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niko13

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Messages posté(e)s par niko13

  1. Mouais, c'est pas folichon tout ça.

    Faburalo a raison, on a vraiment l'impression de se retrouver devant un énième Prince of Persia/Roi Scorpion/Momie (le fun en moins, surtout pour le Roi Scorpion ).

    Y'a plein d'éléments qui pourraient en faire presque un bon film, mais alors niveau souffle épique faudra repasser, c'est pas vraiment ça.

    Rien que l'interpréte principal, on sent qu'il a le physique de l'emploi, mais queue dalle, rien, aucun charisme, et en matière de jeu d'acteur, juste une vilaine moue pour montrer que c'est un vilain barbare...

    Les autres personnages n'existent pas, coquilles vides (bon allez, on va dire que l'apparition de Ron Perlman et la prestation de Stephen Lang sont pas si mal que ça).

     

    Ah, et puis merde, faut arrêter de filmer tout en gros plan, on est pas devant son home cinema là, on est dans une salle de cinéma, ça agresse les yeux parfois !!

     

    Bon, y'a au moins Rachel [inlove] Nichols qui même dans des navets comme Gi Joe continue à rester méchamment

     

    Rien à faire, je garde précieusement mon baril de Milius/Poledouris/Schwarzy, n'en déplaise aux forumeurs métrosexuels web 2.0 qui trainent par ici...

  2. Ouais, c'est quand même bien pourrave ce machin.

    Pas drôle (on va jusqu'au sourire, mais pas plus loin), pas écrit (on dirait que le film s'écrit au fur et à mesure, que les acteurs découvrent leurs scènes en même temps que nous, et tout ça sans le génie d'improvisation d'un Will Ferrel par exemple).

    Et le casting principal est insupportable: si Jason Bateman fait tout le temps la même chose, les deux autres là, Charlie Day et Jason Sudeikis, c'est juste pas possible ! Presque pire que Tracy Morgan dans le dernier film de Kevin Smith...

    Restent les boss, et ils sont pas mal.

    Aniston en chaudasse est mais comme Farrel en camé, elle est méchamment sous exploitée. Et Spacey fait dans le classique, mais il le fait bien.

    On aurait espéré plus de scènes avec ces 3 là, mais non, il faut se fader les 3 autres...et c'est lourd...

    Ah si, l'apparition de Jaimie Foxx est sympa. Et y'a deux acteurs de The Wire.

     

    Mais le mec qui veut tuer sa patronne Jennifer Aniston, parce qu'elle se promène devant lui à poil sous sa blouse et qu'elle lui lèche l'oreille, bon ...

    Ouais, c'est limite de la science-fiction ça...

  3. J'avais bien aimé ce film à l'époque mais....

     

    Etant arachno-insecto-phobe de manière quasi hystérique, je dois dire que je n'ai pas eu une seconde de peur devant ce film alors que Eight Legged Freaks m'a mis mal à l'aise... souvent. Que doit-on en conclure Docteur ?

    Qu'une tarentule de 8 mêtres de haut est plus impressionnante qu'une bestiole de 8 cm ?

  4. Vu en salles à la sortie aussi, en bande de jeunes (ouais, on a 15 ans, on est trop des terreurs) et avec des filles...complétement archnophobes !

    Souvenir d'une séance bien marrante, où le vigile du ciné avait failli nous virer ("quand on est arachnophobes on ne va pas voir un film qui s'appelle arachnophobie !").

  5. :pesance:

     

    un excellent divertissement à l'ancienne !!!

     

    hugo weaving a trop la classe

     

    la 3D sert à rien malgré 2/3 effets sympas

     

    à part ca, je me suis régalé

    Pareil !

    Et j'irai même plus loin, pour moi c'est un

     

    Pour une fois qu'on a un héros qui ne passe pas son temps à se demander si c'est juste ou pas de mettre son slip sur ses collants en prenant un air sombre et contris, ben ça fait du bien !

    Le gars est programmé pour être un héros, il aura une destinée héroïque !

     

    Malgré une légère frustration lors du montage des combats de Cap et des Howling Commandos, le film se suit très bien, un rythme soutenu car on ne perds pas de temps lors de séquences imposées par le genre de film de super-héros (origines, la love affair, présentation de la némésis, choix du costume, etc...), je me suis pas fait chier du tout. Et en plus c'est drôle.

    Les SFX ruinent le derrière (Crâne Rouge et le Chris Evans malingre, ).

    Chris Evans est excellent, Hayley Atwell brule les rétines dans son rôle de femme burnée, Hugo Weaving est fait pour incarner les méchants et TLJ est parfait en vieil ours.

     

    C'est de l'aventure pulp, respectueux du comic book, gentiment référentiel ("et dire qu'Hitler perds son temps à chercher des breloques en Afrique..." ) et la dernière séquence est ce qu'il s'est fait de mieux en matière de conclusion pour un super-héros.

  6. Mouais, l'est pas beau et il est bien vilain ce film.

    Malgré un sujet et un cast en béton, c'est finalement d'une platitude affolante.

