!!!

  10. Vu en salles aujourd'hui et bien que grand adorateur du cinéma du Dumont, je reste plutôt partagé.

    Effectivement, je pense que c'est son film le plus mineur.

    Comme d'habitude un scope de malade et un travail assez dément sur le son (et les autres Dumont ils sortent quand en BLuray ???????)

     

    Ce qui est déroutant et paradoxal, c'est que c'est son film le plus hermétique (c'est vraiment très lent, très dépouillé et presque dépourvu de scènes chocs par rapport à d'habitude) et en même temps l'un de ses films les plus simples (grosso modo c'est Théorème dans les dunes de la côte d'opale).

     

    Certaines scènes sont sublissimes (la fille aux aisselles poilues "baptisée" dans la rivière), d'autres plus décevantes ou déroutantes (la scène où le gars tabasse à coup de bâton l'amoureux de fille semble hors de propos par rapport au reste du film; pourquoi donner une dimension christique au gars alors que le film semble beaucoup plus animiste?...)

  11. Vu en salles aujourd'hui.

     

    D'emblée ca fait quand même vraiment du bien de retrouver sur grand caméra une caméra posée, des plans chiadés, des travellings qui foutent bien la gaule, tout ça bien loin de la shaky cam et bien loin des choix discutables de mauvaise exposition à la black swan.

     

    Le tout avec une BO qui fout bien aussi la patate sur grand écran, mélange de hard Fm 80 confirmé par le beau lettrage rose sur fond noir du générique, et de musqiue à la Badalementi.

     

    Première excellente heure, magique, gracieuse, éthérée, mystérieuse.

    Comme dit plus haut, on pense effectivement pas mal au film de Friedkin et aussi aux derniers Cronenberg (ainsi qu'à Crash d'ailleurs).

     

    Pour moi ca se gate dans le dernier quart d'heure, où il n' y a plus grand chose à raconter et plus beaucoup de sensation, le film devenant un polar plus banal avec une fin de lonesone cow boy vu cinquante fois et pas forcément cohérente avec le reste de la tonalité du métrage.

  12. Bien aimé aussi pour ma part.

    Effectivement, comme indiqué dans vos messages, plutôt sensitif, avec du portnawak au milieu.

    En fait le problème du film est le même que celui d'ANTICHRIST, à savoir un mélange de très belles scènes cosmiques planantes, avec des scènes des blabla branlouille qui cassent le rythme.

     

    Sa filmo est un peu divisée en deux: ses films esthétiques (Europa, Element of crime...) et ses films dégueus tout pourris (Dancers in the dark, breaking the wawes). Depuis Antichrist, j'ai un peu l'impression qu'il mélange ces deux parties de sa filmo.

  13. Reçu hier aussi et visionné d'urgence hier soir!!

     

    J'adore ce film que j'avais été (l'un des seuls??) à découvrir tout de suite quand il était sorti en VHS.

    Il m'était resté en mémoire comme l'un de trucs les plus improbables et incompréhensible jamais tourné.

    Son nouveau visionnage est à la hauteur de mon souvenir.

     

    Le digipack est superbe.

    L'encodage est très bon vu le support (si l'on veut être pointilleux, sur un plasma 127cm on voit quand même un peu les lignes et un très très léger effet pixel mais qui ne dérangera à mon avis personne)

     

    J'ai regardé le film avec le commentaire audio de la nuit excentrique (putain d'idée les gars!! génial!!!) qui change énormément la vision du film (il y a un léger bug au bout de 40 min où le son s'arrête et parfois vers la fin un très léger décalage son, mais à nouveau rien de bien gênant).

     

    Le plus drôle reste les commentaires de LAUNOIS sur son film, comme lorsqu'il explique par exemple (spoiler maybe) que si le monstre porte un uniforme SS c'est parce qu'il a récupéré, je cite, toute une série de "décorations" (sic).

    Ses commentaires sont aussi passionnants puisqu'ils permettent d'apporter une "autre compréhension au film" (le fait que le monstre pense en fait à sa soeur en voyant l'héroïne : qui avait compris jusque là qu'il s'agissait de sa soeur?? etc...)

     

    A quand le prochain? J'achète tout de suite!

  14. Vu en salles et bilan plutôt mitigé en ce qui me concerne.

    La première heure est effectivement un petit bonheur de nostalgie, un peu surfaite et calculée, mais il y a moyen de prendre son pied si on se laisse aller.

    Hélas tout se barre en couille dans la dernière demie heure, sans le moindre enjeu, qui est une copie quasi conforme de Cloverfield.

    Quelques jours plus tard, le film ne laisse strictement aucun souvenir.

    Vite vu vite consommé.

  15. Je viens de voir le blu ray que j'ai acheté sur amazon en super promo en ce moment à moins de 11 dollars hors frais de port.

     

    D'abord, le blu ray est à tomber : image sublime qui met en valeur les nombreuses scènes à colorimétrie blanche avec une finesse au top. Sur chaque plan d'arbre, on a l'impression de pouvoir toucher les feuilles, etc... une vraie réussite technique, ce qui n'est pas toujours le cas des BR en général.

     

    A part ça le film... et bien comme écrit plus haut, c'est quand même la déception qui l'emporte au final.

    Passé le pitch, c'est un film d'horreur ultra banal (qui ressemble effectivement à des Yuzna type le dentiste), film de couloir assez soporifique, avec peu de suspens, peu d'enjeu,

    C'est d'un niveau un peu moins laborieux qu'un cold prey, mais bien en deça de A Serbian film, pour ne donner que deux exemples.

