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Florent

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Messages posté(e)s par Florent

  1. je rejoins en grande partie mes camarades ci-dessus. Le film est fort efficace, des personnages super bien campés par un casting haut de gamme, Hillcoat évite les trucs faciles au profit d'une histoire "classique" qui restitue bien le climat de l'époque.

     

    C'est violent, parfois très violent mais jamais stylisé de manière outrancière. C'est beau mais il n'y a pas de poésie. Je n'ai pas vu le temps passé et c'est déjà beaucoup à l'heure actuelle.

     

    Je reste définitivement marqué par The Proposition vu un soir d'avril à Lyon dans un festival, je crois que c'était un lundi... depuis Hillcoat n'a jamais réussi a réitérer ce moment magique

  2. enfin vu et je dois avouer que je suis extrêmement déçu.

     

    C'est long, très vite répétitif, la scène du début est ridicule. Vouloir poser des enjeux dramatique avec une histoire de femme enceinte (quelle originalité). On se demande même si cela n'a pas été rajouté avant pour donner une tension à l'égard du perso mais en définitive je me fous des personnages, l'immeuble est en carton pate , trop de coup de coude, trop de pas chassé et d'entrechat (des vrais gymnastes c'est indonésien). La construction des bastons est décalquée dans toutes les scènes. ça fait mal par moment, ça surprend également mais ça m'a saoulé.

     

    Bref un film de festival à découvrir sur grand écran, avec de l'ambiance parce que la seul dans des conditions moyennes bob bof c'est moi ou l'image du dvd m6 est dégueulasse le son aussi faudrait que je le revois sur une installation digne de ce nom.

  3. bon bah c'était naze.

     

    Plus trop de souvenir du 1 mais j'avais plutot bien aimé. La on touche le fond du fond de la médiocrité. Comment des gens qui ont du talent peuvent arriver à un tel truc aussi vomitif ? C'est inintéressant au possible, la trame scénaristique est d'une limpidité incroyable. J'ai failli arrêter à chaque pub...

     

    Le néant artistique . A cote le dernier Batman c'est un chef d'oeuvre

  4. Remi Gaillard piège confessions intimes. TF1 retire l'émission de son site, quelqu'un l'a enregistré ?

     

    http://www.ozap.com/actu/tf1-confessions-intimes-piege-par-remi-gaillard/446630

     

     

    http://videos.tf1.fr/confessions-intimes/emission-du-16-avril-2013-7920929.html

     

    tu m'as pris pour une truffe ?

     

    TF1 a retiré la séquence car j'ai cherché à plusieurs endroits et pas de traces.

     

    Je me trompe peut être mais faut me donner le time code parce que j'ai rien trouvé

  5. comme tout le monde ce film est une pure claque émotionnelle et visuelle. Peu importe que Sydney Pollack ait tourné une scène, que Burt a cassé les couilles à Frank.

     

    Le film est une merveille qui m'a longtemps hanté dans mon adolescence je l'avais pris en cours de route sur TMC sans connaitre le titre et j'avais été captivé par ce scenario incroyable et ce crescendo d'émotions.

     

    Très fort, très beau. Très grand film.

  6. Bon du coup je vais sans doute être le premier sceptique : c'est en effet pas dégeu pour un premier long métrage, et Foy aura sans doute d'autres choses à dire, mais passé la première partie assez flippante (qui sent bien le vécu), j'ai eu juste l'impression de voir Heartless en dix fois moins réussi

    En fait, ça se dégonfle quand le film est censé se réveiller, et toutes les situations semblent à l'avenant. Un joli pétard mouillé en ce qui me concerne

     

    ah mais non jérémie je te rejoins sur tout voire plus car moi j'ai trouvé ça ridicule de bout en bout. Je ne suis jamais rentré dans le film et je n'ai eu aucune empathie pour le perso

  7. c'est à voir absolument,(et franchement avec cette fin, j'ai crié au chef d’œuvre tout seul chez moi comme un con, après si on aime pas les fins en queue de poisson...)

