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    Conan Le Barbare Metrosexuel - Marcus Nispel (2008)

    dans Cinoche

    Posté(e)

    On savait de la bouche même d’Howard MCain que son complice Dirk Blackman et lui n’avaient finalement pas été engagés pour réécrire un script signé Thomas Dean Donnelly et Joshua Oppenheimer, et la preuve en est aujourd’hui.

    Le site CC2K a en effet a priori mis la main sur une version du script des deux derniers scénaristes cités et se livre à une courte chronique globalement très positive. Tout d’abord, la scène d’introduction : on découvre un bébé dans le ventre de sa mère tandis que résonnent autour de lui des bruits de bataille avant qu’une épée ne vienne éventrer sa mère en passant à quelques centimètres de sa tête et le spectateur passe par le ventre de la mère pour plonger dans la bataille ! Difficile de faire plus sombre et brutal comme premier contact.Cette histoire-là serait un récit de vengeance, Conan traquant un à un tous ceux qui ont tué son père. Évidemment, le script ne mise pas spécialement sur le suspense, car on se doute bien que Conan va peu à peu remonter la piste menant vers le bad guy n°1 du film (qui redoute Conan, présenté en quelque sorte comme un élu), tout en sauvant au passage le personnage féminin principal, doué de pouvoirs magiques. On croisera au passage des créatures monstrueuses, des tripes arrachées, des têtes décapitées, des femmes nues…

    Le critique considère que Thomas Dean Donnelly et Joshua Oppenheimer ne trahissent pas l’esprit de l’œuvre de Robert E. Howard et que Crom pourrait en être fier… Vraiment ? Ce script-là ne collerait en tout cas guère avec un retour d’Arnold dans le rôle-titre…

     

     

    http://www.elbakin.net/fantasy/news/9921-Conan-:-nouvelle-critique-du-script

    Serie noire pour une nuit blanche - John Landis - 1985

    dans Cinoche

    Posté(e)

     

    La petite histoire derrière le film c'est que Landis venait de sortir du tournage de la quatrième dimension où un technicien était mort, gros scandale à l'époque. Du coup le film serait une sorte d'exorcisme de cette période noire pour le réalisateur. (j'me sens comme une merde tout d'un coup je crois que l'ai lu ça sur Devildead)

     

    Si je me souviens bien, trois morts quand même: l'acteur Vic morrow, le père de Jennifer jason Leigh et deux enfants.

    Au coeur de la nuit : Xavier Gens et Yannick Dahan

    dans L'œil du cyclone

    Posté(e)

    un compte rendu sur un autre forum:

     

     

    Donc, ce soir à 23h20 passait "Au coeur de la Nuit", avec pour invités du jour Xavier Gens (réalisateur de "Frontière(s)" ou "Hitman") et Yannick Dahan (l'émission "Opération Frisson" sur Ciné Frisson, et coréalisateur de "La Horde").

     

    Nos deux compères se voient donc embarquer dans une voiture qui les emmène rencontrer successivement une bande de jeunes de banlieue qui font du rap et un ancien chef de bande qui a écrit un livre, puis des jeunes qui font du yamakazi. Nos héros, pétris de boboisme plus ou moins bien assumé, sont chamboulés par tant de subversion socialement significative de la part de jeunes exclus face à l'adversité du genre moderne, surtout Dahan parce que c'est celui qui parle le plus. Cela ne les empêche pas de se bourrer de foie gras et de pinard une fois revenus dans la caisse et surtout de relativiser le courage subversif social et significatif des jeunes sauvageons, une fois qu'ils ne sont plus en face d'eux : "Ouais, mais tu vois, ce qui est triste, c'est que ces jeunes qui ont plus ou moins réussi, ils ne tendent pas la main aux autres. - Bien dit, camarade, ressers-moi un coup de Château-Pétrus."

     

    La soirée continue avec une visite dans les locaux du collectif Kourtrajmé, qui remplit Dahan d'appréhension car il a autrefois allumé dans son émission leur film Sheitan, tentative méritoire de Massacre à la Tronçonneuse Français dont le défaut principal consiste à ne pas avoir injecté suffisamment de potentiel sympathique à son casting (dans un film d'horreur, mieux vaut qu'on aie pas *envie* que les héros se fassent démonter, sinon ça marche pas). Mais la confrontation se passe sans incident, les gens de Kourtrajmé étant, comme on pouvait s'y attendre, tout à fait civilisés, et les embarrassantes excuses de Dahan (qui doit en être à sa cinquième binouze de la soirée, et ça se sent) quant à sa peu amène critique du film n'en paraissant que plus risibles.