    Quant au côté soit disant Hardcore du film, le métrage est en réalité très soft (pas une touffe, deux paires de seins à peine entre aperçues, rien de scato malgré le potentiel énorme, et un gore des familles)

  16. Super laborieux, fadasse, ultra téléphoné, pour ma part rien à sauver dans cet énième destination finale/ring vu en DVD.

    Quant à Shannyn Sossamon, c'est effectivement le seul intérêt du film ok, mais bon au moins dans la daube similaire aussi formatée qu'était "the unborn" on pouvait voir son héroïne en grosse culotte blanche... là ici, pas un décolleté, pas un string et même pas une paire de jambes puisque la demoiselle passe tout le métrage en pantalon et gros pull.

  17. Vu en salles ce week end, avec en tout et pour tout un seul autre spectateur dans une très belle salle de ... 150 fauteuils.

     

    Ma critique va rejoindre celle de Florient.

    La musique déchire tout (ectasy!!!), le scope est à tomber, mais l'histoire... qu'est ce qu'on s'en branle...

     

    La mise en scène est vraiment très réussie et originale, puisqu'elle se voit calquer un style de giallo techno sur une histoire de gros branleur qu'on croirait sortie d'un film français des années 80, nombriliste, pathos de café de commerce, je t'aime je ne t'aime plus, etc...

     

    L'histoire de deux paumés qui attendent deux heures de films pour se rouler une pelle pour bien insister sur le fait qu'ils sont paumés... je me marre d'autant plus que ça été vu 100 fois... les fameux films sur l'incommunicabilité... ah ah ah...

     

    En gros, ce film c'est un peu comme si Argento avait tapé un ecsta pour mettre en scène un scénario de Jacques Doillon

     

    Au milieu de tout ça, surnage une vraie putain de scène magique, celle de la boum, avec la musique qui tue, et où une caméra a rarement su capter autant de non dits avec puissance dans les yeux d'ados.

  18.  

    En tout cas, j'en reviens toujours pas. Quel film...

    Pareil...

     

    Le film fait penser à de l'acid.

    On lit tout le temps l'expression "film sous acide" pour tout et n'importe quoi, dès qu'un film est coloré, qu'il est peu décalé ou présente un aspect cartoonesque. L'expression toujours utilisée par des journalistes qui n'ont jamais un gouté un buvard.

    Ce film procure vraiment les effets d'une remontée de trip, mélange de sentiments très intérieurs, parfois très désagréables, parfois proches de l'extase et ce sans réelle continuité puisque le montage est chaotique à la manière d'une succession de flashs violents (un peu à la manière d'Eternal Sunshine)

    Il te reste imprégné dans la tête après absorption, avec des souvenirs agréables ou non, mais très forts...

     

    Ce qu'il y a aussi de sidérant dans ce film, c'est que c'est quand même un réal de 60 balais qui fout bien la claque en réinventant un langage cinématographique, là où tous les jeunes chiants du cinéma actuels ne prennent plus de risque et se contentent de singer tous les anciens dont ils ont usé les VHS dans leur jeunesse...

     

    Avec le recul, il y a certes quelques très légers défauts (la scène des dinosaures est problématique et les scènes avec Sean Penn sont soit trop courtes soit trop longues) Effectivement vivement une version longue!

  19. LE CLAQUAGE DE BEIGNET de cette année pour moi!!!!

     

    Un film sensitif, un vrai, puisqu'il développe de réelles sensations physiques chez les spectateurs, ou en tout cas chez moi.

     

    Anticommercial au possible, il va se faire démolir par la masse c'est certain, car il n'est pas vraiment pas grand public du tout (en gros un méchant trip au croisement de Stand by me et d'Enter the Void, avec un peu de 2001 au milieu) et il va aussi se faire démolir par une certaine intelligentia qui va casser ses références bibliques prétenduement simplistes.

     

    Perso, j'ai été happé par le film comme jamais...

     

    Je n'y ai jamais vu de moments naïfs et cucul la praline comme écrit un peu partout, mais je l'ai beaucoup plus ressenti comme un bad trip oppressant avec une sorte d'angoisse sourde et latente de chaque instant.

     

    Et ça m'a fait chialer plusieurs fois, ce qui ne m'arrive absolument jamais.

     

    Pour ceux qui ont éprouvé des sensations du même type, sensations très fortes et physiques, à la vision de VALHALLA RISING en salles, foncez putain foncez! Le film doit se voir en salles impérativement.

     

    C'est un film lugubre, angoissant, terrifiant, mais je pense que chacun le vit avec son vécu et sa sensibilité, ce qui est l'apanage d'un très grand film.

  20. Vu aujourd'hui dans une salle plutôt bien remplie et mon avis rejoint celui de sly.

     

    Le film est plus gore que le 1 et 2 et retrouve les mêmes hectolitres de sang que la version salles du 1er, ce qui est plutôt surprenant pour une série devenue très grand public avec le temps.

     

    Plus un remake du premier qu'une véritable suite, le film s'amuse des codes et des remakes avec un regard introspectif aussi intéressant que l'était Freddy sort de la nuit.

     

    Surtout, il apporte son lot d'analyse du cinéma actuel et de la société d'aujourd'hui pour être film quasi sociologique, ou qui en tout cas pourra être vu comme tel dans quelques temps.

     

    C'est bien écrit, jusqu'au twist, cohérent alors que celui du 2 (film souvent surestimé) et 3 ne l'était pas.

     

    Comme beaucoup écrit ailleurs, la vraie fausse note du film reste son ultime fin...

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