Steve

Vu en 4Dx...

Ca envoit litteralement le bois. Sur le papier, c'était vraiment le film fait pour ce genre d'expérience, et ça ne déçoit pas. Les séquences près des tornades, j'était super mal à l'aise, le vent et l'eau dans la gueule, le fauteuille qui balance de partout, et les eclairs, fumigènes dans la salle, le grand spectacle. Je suis sûr que ça va paraître ridicule vu dans une salle "normale", mais je m'en fous, j'en ai vraiment eu pour mon argent. Sinon c'est un sous-Twister à l'ère found-footage (très dispensable ici d'ailleurs). Pour un budget de $50m, comme Cloverfield, c'est également absolument bluffant.

J'ai trouve ca super joli, DiCaprio et Edgerton sont vraiment bons. J'ai trouve le premier plus en retenu qu'a l'accoutume (c'est a dire chez Scorcese), c'est peut-etre quand il ne joue pas pour l'Oscar. Par contre faut avouer que 2h20 c'est trop long pour une histoire qui tient largement en 90 minutes maximum. Ces films qui cherchent artificiellement a faire epique, c'est lourd comme le couscous.

Putain la rage, en plus si tu sais deja ce que c'est, ca t'aurait plu.

On peut dire que le pari est reussi pour Disney. Integrer 5 nouveaux heros improbables d'un coup dans l'univers cinematique Marvel, et un carton au B.O. qui n'etait pas assure d'avance. James Gunn fait son film, a sa sauce, avec son humour et son sens de la direction artistique, ce qui est quand meme tout a l'honneur des gens de chez Disney/Marvel.

Je ne suis pas (ou plus) la cible du film mais j'aurais eu 12 ans j'en aurai eu plein les yeux et j'aurai collectionne toutes les figurines. C'est ni plus ni moins que Star Wars ou le 5eme Element sans leur mievrerie. Les 5 comperes sont attachants, les seconds roles ne sont pas en reste (Michael Rooker et John C. Reilly en particulier). Pas mal de gags sympas, mais pas non plus a se rouler par terre. Mais c'est tres subjectif, le reste du public a l'air d'adorer.

Reste les mechants de cet univers avec leurs pierres magiques a la con, ils alourdissent a chaque fois le truc que ce soit Thor ou Avengers, c'est chiant que ca soit la base de tout cet univers en fait. Mais je n'y connais rien a Marvel, ca se trouve c'est ce qu'il y avait de mieux a faire pour relier les heros entre eux.

Attention, restez jusqu'au bout du generique, grosse grosse surprise !!!

Vu, sur petit ecran malheureusement. Comme a peu pres tout le monde, c'est assez deconcertant par moment (le retour aux sources a la Pitch Black tout en faisant un lien tres maigre Les Chroniques, le milieu du film tres creux, des persos secondaires bien inutiles). Il n'y a scrictement aucun apport substantiel a l'univers de Riddick mais en tant que produit de serie B avec des monstres qui pesent, ca remplit son contrat.

Content que Diesel et Twohy aient reussis a concretiser leur projet, maintenant je crois que ca sent un peu la fin. Petit film sans ambition qui n'a pas recolte grand chose, je ne pense pas qu'Universal puisse en tirer grand chose d'autre.

Deux dindes de milieux opposés doivent faire équipe pour remonter le temps et changer le cours de l'histoire : enlever la dinde des menus pour de bon !

Bon j'en parle pour ceux qui ont des mômes ici. J'ai trouvé ça très drôle. C'est Chicken Run mélangé à Terminator. Animation assez classe pour un film indépendant. Le film est passé complètement à la trappe aux U.S. eavec polémique autour d'un prétendu racisme du film (une tribu de didons grimée façon indiens d'amérique). Ce que je vois surtout, c'est qu'ils voient vraiment le mal partout, et que s'il y a un truc qui les dérange c'est que le film se foute carrément de la gueule des religions monothéistes.

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Les deux policiers Schmidt et Jenko, après être retournés au lycée pour mettre à découvert un nouveau réseau de traficants, retournent cette fois-ci à la fac pour démanteler un trafic de drogues.