     

    S'il y en a ici qui se souviennent de mes propos concernant Yannick Dahan et son émission "Opération Frisson" sur ce forum (principalement dans le trid consacré à "Suck my Geek" et "Frisson Break"), ils seront peut-être légitimement étonnés de déceler comme une sorte d'acharnement à demi-contenu dans ma description de sa participation à l'émission de ce soir. En effet, jusqu'à présent, j'ai toujours défendu son style "harangeur de foire", fort distrayant en tant que pur spectacle et qui reste toutefois, au seul niveau informatif, plusieurs coudées au-dessus des "critiques" assez lamentables de l'essentiel des journalistes parlant de cinéma à la télévision. Patience, vous comprendrez bientôt la raison de ma juste ire.

     

    Premier bémol : les Kourtrajmé Boys montrent à Dahan et Gens leur dernier court en cours, une sorte de film de sabre à la japonaise, mais avec des guerriers africains. Ca sautille dans tous les sens, la réalisation est classique, sobre, à l'ancienne. La première réaction du volubile et dégarni Toulousain est une franche hilarité. Tempérée aussitôt par un "ah mais ça faut que vous me fassiez une copie quand vous l'aurez monté", mais suspecte quand même. Enfin bon, jusque là rien de bien grave, ça reste de la névrose de Wicky : les gens qui sont pas capables de regarder un épisode de série super sentai des années 70 au premier degré, je m'en méfie (oui, je me méfie de tout le monde). Passons.

     

    Ensuite, le duo de choc se rend chez le musicien du groupe Zombie Zombie. On a déjà posté leur clip hallucinant mélangeant figurines GI Joe et remake de The Thing de Carpenter sur le trid "Boulevard des clips", mais ça mérite une piqûre de rappel.

     

    Et là, c'est le drame. Je n'accorde que peu de crédit à l'étiquette "geek" qui devient un peu trop usitée par les journalistes pour être honnête. Mais le gars de Zombie Zombie, lui c'est un vrai geek. Je le vois, je l'écoute parler, et je me souviens de l'époque pas si lointaine où je pouvais dire "I'm a Geek and I'm proud". Le type est incollable sur Goblin et les musiques de John Carpenter. IL A UN PUTAIN DE THEREMINE DANS SON STUDIO. Et rien que ça, ça devrait lui valoir le respect.

     

    En entendant parler de Goblin (le groupe de métal progressif italien des années 70 qui a signé la BO de Zombie, la version européenne du Dawn of the Dead de Romero remontée par Dario Argento - soufflez - je précise juste pour ceux qui arrivent en retard), Dahan s'empresse de préciser qu'il est "le réalisateur du premier film de zombies en France". Le mec de Zombie Zombie, qui, lui, se souvient de Jean Rollin, se permet de le rectifier. Et Dahan de préciser : "ouais, mais c'est des séries Z. Nous on va quand même faire un truc qui soit pas trop pourri". Ha ha! Ouais... Ils sont rigolos, ces mecs qui prônent la subversion sans être capables de mettre leur orgueil de côté pour ne serait-ce que tenter d'empreinter le chemin du Roger Cormanisme... ou tout du moins de respecter un tant soit peu ceux qui l'ont fait.

     

    Et ça continue : qu'est-ce qui se passe, pendant que, sincèrement heureux d'avoir des invités, le "Zombie Zombie" montre ses jouets et fait écouter ses samples aux deux branleurs qui se gargarisent de "subversion" alors que leur seul souci est de savoir s'ils vont pouvoir obtenir une interdiction aux moins de seize ans, comme si le gore était la seule forme de subversion valable ? Eh ben les deux branleurs se foutent de lui dans son dos.

     

    Et de retour dans la bagnole, Dahan en remet une couche : "Ah j'en ai vu des geeks, mais des comme lui ! - Ah t'as vu comme il nous regardait pas dans les yeux - Ah putain il est gentil avec Goblin, mais franchement c'est de la merde, Goblin, quoi..."

     

    Je sais pas ce que c'est, c'est peut-être parce que le type en question était binoclard, légèrement double-mentonné, un tantinet moins sexy et superficiellement séduisant que les invités précédents de l'émission. Ou alors qu'il était tellement pointu dans son trip qu'il leur a fait peur en leur rappelant leur normalité, aux deux pseudo-Che Guevara du cinoche de genre français...

     

    http://forum.superpouvoir.com/showthread.php?t=11463

     

    Par contre, j'aimerais bien savoir si quelqu'un possède une copie de l'émission avec brian Yuzna et Pierre Woodman ?

    Taken - Pierre Morel (2008)

    dans Cinoche

    Posté(e)

    Vu là maintenant et c'est vrai qu'c'est bien !!

    Bon Morel est pas allé chercher Midi à 14h hein mais ça se suit très bien, c'est complet hargneux et j'aime bien Neeson qui se prend pour un Jack Bauer dopé au Seagal grande époque et puis ça y va CASH !!