    Mal filmé comme dans une série fauchée (les scènes d'action, c'est imbitable sur grand écran), chiant comme la pluie et pas hyper bien joué non plus (sauf Brian Cox évidemment parfait, même Giamatti y a son "heure de gloire" pas très reluisante).

    Déception donc, j'en attendais un peu plus vu le cast, et malgré la présence d'une de mes chouquettes favorites (Kate Mara), c'est quand même à éviter...

  7. malgré cela, les persos sont attachants...

    Et c'est bien ce qui est important dans ce genre de sitcom !

    Je t'encourage à continuer, moi-même je n'étais pas très convaincu au départ, mais au bout de 4 saisons, vu que je continuais à me gondoler comme une baleine à chaque épisode, je suis bien content d'avoir persisté.

    BBT, c'est une sucrerie très sympathique en fait.

  8. As-tu vu le Christmas Special ?

    Il faut absolument le voir. Encore un peu de souffrance (et ça va loin parfois), mais c'est vraiment une récompense.

     

    Quand à considérer The Office comme une critique du monde du travail, je ne sais pas.

    Pour ma part, je ne pense pas que cette série soit une satire du boulot. C'est surtout axé sur les personnages, leurs interactions et surtout leurs réactions face au tsunami Brent.

    Le cadre, ce pourrait être n'importe quoi presque. Qu'ils vendent du papier ou des merguez, on en parle à peine, c'est pas très important.

    Ce qui reste important dans cette série, c'est surtout les persos: un gars qui aime une nénette mais qui a du mal à lui avouer; un gars qui ne réalise pas son plein potentiel en choisissant une carrière pas compliquée; une nana qui choisit la sécurité d'un couple artificiel plutôt que de suivre ses sentiments; ou un gars qui a un tel manque d'assurance dans sa vie qu'il compense à mort quitte à en perdre toute dignité, etc...

     

    Enfin, mon point de vue.

  9. Seinfeld !

    De toute façon, face à n'importe quel autre show, Seinfeld devrait être le choix par défaut.

     

    Cela dit, j'adore BBT, et c'est un peu injuste de la comparer à un mastodonte comme Seinfeld (meilleure sitcom US de l'univers, un tout petit poil devant Arrested Developpment et Curb). Une sitcom qui arrive encore à me déclencher des éclats de rire à sa 4ième saison, c'est généralement bon signe.

  10. Oh, je t'assure que quand tu auras lu la BD, tu auras vite des envies de t'enfoncer des pieux dans les noeils en repensant à ce film...

     

    Et bah je la lirai jamais, pour garder en mémoire le doux souvenir ému de la découverte de ce film qui m'aura fait passer un moment agréable devant ma TV.

    Raaah, de toute façon la seule ligue des gentlemen qui vaut le coup à la télé, c'est celle-ci:

    For local people...

  11. Enfin, a peine moins d'un quart d'heure d'attente et Fishbone investit la scene.

    Intro en douceur, avec un petit speech d'Angelo "Dr. Mad Vibe" Moore (la tradition !), et un Unyielding Conditionning calme, suivit d'un Suffering tres peace. Le groupe se presente sans son trombonne John "McNutt" McKnight (hospitalise recemment), mais la puissance du groupe s'en trouve a peine amoindrie.

    Des "Alcoholic", Fishbone lache les bretelles et fait exploser l'Elysee Montmartre. Le stagediving regulier de Moore, "Padre" et "Cool Ass Dre" foutent un vrai bordel dans la foule hysterique: Fishbone en live c'est de la folie furieuse !

    Derriere (enfin, pour ceux qui restent sur scene), John Stewart remue la mayonnaise avec classe tandis qu'un Norwood Fisher hilare etale son talent sur des lignes de basses de dingue. Et Rocky "Dieu " Georges assure quelques bien beaux solos dont il a le secret dans une jovialite contagieuse.

    Apres une heure de fusion endiablee, on en ressort deja use et lessive. Juste une heure, c'est un peu court pour un tel groupe, il a manque un paquet de classiques ("Just Allow", "Shakey Ground" ou "Everyday Sunshine" pour les plus evidentes, ou "Jack Ass Brigade" du dernier album) mais encore une fois Fishbone est venu, a vu et a vaincu. Ceux qui ne connaissaient pas le groupe ce soir la ont certainement pris une bonne claque dans la gueule. Une reputation non usurpee de "meilleur groupe de scene", ca s'entretient avec des performances de haute volee comme celle-ci. Dire que ce groupe a presque 30 ans d'existence, ca force le respect et l'admiration.

     

    Set list Fishbone:

    Unyielding Conditionning

    The Suffering

    Alcoholic

    Sunless Saturday

    Bonin' in the Boneyard

    Date Rape

    Let Dem Ho's Fight

    Behind Closed Doors

    Ma & Pa

    Give it Up

     

    en concert Lundi... :

     

     

    http://www.glazart.com/LaPlage/laplage-33-fishbone.html

    J'viens de voir le message !

    T'y étais ?

     

    Bon, parce que bibi oui (comme d'habitude). Et ce fut mortel (comme d'habitude).