Mouais, j'ai préféré le premier, que j'ai revu y'a peu de temps d'ailleurs. Il n'y a qu'un seul running gag de vraiment convaincant, c'est tout ce qui est point de vue sarcastique sur les sequels. C'est très drôle, mais seulement digne d'un sketch pour les MTV Movie Awards. Le reste du film est plutôt lourd et pas super inspiré. Reste Ice Cube avec un rôle plus developpé que dans le premier Au final, ça m'a fait un peu l'effet d'Ocean 12 si vous voyez ce que je veux dire.

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Benj et Dumé vous allez vous évanouir toutes les 10 minutes

J'avais déjà été convaincu par le premier prequel, là Matt Reeves nous sort un opus dans la droite lignée du film original. Très sombre, très beau. Il y a des idées très ambitieuses dans le script et dans sa mise en scène, je dois dire que les producteurs ont eu des couilles. Serkis est hallucinant, on le répète à chaque fois, mais je pense qu'on ne peut que se pâmer devant son boulot et celui des animateur cette fois. Reste que, malgré une jolie fin, il reste encore un bout de l'histoire à raconter, et j'espère qu'ils ne vont pas faire durer le truc trop longtemps

Ca a fonctionne sur moi, meme si je reconnais volontiers que le film se resume a pas grand chose, c'est surtout un regard glacial sur un futur proche ou l'anarchie et l'individualisme regne. C'est d'une beaute sans reproche, le scope est magnifique, le desert Australien est decidemment le decor le plus intriguant qu'il soit, et le duo d'acteurs a une sacree rage. Je ne m'attendais pas a tant de brutalite, c'etait un vrai choc a chaque fois, et pourtant j'avais vu The Raid 2 la veille.

Je vais tout de suite tacher de regarder Animal Kingdom.

J'avais vu le premier sur un ecran d'ordi avant de le redecouvrir en salles quelques mois apres. Bein je suis content d'avoir decouvert celui-la en salles d'abord. J'ai joui de bout en bout. Premiere scene et l'arrivee du titre du film, je me dis le mec a une proposition de cinema et le sens du montage, ensuite la baston dans la cour de la prison et je peux definitivement m'installer confortablement dans mon fauteuil : Evans est juste un monstre du cinema d'action et je suis pret a me faire balader de "set piece" en "set piece". J'ai une preference pour le protagoniste tel qu'il est presente dans le premier film ou il est plus vulnerable. Dans The Raid 2, on n'est jamais vraiment inquiet pour lui. Par contre j'ai bien aime le chef mafieux et son fils, les negociations avec les gangs rivaux tout ca, c'est cousu de fil blanc mais ca cree une intrigue interessante par rapport au premier film.

Mais niveau esthetique (direction artistique, cadrage, realisation, choregraphies, ...) c'est du bon gros claquage de beignet !

Apres coup, c'est vrai que le film est certainement trop long et que la structure du film dans le premier acte est denuee de bon sens, mais les mecs il va falloir le revoir en salles. Le son, la lumiere, le scope, ca tabasse pour de vrai ! Je pense qu'a la maison ca se regarde comme un bon porno mais au cinoche c'est vraiment autre chose...

Je veux deja le revoir.

Ma femme a adore, ce qui j'imagine montre que le film reussit au moins son pari. Honnetement Best Night Ever est different de leur films habituels. Ici on a une vraie histoire qu'on suit sans diverger vers des parodies minables. C'est clairement pense comme le Hangover feminin, c'est extremement vulgaire et scato, mais sans qu'encore une fois ca n'en soit une parodie a aucun moment. Le gag de la poubelle et le montage des defis dans Las Vegas sont par exemple reussis. Ca n'a rien du couter, du coup ca rend le film eminamment plus symphatique que leur parodies a $20m.

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Chaque année, durant 12 ans, le réalisateur Richard Linklater a réuni les mêmes comédiens pour un film unique sur la famille et le temps qui passe. On y suit le jeune Mason de l’âge de six ans jusqu’ à sa majorité, vivant avec sa sœur et sa mère, séparée de son père. Les déménagements, les amis, les rentrées des classes, les premiers émois, les petits riens et les grandes décisions qui rythment sa jeunesse et le préparent à devenir adulte...