     

    Par contre je suis étonné de voir que le film est que PG-13 aux States entre les bastonnades, les gros plans sur les putes trouées et la torture spéciale dédicace EDF...

     

     

    J'ai lu sur un forum américain que le film était cut aux states.

    Stephen King's The Mist - Frank Darabont (2007)

    dans Cinoche

    Posté(e)

    Lu sur dvdrama à propos du blu-ray français qui vient de sortir:

     

     

    Boitier métal

    - Image : HD (1920x1080p - MPEG 4/AVC - Format : 1.85 - 16/9)

    - Son : VF 5.1 DTS-HD Master Audio / VO-STF 5.1 DD )

     

    Tous les bonus de l'édition DVD TF1 sortie en septembre dernier sont présents sauf la version N/B du film....

     

    L'image HD est à tomber (FX compris), dommage que l'éditeur ne propose que du 5.1 DD pour la VO (version 5.1 DTS HD uniquement pour la VF avec son doublage à "deux balles").

     

     

    The Thing - John Carpenter (1982)

    dans Cinoche

    Posté(e) · Modifié par Invité

    sinon il existe un forum us consacré au film:

    http://thethingfan.11.forumer.com/

     

     

    Un des intervenants a travaillé sur le jeu "the thing" sorti il y a quelques temps déjà. Une suite était prévue mais elle n'a pas vu le jour. Cependant l'artiste dévoile sur son site ses dessins conceptuels pour la suite et que je trouve plus qu'intéressants.

     

    Aller sur ce lien

    http://www.cumronashtiani.com

    puis "Art direction" en haut à gauche

    enfin "the thing" en bas.

     

    Quelques extraits de son travail:

     

     

     

     

    A part ça un des gars a découvert un teaser du film qui a l'air inédit :

    http://thethingfan.11.forumer.com/viewtopic.php?t=2159

    Punisher - Mark Goldblatt (1989)

    dans Cinoche

    Posté(e)

     

     

     

    United States Theatrical Premiere!

    35mm print! Director’s Cut!

    Director Mark Goldblatt in Attendance!

    ONE SCREENING ONLY! Saturday, October 18 at 7:30 p.m.

     

    Nineteen years after its original release, ESCAPISM is proud to host the United States Theatrical Premiere of director Mark Goldblatt’s extraordinary vision of the Marvel Comic’s action hero! This is Goldblatt’s original cut of the film (as well as his own personal 35mm print), including all of the moments and shots that he was forced to trim for an MPAA "R" version in the U.S., due to so-called "excessive violence". How, you ask, can this be the US Premiere? Several months prior to the film’s scheduled theatrical release in 1989, the film’s US distributor (New World Pictures) went bankrupt and rather than being released to US theatres, the film went straight to video (although it did play in theatres around the rest of the world.) Shot in Sydney, Australia in 1989, The Punisher comes brilliantly to life in this searing action-adventure thriller starring Dolph Lundgren as the infamous Frank Castle. (Forget the puny 2004 version! 91 people are killed individually on screen in this movie, not including those who die en masse in explosions, etc. Now, that’s action!) Lashing out from a labyrinth of subterranean sewers, The Punisher leads a heavily armed raid into the world of brutal crime and savage retribution. A world where only one thing is certain…the guilty will be punished.

     

     

     

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    la parodie des nuls, le pleurnicheur, avec la participation de dolph:

    ZFVQS9UNGPI&feature=related

    Not Quite Hollywood- Mark Hartley (2008)

    dans Cinoche

    Posté(e)

     

     

    Not Quite Hollywood is the wild, wonderful, untold story of 'Ozploitation' cinema - that is, Australian genre cinema of the 70s and 80s. A time when the Aussie film industry got its gear off and showed the world a full-frontal explosion of sex, violence, horror and foot-to-the-floor, full bore action!

     

    RKGRtbyrD50&

     

     

    Featuring: Quentin Tarantino, Jamie Lee Curtis, Dennis Hopper, Henry Thomas, Stacy Keach, Leigh Whannell, James Wan, George Miller, George Lazenby, Barry Humphries, Susannah York, Gregory Harrison, Russell Mulcahy, Steve Railsback, Jack Thompson, Greg Mclean, John Jarratt, Steve Bisley, Ted Kotcheff, Sigrid Thornton, Joanne Samuel, Fred Schepisi, Simon Wincer, Susan Penhaligon, Jamie Blanks, Rebecca Gilling, John Seale, Roger Ward, John Waters, Brian Trenchard-Smith, Richard Franklin, Graeme Blundell, Alan Hopgood, Tom Burstall, Sandy Harbutt.

     

     

    http://www.notquitehollywood.com.au/

     

     

    This film is sponsored by Foster’s.

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