    (d'ailleurs y'avait aussi Sami/Nosfell qui était là, mais j'ai pas osé aller lui dire bonjour)

  12. Une crotte, qui se regarde nonchalamment entre baillements et grattages de couilles...

     

    Faire de la "Ligue..." un sous X-MEn du pauvre, sorte de frêre mongolito des films de Singer, au secours !

    En plus de ruiner la carrière de Norrington, on bousille un matériau de base d'une richesse folle.

    En bref, c'était pas la purge annoncée.

    Oh, je t'assure que quand tu auras lu la BD, tu auras vite des envies de t'enfoncer des pieux dans les noeils en repensant à ce film...

  13. (P-S : j'ai trouvé plus pertinent de regrouper toute la saga sous un seul thread plutôt que d'ouvrir potenciellement 20 sujets sur 20 films. J'ai aussi laissé de côté les deux derniers avec Daniel Craig parce-qu'ils ont déjà leur thread et qu'ils s'éloignent quand même pas mal du cahier des charges des James Bond d'antan).

    Mouais, je trouve justement qu'ignorer Daniel Craig dans ce récapitulatif est une erreur.

    D'abord parce qu'il est dans la continuité du Bond incarné par Dalton dans "Permis de Tuer". Et puis parce qu'il correspond beaucoup plus au canon du James Bond tel que créé par Ian Flemming: peu de gadgets, pas de blagues, un Bond avec des états d'âmes, c'est pas tout le temps glamour d'être un tueur au service de la Reine.

     

    Après, nous sommes bien d'accord, pas besoin de jouer les puristes, le Bond que la grande majorité adore (moi inclus) c'est celui popularisé par le cinéma.

    Et pour moi c'est Sean Connery qui lui donne ses lettres de noblesse: les meilleurs films ("Bons baisers de Russie", "Goldfinger", "Jamais plus jamais" entre autres), les meilleurs adversaires, les plus belles girls, les meilleurs thèmes musicaux, le charisme hallucinant de l'acteur, etc...Sean Connery EST James Bond.

    Ensuite, il y a deux cas particuliers: Lazenby et Dalton. S'ils n'incarnent pas forcément le mythe du James Bond au ciné, ils ont l'avantage à mes yeux d'avoir joué dans deux de mes épisodes préférés, "Au service secret de sa Majesté" et "Permis de Tuer" où on découvre un Bond au visage plus "humain", plus vulnérable, ce qui rends les enjeux des films plus palpitants à mon avis.

    Logiquement, j'ai beaucoup aimé les deux épisodes avec Craig, je trouve l'acteur plus que probant et les films dans la droite lignée de ceux que j'aime.

     

    Sinon, une pensée émue pour Pierce Brosnan, dont la désignation dans le rôle du Commandeur Bond m'avait bien motivé à l'époque. Hélas, je trouve les films allant du mauvais au tout pourri...

    Quand à Roger Moore, je passe. Sa période incarne tout ce que je déteste dans la série, des blockbusters débiles, la foire aux gadgets et aux blagues les plus nulles, une collection de navets de moins en moins sympathiques avec le temps.

  14. Maintenant voilà, c'est quand même du recyclage à 100%, faut le savoir. J'ai quand même l'impression qu'Abrams n'a pas vraiment de personnalité, ça me fait penser à ces mecs qui reproduisent très bien les tableaux de différents maîtres mais qui sont incapables de créer une oeuvre par eux-mêmes.

    JJ c'est un sale copieur. Un très bon, mais un sale copieur.

    Pas mieux.

     

    Le film est très bien, se suit très bien (ben oui, vu que c'est un cahier des charges qu'on connait par coeur), mais il n'a pas vraiment de personnalité pour être aussi attachant qu'un Goonies ou un Explorers. JJ récite bien son "Spielberg illustré", et ça marche.

    En plus les SFX sont parfaits, même que

    y'a un gloumoute super joli qui a de faux airs de Clovy, ce qui est tout sauf un hasard ,

    et les gamins sont excellents (et la soeur de Dakota en tête, et jolie comme un coeur).

     

    Sinon, les exploitants de l'UGC des Halles sont des terroristes, le son était bien trop fort hier, ils ont voulu me rendre sourd (et non, ce n'est pas parce que je deviens dur de la feuille en vieillissant, tas de jeunes cons ! ).

     

    Ah ouais, et le lens flare, sérieux, JJ, arrête...

  15. En même temps, j'aime tout ce qu'a fait Wan jusqu'à présent, donc je suis pas surpris, mais vraiment, j'en attendais pas tant. Ca faisait un bail que j'avais pas flippé comme ça au ciné perso !

    Pareil, pas mieux, le compte est bon, dix de der...

     

    C'est classique, fait d'effets vus mille fois ailleurs, c'est un remake de Poltergeist, la fin est bis à souhait...MAIS PUTAIN COMME CA FILE LA TROUILLE !!!

    Le générique est déjà bien dérangeant, mais alors cette ambiance de fou...et ces images qui restent dans le crane ensuite...

     

    La grosse flippe au ciné. Ca faisait bien longtemps. J'ai même failli dormir les lumières allumées ensuite. Même pas honte, ou presque !

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