     

    photo magnifique et acteur incroyable ! Bruce Greenwood est surprenant en trappeur... de tout façon il est méconnaissable.

     

    Je lisais les derniers avis pour The Master et je me disais que j'avais été un peu dur à l'égard de Phoenix mais quand on voit l'interprétation dans La dernière piste, je me dis que l'on peut être Michelle Williams, avoir jouer dans Dawson et faire oublier qui on est à l'écran.

     

    Une sorte de Gerry de Gus Van Sant façon western

  8. 1845, Oregon. Une caravane composée de trois familles engage le trappeur Stephen Meek pour les guider à travers les montagnes des Cascades. Parce qu'il prétend connaître un raccourci, Meek conduit le groupe sur une piste non tracée à travers les hauts plateaux désertiques. Ils se retrouvent perdus dans un désert de pierre.

    La faim, la soif et le manque de confiance dans l'instinct de survie de chacun d'entre eux sont autant d'obstacles qui se dressent sur leur chemin.

     

    Je n'ai jamais vu un film aussi nul et long... Durée réel 1h20, durée ressentie : 5h... J'ai eu du mal à garder les yeux ouverts. Voir les 3 carrioles qui avancent pendant des heures : une horreur !!

     

    J'ai véritablement pris ce film pour une arnaque; Pas d'action certes mais pas de profondeur non plus; il ne se passe mais vraiment rien du début à la fin et il n'y a même pas une esquisse de tentative de message; un vide intersidéral qui mène violemment à un ennui des plus dépressifs. Au secours.

     

    Décors des plus sobres ( même pas de belles images de montagnes ou autre). A l'instar des acteurs, on s'ennuie ferme dans une réalisation lente et dépouillée. Une fin qui n'en est pas une. Un scénario à peine plus grand qu'un pitch. Une espèce d'ersatz de chaman. A conseiller comme somnifère.

     

    Voici les pires critiques des spectateurs d'allocine. On peut penser ça face au film et pour être honnête j'ai aimé le début tout en silence, puis après je me suis dit merde encore un film de poseur/de poseuse en l’occurrence (lenteur, format 4/3, mise en scène minimaliste) et je commençais à m'enfoncer tranquillement dans le sommeil et je ne sais pas d'un coup le film m'a bloqué et j'ai été comme hypnotisé. C'est peut-être l'excellente partition de Jeff Grace (The House of the devil, c'est lui, Stake land pas de souvenirs précis mais c'est lui). Une menace plane très rapidement, on sait pas d’où ça vient ? aucune idée, alors l'esprit chauffe et tourne a toute vitesse pour devancer le film, pour imaginer un déroulement, et voila ou réside la force du film, refuser les attentes.

     

    On nous donne des éléments (la femme enceinte, le trappeur, l'indien) qui n'ont pas d'incidence réel sur le développement et la fin montre que le moteur du film n'est pas la quête de la terre promise ou de l'eau mais de définir qui on est dans l'absolu.

  9. bon bah c'est pas terrible.

     

    le style Grindhouse (vieille péloche & co) + le film paranoïaque = pas grand chose.

     

    Pas très claustro, pas très intéressant... et c'est affreusement long (durée du film 80mn)

     

    La sensation de menace, cette sourde angoisse qui vous prend au tripes n'est (quasiment) jamais présente, pire lorsqu'on regarde les scènes coupées et la fin alternative enfin les fins puisque on en dénombre jusqu'à 4 ! c'est dire qu'il ne savait vraiment pas l'angle à tenir pour leur film.

     

    dommage

  10. Qu'une seule critique ?

     

    Alors les premières minutes commencent très mal, camera qui tremble, coupe intempestive, bref tout le cinema de l’esbroufe puis heureusement ça se calme très vite. Le cadre se pose et à vrai dire, la sauvagerie des enfants soldats et l'imagerie qui va avec n'a nullement besoin de tics de metteur en scène de clips.