Mais pas claquage de beignet. Sur la fin, ça devient un poil longuet. Un peu plus, et on avait affaire à la version texane de la trilogie de Klapisch. Et puis n'est pas l'ultime film sur la jeunesse tant c'est quand même très orienté Southern States. A part ces petits défauts, le film est un fabuleux voyage à travers les années, avec plein de détails chronologiques et culturels qui parsemment le film. Comme d'hab, Linklater n'est pas un manche avec ses acteurs, mais là, le boulot avec l'acteur principal du film est quand même hors norme il faut avouer. Si vous aimez les films de réal, en particulier la trilogie Before, c'est du même niveau. Du cinéma humain, des dialogues naturels, des performances au desssus du lot de tout le cinoche indé U.S. Un petit bijou à ne pas manquer. Vraiment une drôle d'idée de sortir ça en plein été

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J'ai eu du mal aussi avec la structure Inception-esque de l'intrigue. Je ne suis jamais rentré dans le jeu, je n'en avais rien à foutre des persos et j'attendais bêtement le dernier twist qui allait forcément remettre en cause ce que je m'embettais à comprendre depuis le début. Enfin hormis ça, la mise en scène est classe, la photo déchire, tout ce qu'on peut attendre de Boyle en terme de rythme est là. Mais pour moi c'est un coup dans l'eau, alors que j'avais plutôt accroché à 127 Hours par exemple.

Mouais c'est effectivement pas hilarant. C'est plus proche de Borat que de Jackass, mais le rythme est catastrophique. Mais chapeau à la bande et à Paramount qui arrivent à toujours en tirer des millions de dollars de bénéfices à chaque fois.

On the massive ship Sidonia, created from the remains of an Earth destroyed 10 centuries ago, the KNIGHTS OF SIDONIA continue to fight for the survival of humankind. Giant monsters known as "Gauna" were responsible for the obliteration of the solar system, sending the Sidonia and other ships hurtling into space. With no other home to cling to, humankind then made something of a new start on Sidonia, pioneering new skills such as cloning, human photosynthesis, and asexual reproduction. As the story begins, young "underdweller" Nagate Tanikaze (Ryota Ohsaka), who has been living in the subterranean levels of Sidonia with only his grandfather, has made contact with the rest of the Sidonian population. All the time he's been underground, he's been using an outdated training module to sharpen his space-fighting skills. Now he's swiftly selected to be one of the elite Guardian pilots who defend Sidonia from the ever-attacking Gauna.

Je ne m'y connais pas beaucoup en animé. A mon grand regret, je pense qu'il y a des tonnes de trucs qui me plairaient, mais des fois faut quand même avouer que ça prend du temps à se mettre en place, et il y a des clés de lecture qui m'échappent pour pouvoir tout de suite accrocher. J'ai bien entendu reçu un claquage de beignet avec Evangelion il y a déjà quelques années, et je lui cherche son successeur, alors j'ai tenté ce produit distribué par Netflix car pour l'instant il y a une saison et les critiques étaient très bonnes. Pour faire le pitch en 4 mots, c'est Pacific Rim in Space. Mais en 20 minutes, il y a déjà plus de profondeur que dans les 2h du Del Toro. Les personnages sont attachants, l'univers est riche, après je ne peux pas juger de la qualité de l'animation dans sa globalité, mais certains séquences sont

(Faut activer les ST youtube)

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Je n'avais aucune attente. Mais j'ai quand meme ete decu, car au dela de l'exercice de style, effectivement il ne reste pas grand chose. Je serai curieux de lire le script de Miller pour voir ce qui etait deja la ou ce qui vient des trucs de petits malins de Park. Honnetement j'ai trouve le temps long au final, vu que l'histoire tient en pas grand chose, on a l'impression que le film pose son atmosphere en pres d'1h avant de demarrer. Certaines sequences sont cependant bien bien foutues malgre l'esbrouffe qui les caracterise, il faut le reconnaitre.

Un pianiste de renom abandonne sa carrière en raison de son trac paralysant. Il revient sur scène cinq ans plus tard, mais quand il s'apprête à jouer, il voit qu'une menace de mort est écrite sur sa partition. Il va devoir jouer le meilleur concert de sa vie pour sauver sa femme...

Un thriller hitcockien qui appose une mise en scène virtuose inspirée de DePalma à un script pretexte à la Phone Booth. C'est très honnête. Une fois le concert lancé, ça passe comme une lettre à la poste. Comme d'hab dans le ciné espagnol, c'est emballé de manière très classieuse mais la direction d'acteurs en anglais n'est pas toujours à la hauteur. Pas de quoi bouder son plaisir ceci dit.

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Comme tout le monde, je le recommande chaudement. Mick est une sacrée ordure et c'est un show permanent avec des scènes mémorables qui s'enchainent. Bien partant pour d'autres suites, même si la toute fin du film est un peu rapide et décevante.

Pas aimé. Je pense que c'aurait ete encore pire si je n'avais pas le souvenir du Park. Car on ne croit absolument pas au plan diabolique du mec dans cette version, et on aurait vraiment du mal a mettre bout a bout les morceaux si on ne savait pas a l'avance le pourquoi du comment. L'enquete de Brolin est baclée en 10 minutes... Sam Jackson ne sert a rien, mais la Olsen a oilpé wa wa weeewaaa. Et Pom Klementieff est en effet sexy en diable. C'est toujours ca de gagné.

dapres imdb ca sure 2h45.

je suis pas sur de pourvoir tenir.

on comprend toujours rien a quel robot blaste quel robot?

walrberg joue 20min avant de disparaitre?

Les 2h45 passent plutôt bien, on va dire, par rapport aux précédents films qui sont pourtant plus courts. C'est une question de montage. Dans le 2 et 3, je finissais par m'endormir dans les 45 minutes d'explosions frénétiques finales. Dans Extinction, les différentes batailles s'entrecoupent pas trop mal et on ne s'eternise pas sur des duels entre 2 robots, qui sont aussi plus lisibles dûs à un aspect particulier du design des robots enemis. Ca coupe souvent sur des plans larges, ça aide aussi. Par contre, dès que Bay filme des bastons en live entre des humains, c'est carrément foireux (shaky-cam, plans sérrés et découpage à la ramasse).

Et Walhberg est franchement le gros point fort. Il a un peu le rôle de Bruce Willis dans Armageddon, papa ours qui ne veut pas voir sa fille grandir, mais qui peut sans problème se transformer en héros. Au contraire de Shia Labeouf, Marky Mark prend les choses en main, il attrape un gun et blaste tout ce qu'il peut au lieu de crier dans tous les sens "BUMBLEBEEEEEE! OPTIMUUUUS"

Ca poutre pas mal je dois dire. C'est moins le bordel que dans les 2 derniers. Le cast fait dans le plus classique aussi. En tant que semi-reboot, ca tient donc bien la route, et c'est plus regardable dans l'ensemble (je ne me suis pas endormi, ce qui m'etait arrive avec les deux derniers). Maintenant, ca propose quand meme exactement la meme chose visuellement que la derniere trilogie, du coup c'est quand meme dispensable il faut bien avouer. Pour les fans de trucs qui petent dans tous les sens, je crois que le ratio d'explosion, froissage de tole par minute depasse largement la premiere trilogie. Ici il n'y a pratiquement pas d'histoire secondaire, de bla bla pour remplir des scenes entre deux demos d'ILM. C'est vraiment leur show par excellence, et en IMAX 3D on ne peut pas imaginer un film plus approprie.

Pour ceux qui craignaient un peu ca, Bay s'est calme sur l'humour foireux et les transformations/combats sont un poil plus lisibles desormais. Quelques clins d'oeil sympa comme le bus Victoria's Secret qui explose, la scene dans le vieux cinema au debut, et un regard sarcastique sur l'industrie de l'armement, sa relation incestueuse avec la C.I.A., on a fait du chemin depuis le premier Transformers mine de rien.

Un petit mot sur la co-production avec la Chine, qui contrairement a Iron Man 3 se ressent vraiment. Hong-Kong n'est pas filme comme une carte postale, y'a quelques scenes en cantonais et pensees pour le marche chinois.

Ca y est c'est terminé. Une tuerie.

Sur la deuxième partie, on est presque dans l'adaptation de No Country For Old Men

Bon tout se conclut dans le dernier épisode, je ne sais pas qu'elle est l'idée pour lancer une deuxième saison, mais c'est très bien comme ça.

J'aimerai bien personellement qu'il reponde par son propre film avec Dennis Rodman. Ca serait sans doute plus drole que ce que montre pour l'instant cette bande-annonce.

Talk-show host Dave Skylark and his producer, Aaron Rapoport, score an interview with Kim Jong-Un, dictator of North Korea. But when the CIA asks them to kill Kim,they become the least qualified men to ever assassinate.

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