     

    Alors le réalisateur cède quelque fois à des artifices qui viennent un peu plomber mais dans l'ensemble c'est très beau voire trop, ce qui enlève un peu de crédibilité (on a l'impression d'être dans un shooting mode tellement les gars sont stylés).

     

    Le film raconte assez bien la manipulation des enfants même si c'est assez succinct. Toute l'horreur de la guerre est présente, injustice, viol, pillage, meurtre gratuit mais aucune émotion ne se dégage vraiment. J'ai pensé à Elephant lorsqu'ils sont dans la chaine de TV, pour dire que des fois on a l'impression d’être dans un shoot em'up, sans le ressentis du film de Gus Van Sant

     

    Simple et efficace, Johnny Mad Dog n'est pas "impressionnant" ou "brut et spectaculaire" comme c'est indiqué sur la jaquette mais le film arrive à vous happer facilement à retranscrire un triste constat en Afrique

     

    un autre (tele)film du real est diffusé ce soir sur arte à 22h25, Punk avec la soeur de Casta

  11. Pas le film que j’espérais mais l'histoire est très bien, enfin presque.

     

    Tous les aspects policiers sont hors propos à mon avis. Le coeur de film c'est avant tout la masculinité de son personnage principal, sa quête désespérée d'être un homme... et là j'ai trouvé que les éléments policier dans son dernier tiers ramenaient le film à une vulgaire enquête policière. On s'en fout, surtout que cela n'apporte rien au dénouement. On aurait pu se contenter des retrouvailles avec le passé et sur les maux de Jacky sans problèmes. là il y a un côté remplissage, une façon de donner de l'épaisseur à son film qui méritait pourtant un traitement beaucoup moins classique.

     

    Là, même la mise en scène est un peu pompeuse : plans de la campagne, ou la séquence de la boite de nuit tout ça veut faire classe mais en définitive c'est plat. Il manque cruellement de relief.

     

    J'aurais voulu plus de folie dans le film, tout est très intériorisé, la voix off du début nous donne une explication, mais un peu de nerf ou de caractère aurait permis au film d'être beaucoup plus remuant à l'image de la scène d'ascenseur.

     

    2011 était définitivement l'année "séquence culte d'ascenseur" ! après Drive, Bullhead comporte une scène incroyable (peut être la meilleure du film ?) ou enfin la rage, la colère de Jacky explose (au sens propre comme au sens figuré). A un moment j'ai cru que, tel Hulk, il allait arracher ses menottes.

     

    Pas la claque espérée mais un film sympa.

  12. FUYEZ ! FUYEZ !

     

    bon j'avoue que je pensais vraiment ressentir des émotions (perverses) par rapport au film et franchement la seule émotion que j'ai eu c'est de mettre stop.

     

    C'est chiant et long. C'est beau enfin deux trois scènes car le reste c'est toujours le même principe de mise en scène. plan fixe ou plan séquence puis je resserre

     

    L'érotisme est d'un prétentieux sans nom,doublé d'un sexisme assez incroyable. Tout les mecs n'ont pas envie d'écraser une cigarette sur une femme et tous les vieux ne se frottent pas contre des jeunes filles, ou disent des cochonneries.

     

    Mais la fin vient inverser les choses car perso je vois finalement ces jeunes femmes comme le dernier plaisir d'homme qui souhaitent avant tout finir leurs vies a cote de quelqu'un et non seul

     

    d’où le dernier plan, ou la vie s'échappe du vieux fripon.

     

    Enfin voila rien de bandant ou de perturbant.

  13. Pour ceux qui aiment Radley Metzger (Camille 2000, Score, The image),

     

    Je viens de recevoir les films porno d'Henry Paris aka Radley Metzger.

     

    Au programme :

     

    The private afternoons of Pamela Mann

    Maraschino Cherry

    Naked came the stranger (VOSTF)

    et en dvd ET blu-ray The Opening of Mitsy Beethoven (VOSTF)

     

    > theendstore.com

     

    et plus d'infos sur le blog

     

    > theendstore.blogspot.fr

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